La Grande Puanteur

sollicite à la fois la vue et l’ouïe. L’ouïe est encore sollicitée par le verbe “bombiner”, mot créé par Rimbaud d’après le verbe latin “bombino”, bourdonner. Enfin le sens olfactif réagit aux “puanteurs”. A ces correspondances sensorielles (vue, ouïe, odorat) s’associent des correspondances d’ordre moral: les “puanteurs cruelles” (hypallage) évoquent les connotations morales de la noirceur, ainsi que les “golfes d’ombres” qui, rejetés sur le quatrain suivant prennent une valeur particulière (ils s’opposent

homme : cela est mal car ils sont de la même espèce. Il rapproche les humain au animaux, dans l'acte de guerre « tous les chats d'un grand pays se sont assemblés par milliers dans une pleine » cela fait référence aux hommes en guerre, le résultat de ce rassemblement « neuf à dix mille chats sur la place, qui ont infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur », on leur prête aussi des actions de violence « qui s'aboient, qui s'affrontent, qui se mordent et se déchirent » ou « ils se sont

lignes 10-11) et aux conséquences du carnage (« infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur » ligne 11) pour exagérer les faits et frapper l’esprit du lecteur au sujet des affres de la guerre. Une question rhétorique posée par le romancier (« si l'on vous disait que […] de cette mêlée il est demeuré de part et d'autre neuf à dix mille chats sur la place, qui ont infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur, ne diriez-vous pas » lignes 7 à 12) reçoit comme réponse une métaphore rapportée au

compare les animaux aux Hommes. Il rapproche les actions humaine à celle des animaux dans l'acte de guerre « tous les chats d'un grand pays se sont assemblés par milliers dans une pleine » cela fait référence aux hommes prêt au combat, le résultat de ce rassemblement « neuf à dix mille chats sur la place, qui ont infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur », on leur prête aussi des actions de violence « qui s'aboient, qui s'affrontent, qui se mordent et se déchirent » ou « ils se sont

compare les animaux aux Hommes. Il rapproche les actions humaine à celle des animaux dans l'acte de guerre « tous les chats d'un grand pays se sont assemblés par milliers dans une pleine » cela fait référence aux hommes prêt au combat, le résultat de ce rassemblement « neuf à dix mille chats sur la place, qui ont infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur », on leur prête aussi des actions de violence « qui s'aboient, qui s'affrontent, qui se mordent et se déchirent » ou « ils se sont

cette crasse. Chapitre 4 : A la fin du XVIIIe s, nouvel objectif : rallonger la durée de vie de la population. à Premiers calculs de mortalité et de naissances. La puanteur est jugée dangereuse, elle est synonyme de malpropreté pour les espaces et les corps et serait même une des causes principales de mortalité. Les puanteurs urbaines s’opposent donc à la propreté. A la fin du siècle, des travaux sont entrepris pour les « rafraichir » les villes (les débarrasser des mauvaises odeurs et des ordures)

manque d’hygiène, la puanteur, l’humidité…). Un canon au premier plans au centre entouré de deux soldats. Le soldat qui se trouve a l’arriere apparé en partie . Les lignes de se tableau sont toutes centrifuges, courbes ou bien alors droite. De plus la ligne principale qui découpe le tableau en deux parti est basée sur le canon.En bas du tableau, se sont le jaune et le orange qui domine pour evoquer la terre et le vert en haut évoque le paysage plus ou moins lointain. De grande tache blanche apparaisse

LECOMTE CassandreLe génocide des Juifs et des Tsiganes1- Les ghettos font partie intégrante de la politique d’exclusion de ceux qui sont considérés comme des « sous-hommes » par le régime nazi. Leur fonction est de séparer les Juifs du reste de la population afin de germaniser les terres conquises. 2- Le 22 juin 1941 est lancée l’opération dit « Barbarossa » ayant pour but la conquête de la Russie. Cette avancée s’accompagne de massacres de masse systématiques

exhalaison, puanteur, pestilence, infection, relent, remugle, essence, fumet, ... -   adjectifs : suave, fugace, sucré, musqué, délicat, délicieux, velouté, âcre, aigre, amer, agressif, capiteux, suffocant, écœurant, pestilentiel(le), aromatique, (dés)agréable, fétide, fin, fort, infect, méphitique, nauséabond, odoriférant, piquant, rance, subtil, tenace… Saveurs - noms : Arôme, flagrance, parfum, senteur, bouffée, (un) effluve, émanation, exhalaison, puanteur, pestilence

mondiale.Avec ma mère, nous fîmes un grand tour dans les rues proches de l’hôpital, un après-midi, à marcher en traînant dans les ébauches de rues qu’il y a par là, des rues aux lampadaires pas encore peints, entre les longues façades suintantes, aux fenêtres bariolées[footnoteRef:1] des cent petits chiffons pendants, les chemises des pauvres, à entendre le petit bruit du graillon[footnoteRef:2] qui crépite à midi, orage des mauvaises graisses. Dans le grand abandon mou qui entoure la ville, là où