La Grande Puanteur

Baudelaire et sa compagne ont rencontrés lors d'une promenade : "au détour d'un sentier" "une charogne infâme". Le champ lexical de la nature laisse penser que l'histoire se déroule en été, saison normalement joyeuse "sentier" v3 "Cailloux" v4 "grande nature" v11 "eau courante" et "vent" v26. On remarque une oxymores à effet ironique « carcasse superbe » au vers 13 Cet opposition crée des chocs d’atmosphère et marque la distance ironique : « soleil rayonnait sur cette pourriture » v9. Baudelaire

LLN°2 Le poème « Une Charogne » est extrait de la section « Spleen et Idéal » des Fleurs du mal .Il fait partie des poèmes censurés lors du procès fait à Baudelaire pour « offense à la morale publique et aux bonnes moeurs »lors de la publication des Fleurs du mal . le titre du recueil « Les Fleurs du mal » qui est un oxymore affirme qu’il existe une beauté propre au mal et que l’on peut extraire de la beauté de la laideur.Le poème « Une charogne » illustre parfaitement cette conception selon laquelle

moyen privilégié de l’expression du tragique contemporain » (Malraux), il trouvera le cadre le plus adapté à son épanouissement dans l’extension du paysage urbain. Celui des grandes villes industrielles, surtout, avec leur cortège de miséreux, de déracinés qu’un choc peut faire basculer dans les bas-fonds. À l’intérieur de ces grandes villes (mais aussi dans les villes de province des premiers romans de Green ou dans celle du Sang noir), sous le masque du quotidien, se dissimulent l’angoisse et la peur

Résumé Chapitre I Gabriel est, à la gare d’Austerlitz, offusqué de la puanteur de ses voisins tandis qu’ils se plaignent du parfum qu’il porte, d’où une possible altercation qu’empêche toutefois son «gabarit» de «malabar». Il attend l’arrivée de sa nièce, Zazie, «une mouflette» que, pour la fin de semaine, lui confie sa mère, Jeanne Lalochère, qui vient voir un «jules» à Paris. Zazie voudrait découvrir le métro, mais il y a une grève. Ils prennent donc le taxi d’un ami de Gabriel, Charles,

Mercredi 24 Novembre Résumés des chapitres : Le Parfum de Patrick SÜSKIND Chapitre I : • Résumé : L’histoire se passe au XVIIIe siècle. On parle de la puanteur de l’époque. Un jour, un mère accouche derrière son étal à poissons et laisse son enfant au sol. Malheureusement, le bébé cri et se fait entendre. La mère se fait alors exécuter pour infanticide réitéré. L’enfant change plusieurs fois de nourrices et se fait envoyer chez les religieux. A son baptême, il se fait nommer Jean-Baptiste

L’Assommoir, publié en 1877, septième volume des Rougon-Macquart, lui confère à la fois la notoriété et l’aisance. Sa maison de Médan devient, le jeudi où il reçoit, le lieu de rendez-vous de jeunes écrivains tels que Huysmans ou Maupassant. Ses grands romans, Nana en 1880, Au bonheur des dames en 1883, Germinal en 1885, l’Œuvre en 1886, qui le brouille définitivement avec Cézanne, permettent au naturalisme de triompher dans toute l’Europe, où il est traduit, et lui font gagner 80 ou 100 000 francs

vers 13, et avec de ‘ailes de géant’ au vers 16. Exilé parmi les hommes, l’existence du poète apparaît donc sous la forme de la vie de l’albatros. Grâce à cette comparaison, pour Beaudelaire le poète a donc un aspect aérien, qui est cette notion de grands espaces à parcourir, un aspect sublime, qui donne une impression de majesté, un aspect de solitude et d’isolement, où on voit le monde du poète séparé au monde normal, et un aspect de victime, car au vers 11 on voit que ‘l’un agace son bec avec un

cette nuit claire et à la foie sombre, froide. Il n’hésite pas une seconde à plonger pour récupérer sa femme. Il ne tarde pas à la voir là flottant sur l’eau à plat ventre, alors il arrête à ses abords, il la saisie fermement et la retourne, à sa grande stupeur il découvre un visage de démon en lambeau qui lache un cri strident et effrayant qui lui glace le sang. C’est a ce moment qu’il se réveil comme d’habitude le corps en sueur, un mal de crâne énorme, l’alcool ,y est sans doute pour une part

Le bateau ivre Les corbeaux Seigneur, quand froide est la prairie, Quand dans les hameaux abattus, Les longs angélus se sont tus... Sur la nature défleurie Faites s'abattre des grands cieux Les chers corbeaux délicieux. Armée étrange aux cris sévères, Les vents froids attaquent vos nids ! Vous, le long des fleuves jaunis, Sur les routes aux vieux calvaires, Sur les fossés et sur les trous Dispersez-vous, ralliez-vous !

dorment pas tous sur des chevets de pierre  A l'ombre des arceaux;  Tous ne sont pas vêtus de la pâle livrée,  Et la porte sur tous n'est pas encor murée  Dans la nuit des caveaux. Il est des trépassés de diverse nature,  Aux uns la puanteur avec la pourriture,  Le palpable néant,  L'horreur et le dégoût, l'ombre profonde et noire,  Et le cercueil avide entrouvrant sa mâchoire  Comme un monstre béant. Aux autres, que l'on voit sans qu'on s'en épouvante  Passer et