La Haine

dur, à trouver un logement et à prévoir l’avenir afin de pouvoir devenir riche par ses propres moyens. Le deuxième état psychologique dans lequel Pierre a évolué dans ce récit est celui de la haine qu'il ressent envers sa mère lorsqu’il comprend qu’elle a trompé son père. Il se sent trahi. Il éprouve de la haine envers son petit frère qui obtient une fortune d’un héritage alors que lui n’a rien. Au final il finira seul sur la « Lorraine ». La famille comprend mal son caractère exalté et ses rêves idéalistes

personnalité de K, dynamique et joyeuse, on peut être terroriste et s’amuser. B/ Les mobiles de Stepan - S ne peut pas partager la même vision ( personnalité différente et un passé différent. - Etre de haine ( quand K parle d’amour, S utilise des phrases négatives ( revendique la haine. - Phrases courtes et pas de nuance des opinions, affirmations ou des négations absolues. - Pas aminé par l’amour des autres, tourné vers l’action ( il ne les appelle pas « frère », ne montre pas d’amour

se sent bien qu'en sa compagnie ou lorsqu'il sait que Paul est seul. Son sentiment et sa haine empirent, il fait tout pour voir sa bien-aimée, ceci l'énerve. Juliette commence à comprendre Caïn, elle veut lui parler mais il ne veut pas. Tout est alors avoué à Paul par Juliette. Caïn se retrouve alors tout seul. Il essaye quand malgré tout de rediscuter avec Juliette, mais cette dernière, connaissant la haine et la jalousie qui habitent Caïn, ne lui répond pas, pour son bien peut-être. Il finit enfin

agissant avec raison. Mais cette scène montre aussi qu’Orgon est vraiment un personnage étroit d’esprit, colérique et irréfléchi. Il s’emporte trop vite et son jugement est toujours excessif ainsi il passe de l’admiration sans borne de Tartuffe à la haine de tous les dévots qu’il considère à tort comme des imposteurs (Vers 1617-1619). Il n’est jamais dans le juste milieu et toujours aux extrêmes. Et irréfléchi, il ne pense pas aux conséquences de ses actes et paroles. Il fait tout ce qu’il ne faut pas

commencé mais dans tous les cas elle était là en moi et clelia et les fille les plus populaire de notre petit collège, Hee oui même dans le village le plus petit de la campagne suisse l’importance de l’aparence arrivait à nous perssecuter. Une foi que la haine c’étai développé entre nous tous le reste du village se son rangé vers la facilité par peur d’afronté la mechansté au coté de la justice. Durant les deux ans de cet enfer remplis d’insultes et de crasse nous nous encore plus rapproché

présentées dans le roman. Hell.com a beaucoup fait parler les gens de la communauté. Certains le trouve trop violents et explicite mais d’autre l’ont adoré, comme moi, en partie à cause des sujets troublants abordés qui nous permettent d’exprimer de la haine, de la colère, etc. Le roman de Patrick Senécal a reçu le prix du public, au Salon du Livre de la Côte Nord, en 2010. Pour conclure, j’ai adoré le livre Hell.com, car il est très bien écrit et puis même s’il s’adresse à un public assez vieux, l’histoire

la liberté d’expression s’est considérablement restreint, toujours au nom des meilleures intentions. Alors que la liberté d’expression était jusque-là seulement limitée par "l’appel à la violence", le citoyen s’est vu interdire "l’incitation à la haine raciale" (lois Pleven de 1972), l’expression de certaines vues sur l’histoire (lois Gayssot et Taubira), ainsi que plus généralement – et de manière encore plus intangible – la provocation à la discrimination (loi Halde 2004).   Rappelons que le

votre dévoué cousin, Charles. Après cette lecture je ne réalisais pas tout de suite l’ampleur qu’allait avoir ce courrier sur l’avenir de ma vie. Cette lettre m’était tellement incompréhensible, je ne savais d’abord pas si je devais exprimer de la haine ou de la compassion pour Charles. Mes sentiments se bousculaient et s’emmêlaient entre eux. Je ne savais comment je devais interpréter ce que je venais de lire, c’est pourquoi je décidais d’effectuer une relecture plus approfondie du courrier afin

« tranquille à mes alarmes », « il ne vit plus pour nous » Interpellations négatives sur l’homme aimé (rendent compte de sa colère envers Pyrrhus) → « le cruel » , « l’ingrat », « le perfide » 3) Le désir de vengeance Vocabulaire de la haine (souligne le ressentiment qu’elle éprouve pour Pyrrhus) → »je hais », « courroux », « rage », « venger » Termes appelant le thème de la mort (montre qu’elle prépare le meurtre de Pyrrhus) → »trépas », « expire », « l’assassiner », « sa mort » Imprécation

Emilie, personnage énonçant ce monologue, nous fait découvrir son profond désir de se venger d’Auguste (« impatient désirs d’une illustre vengeance », » pour une mort, lui [Auguste] devoir mille morts. »), ainsi que son état psychologique, allant de la haine profonde à la crainte de perdre son amour. Malgré cette peur, elle est déterminée. Auguste s’est hissé au pouvoir par l’intermédiaire de l’assassinat de Toranius (« Auguste au milieu de sa gloire »), il est présenté comme l’ennemie juré de Emilie (« assassin »