La Horde sauvage

ce résultat ; car, pendant longtemps, elles sont douloureuses et sans compensation II. Ont-elles d'ailleurs ce résultat ? Le bonheur, c'est l'état de santé ; or, la santé ne s'accroît pas à mesure que les espèces s'élèvent. Comparaison du sauvage et du civilisé. Contentement du premier. Multiplication des suicides avec la civilisation ; ce qu'elle prouve. Conséquences importantes au point de vue de la méthode en sociologie III. Le progrès viendrait-il de l'ennui que causent les plaisirs

groupe humain sont régies par l’ordre social, qui garantie l'harmonie des intérêts et qui permet la co-existence des individus. Dans son livre « Totem et tabou[6] », Freud explore l’établissement du lien social à la suite du meurtre du père de la horde primitive. Ce parricide introduit, dans la vie du groupe, de la culpabilité et du renoncement. Le père réel est mort, mais il reste le totem, le père symbolique qui devient le garant de l’ordre social, « les compagnons de tribus sont déguisés à la

dégénère ainsi de la dignité de sa nature, c' est encore l' homme qui, par état, exerce les facultés les plus déliées de son esprit. " dès le commencement du siècle, Lemontey, comparant l' existence de l' ouvrier moderne à la vie libre et large du sauvage, trouvait le second bien plus favorisé que le premier. Tocqueville n' est pas moins sévère : " à mesure, dit-il, que le principe de la division du travail reçoit une application plus complète, l' art fait des progrès, l' artisan rétrograde. "

l’inceste dans les sociétés animales, chez les primates en particulier. Ce serait une manière d’éviter l’inceste. Généralement, les femelles quittent le groupe pour aller trouver des mâles d’un autre groupe. C’est aussi une forme d’évitement de l’inceste. Horde – société La société conçue comme une organisation complexe d’individus divers, fondée à la fois sur la compétition et la solidarité, comportant un système de communication riche, est un phénomène extrêmement répandu dans la nature. On a considéré

que probable que, s’il nous était donné de lever le voile ténébreux de l’antiquité et de les examiner à leur source, nous trouverions que le premier d’entre eux ne valait guère mieux que le principal brigand d’une troupe effrénée, dont les mœurs sauvages ou la prééminence en fait de subtilité lui obtinrent le titre de chef parmi les voleurs ses camarades, et qui, en étendant son pouvoir et ses déprédations, força les hommes tranquilles et sans défense à acheter leur sûreté par des contributions fréquentes

au tout, prenant son lyrisme pour de la science, ses aveux personnels pour des démonstrations scientifiques. Qu'un Hitler recopie d'une plume assez lâche quelques feuillets de l'Essai sur l'Inégalité dans ce qui va devenir, aux yeux d'une horde d'assassins, quelque chose comme une bible, et voici que le scrupule détourne les plus objectifs. Ce « raciste » poursuivait une chimère : lui-même. Raciste ? D'abord, Gobineau n'a jamais défendu l'aryanisme, puisque, dans le sombre

un caractère pathologique. – Conditions essentielles de la vie. – Le criminel n’est anormal qu’en rapport à l’homme civilisé. – Existences d’anomalies non pathologiques. – La peine de mort justifiée. V. Le criminel typique. – Est-il comparable ou sauvage ? – Atavisme préhumain. – Hypothèse de la dégénération. VI. Les trois grandes classes de criminels. – Criminalité endémique et imitative. – Passions, tempéraments et causes extérieures. – Existence constante d’un élément psychique différentiel

Afanassiev, on fera découvrir d’autres recueils de cet auteur, par exemple Contes de la renarde, Contes du prince Ivan, et La Cane aux œufs d’or, tous trois parus en « Bibliothèque rose »(Hachette Jeunesse), à consulter en bibliothèque, ou Les Oies sauvages (Bilboquet, adapt. Isabelle Chatelard, trad. France Alessi). On y trouvera d’autres contes où apparaissent Vassilissa ou la Baba-Yaga. 38 Littérature – Cycle 3 ANDERSEN HANS CHRISTIAN * Le Petit Soldat de plomb Le Petit Soldat

sociétés humaines où l’échange n’existait pas ; * Les sociétés naturelles (primitives) avaient un mode de production tributaire, c'est-à-dire, c’étaient des sociétés de chasse – pèche – cueillette. C’étaient des sociétés organisées sur le clan, la horde, la tribu, l’espèce (sociétés consanguines). Dans ce type de société, l’espèce humaine se réduisait au clan. Tout ce qui ne faisait pas partie du clan n’était pas humain. D’après Levi Strauss, ce sont des sociétés coincées entre 2 pôles : pénurie

juste et de l’injuste, n’est possible que par le moyen du langage et apparaît ainsi comme le propre de l’homme. Et c’est parce qu’ils perçoivent en commun ces valeurs que les hommes sont capables de former des cités ( différent de famille, village, horde, troupeau, meute, …). C’est dons dans l’exacte mesure où l’homme est un animal raisonnable qu’il est également un animal politique. C’est dans la cité, où il vit sous la règle de la raison, qu’il réalise la perfection de sa nature. Certes, la genèse