La Grande Puanteur

poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique2 Son ventre plein d'exhalaisons3. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride4, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais

transforme en « exhalaisons » / rime « poison » = puanteur. Vue : « suant les poisons », verbe d’action « ouvrait son ventre »… >>> Spectacle de l’horreur ! Mise à distance – ironique – de la poésie amoureuse… - Strophes 3 à 9 (V. 9 à 36) : une charogne. Une métamorphose poétique. V. 9-12 : thème de la désagrégation,

précipitent l'action c) variété des vers avec une alternance alexandrins/octosyllabes → précipitation de rythme par la cassure. 3) Des péripéties mortelles a) l'ours ou la franchise du courtisan → grande opposition entre la magnificence attendue et la puanteur trouvée au v. 15 → champ lexical de la puanteur + euphémisme v. 19, le lion tue l'ours b) le singe ou courtisan trop hypocrite → champ lexical de l'excès + accumulation « et » + anaphore « Il n'était » v. 23 + son argument → antithèse « ambre

- Tableau d'analyse ( repérage + interprétation ) - Problématique - Trouver 2 ou 3 grandes idées et classer arguments et exemples dans le tableau - Introduction - Conclusion ► Rédaction au propre *Plan détaillé: I-________________________________________ 1.A) Idées expliquées Exemples 2.A)_____________ 3.A)_____________ Remarques: -Expliquer le sens du mot baroque -Grands thèmes du poète -Rédiger annonce du plan -Alinéa ou début - Dans le développement ne

DECLERCK apporte les témoignages, les histoires de vie, les comptes rendus de consultations psychiatriques de ces hommes qu’ils nomment « les clochards », « car il faut bien leur donner un nom ». La seconde partie fait état et analyse le problème de la grande désocialisation et dénonce la réponse inappropriée par laquelle les pouvoirs publics répondent. 1ère PARTIE – Routes. Patrick DECLERCK a suivi les clochards de Paris pendant 15 ans. Ils sont entre 10 000 et 15 000 à vivre dans la rue de façon

En effet, en utilisant les termes : « les ordures de la cité, miettes tombées de la table, nœuds de dentelles laissés sur les divants, chevelures oubliées dans les fiacres, billets de banque glissés dans les corsages… » Zola fait preuve ici d’un grand souci du détail qui retranscrit avec précision la débauche ainsi que la luxure dont il est question dans l’extrait. Ces détails qui peuvent sembler triviaux, aident le lecteur à se projeter plus aisément dans ce Paris dans lequel les comportements

1467. Son père était prêtre et sa mère fille de médecin. Il va d'abord dans une école monastique où il est fortement marqué par la spiritualité des Frères, avant d'entrer, vers 1486, au Couvent des Chanoines Augustins où il se passionne pour les grandes œuvres humanistes et commence à écrire lui-même des textes qui défendent la culture Antique. En 1492, à l'âge de 25ans, il devient ainsi prêtre dont sa formation et sa culture en font un moine humaniste. Il effectue ensuite d'importants voyages en

révélaient, quand on y regardait de plus près, n’être qu’un fatras de superstitions. 2.3. Monologue de Giuseppe Baldini : Tout le malheur de l’homme vient de ne pouvoir rester seul dans sa chambre, là où est sa place. Dixit Pascal. Et Pascal était un grand homme, un Frangipane de l’esprit, un artisan dans le meilleur sens du terme, mais les gens de cette trempe ne font plus recette aujourd’hui. A présent, les gens lisent des livres subversifs, écrits par des huguenots ou des Anglais. Ou bien ils écrivent

exigeante et capricieuse, difficile a satisfaire. Mais Marion a un don merveilleux : elle sait composer des parfums. Elle a aussi inventé un élixir pour protéger son nez des affreuses odeurs qui foisonnent à Versailles. Le bonheur de travailler pour une grande dame est vite gâché par certains soupçons : odeur de sang, odeurs inconnues, rumeurs de messes noires et de bébés sacrifiés. La belle marquise serait-elle un monstre capable de tuer pour satisfaire son ambition ? Marion mène l’enquête et prévient

(« J’oublie la pollution urbaine »v.20 ;  « Loin des puanteurs de la ville »v.6). Le poète nous fait comprendre que la nature n’existera plus dans le futur dans les vers 11 et 12 : « De ces merveilles de la nature Qui nous manqueront dans le futur. » Poème écolo d'Adeline Neetesonne Mes cheveux volent librement Tandis que j’erre simplement Au milieu d’une forêt déserte, À la fois pure et inerte. Alors je sens la chlorophylle, Loin des puanteurs de la ville Et j’écoute le chant des moineaux,