La Grande Puanteur

Quelle atmosphère se dégage de l’étude ? Justifiez votre réponse à l’aide p. 42-47 de quelques citations du texte. L’étude est un lieu sale et nauséabond : « plein de nourriture amassée sur le marbre de la cheminée », « odeur de comestibles », « puanteur du poêle chauffé sans mesure » (p. 14-15). Dans ce passage, l’accumulation de groupes nominaux au pluriel ainsi que les hyperboles (« plein de », « sans mesure ») amplifient cette impression. Le narrateur insiste aussi sur la saleté et l’obscurité

vraiment le profil d’un tombeur, et ses conquêtes, pourtant plus habituées que nous, s’en plaignaient même. Mais il devait avoir un autre atout, puisqu’elles tombaient comme des mouches… mais pas à cause de l’odeur ! Bon alors pourquoi tant de puanteur me demanderez-vous ? Eh bien à l’époque, l’eau c’était le mal, et trop se laver était considéré comme plus que suspect. Par exemple, dans les couvents, toute hygiène intime était interdite afin de ne pas réveiller le diable luxurieux qui y sommeillait

modeste rente mensuelle. Contraint de gagner sa vie, il travaille comme critique d’art et critique littéraire. Alchimie poétique : La boue et l’or -Magie - + -Transformation des métaux purifier-Réunions des opposés -Alchimiya= pierre philosophique grand œuvre -Al iksir : élixir (de longueur) graal Les Fleurs du Mal : Structure : 1ere publication 1857 100 poèmes2eme publication 1861 126 poèmesContenu : dédicace à Théophile Gauthier Parnasse I. Spleen et Idéal 85 poèmes

 d’une  façon  nonchalante  et  cynique Son  ventre  plein  d’exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout  ce  qu’ensemble  elle  avait  joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme  une  fleur  s’épanouir. La  puanteur  était  si  forte,  que  sur  l’herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D’où  sortaient  de  noirs bataillons De larves, qui coulaient

saisit, or cette main retourne au néant. .Il s’agit aussi de rabaisser l’orgueil humain, dont le corps est voué à devenir l’« ordinaire pâture » de vers goulus, la beauté à se transformer en laideur et le lieu des plaisirs (le ventre) en source de puanteur… .À l’ordre classique se substitue un chaos grouillant et hideux (donc remarquable) à la démesure baroque. Baudelaire semble avoir retenu la leçon pour sa Charogne. .Et de sa morale (dernier tercet) qui fait référence à l’Écclésiaste, livre de

est tranquille, ses voisins sont charmants et son ménage va bien. "L e ménage vécut dans l'enchantement de sa nouvelle demeure. Le lit d'Etienne occupait le cabinet, où l'on pouvait encore installer une autre couchette d'enfant. La cuisine était grande comme la main et toute noire ; mais, en laissant la porte ouverte, on y voyait assez clair. " I.3 ) La boutique : Le rêve de Gervaise. Elle est en heureuse et met tout son amour dans cette boutique. Les descriptions sont longues, subjectives, presque

XIXe siècle le Romantisme poétique s’établit face aux changements dans le monde. Les poètes de l’époque réagissent contre le siècle rationaliste et scientifique du Siècle des Lumières. Une poésie du <<moi>> se développe. L’épanchement du moi pour les grands romantiques c’est encore parler du monde. Victor Hugo écrit dans la préface de son recueil <<Les Contemplations>> : ‘Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous.’ En exprimant leur mal de vivre les poètes méditent sur l’amour, sur Dieu, sur

Paris au XIIIe siècleParis au XIIIe siècle Du 1 janvier 1201 au 31 décembre 1300 La célèbre citation: “Paris n’a pas été bâti en un jour” et encore plus vrai quand on compare Paris au 13e siècle, grande ville en plein chantier et Paris aujourd’hui, capitale de la France se comptant parmi les villes les plus touristiques du monde. I. Naissance d’une ville devenu capitale A. Une ville née autour de la Seine B. Philippe Auguste et son enceinte C. L’expansion urbaine II. L’Eglise

une vision épouvantable de l'animal. Malgré un vocabulaire atroce l'auteur nous décrit la mort avec réalisme le plus simplement possible, ''infâme (V3), suant les poisons (V6), ventre plein d'exhalaisons (V8), pourriture (V9), carcasse (V13), la puanteur (V15), putride (V17), larmes qui coulaient comme un épais liquide (V19)..'' Ce poème reste le plus choquant pour moi de la section Spleen et Idéal. Le premier poème m'ayant choqué est « Remords Posthume » poème XXXIII car le faite de se trouver

strophe par l’opposition de registres de langue entre « le soleil rayonnait » qui appartient au grand style et « la cuire à point » qui tranche par son prosaïsme et son style familier. La quatrième strophe produit le même effet de surprise par le contraste entre la description méliorative du monde : « et le ciel regardait », « superbe », « comme une fleur s’épanouir » et les vers 15 et 16 indiquant la puanteur de la charogne. L’horreur de la vision est renforcée par la vision de la perception de la femme :