La Grande Puanteur

éléments qui le montrent dans les trois poèmes en choisissant un ordre intéressant : ici je propose de procéder du plus insoutenable au moins dérangeant) - Baudelaire = vision la plus insoutenable « une charogne infâme », « cette pourriture », « La puanteur », « Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride », « bataillon de larves » - Hugo : araignée insecte source de phobies, ortie moins repoussant, mais qu’on n’a pas envie de louer : « Noirs êtres rampants », « elles ont l'ombre des abîmes »

hyperbole de la nature « grands » → adjectif mélioratif, met en avant la puissance de la nature Strophe 4 V.13 « Le ciel regardait » → Personnification du ciel → La charogne s’offre comme un spectacle Baudelaire essaye de trouver quelque chose de beau dans la carcasse, rappelle les goûts nécrophiles V.14 « Comme une fleur s’épanouir » → Comparaison, la carcasse comparée a une fleur la fleur s’ouvre comme le cadavre, le cadavre est associe a une belle chose V.15 « la puanteur était si forte » → Insiste

affectaient de se boucher le nez en passant devant sa chambre » ligne 7 et 8 ou le fait de se «régaler de potins » ligne 18, « rigolaient du tout petit morceau de pain qu'elle rapportait sous son tablier. » ligne 21 et 22. Puis aussi avec les paroles « la grande-tétasse » ligne 31 et 32 que Gervaise réussi à entendre à travers la porte de leur appartement. 4°/ L'image des Lorilleux Dans cet extrait, les Lorilleux ont une longue description de la ligne 7 à la ligne 20 : « Les Lorilleux, maintenant affectaient

noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ; O, suprême Clairon plein des strideurs étranges

même se connaître. L'animal, lui, tue pour sa survie, pour se nourrir, tandis que l'homme a utilisé ses grandes capacités à inventer et innover, dans le seul but d'être le plus fort; en effet, nos armes sont bien plus meurtrières et tranchantes que de simples coups de griffes ou des morsures, seules blessures que les animaux peuvent infligés à leur proie. L'acte de guerre "tous les chats d'un grand pays se sont assemblés par milliers dans une pleine"(ligne15-16 dans "Les caractères )qui fait référence

Éloge de la folie. C'est un essai néo latin écrit en 1509 et imprimé en 1511. Il est dédié à Thomas More (l'Utopie). Il écrit les grandes lignes de son œuvre lors de ses voyages en Italie et en Allemagne. C'est une des œuvres qui a eu le plus d'influence sur la littérature du monde occidental. Il s'agit d'une fiction burlesque. Il met en scène de façon allégorique la déesse de la folie faisant sa propre éloge, puis Érasme ne va pas hésiter à la transformer en véritable satire. Dans un premier temps

hyperboles « toute la grâce imaginable » (16). · Un monde fondé sur les valeurs de la liberté et de l’égalité L’égalité : une place essentielle est accordée aux femmes. La garde est constituée de femmes. Parallèlement aux « grands officiers » existent les « grandes officières » (4-5). La liberté : cet idéal de liberté est représenté concrètement par l’absence de cour de justice et de prison : « on lui dit qu’il n’y en avait pas et qu’on ne plaidait jamais » (26-27) II. Fonction critique

Des souris et des hommes CHAPITRE 1, 2  : 1) -Lénnie Small est un personnage énorme plutôt naïf, doué d’une très grande force physique avec un visage uniforme aux grands yeux pâles et aux larges épaules tombantes. Il a l’âge mental qui est celui d’un petit enfant, il n’a aucune mémoire et aucune notion des conséquences de ses actes. Lennie aime caresser des choses douces comme les souris en les étranglant sans le vouloir de ses énormes mains. Et aussi que quand Lennie prends les souris

sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient

Patrick Suskind Résumé - PREMIÈRE PARTIE - CHAPITRE 1 Nous sommes au XVIIIième siècle à Paris en France. À cette époque, il règne dans les villes une puanteur à peine imaginable. En ce siècle, l’activité délétère des bactéries ne rencontre encore aucune limite. C’est dans la ville de Paris que la puanteur est la plus grande car c’est la plus grande ville de France. C’est là que le 17 juillet 1738, Jean-Baptiste Grenouille voit le jour. La mère de Grenouille met son enfant au monde derrière un étal