La Jalousie Dans La Tragedie

emporté par son style, Hugo n’a pas réussi à tenir cet objectif, et l’ouvrage est devenu un manifeste pour le romantisme de plusieurs centaines de pages, dans lequel il dresse une liste des génies de la littérature. Dans cet extrait, c’est la grande tragédie Othello qui est étudiée. Un portrait sombre y est dressé, les personnages sont noirs, soit physiquement comme Othello, ou bien moralement comme Iago. Il fait un remarquable contraste entre la nuit incarnée essentiellement par Othello et le jour qui

Introduction : Le misanthrope est une œuvre théâtrale comique écrite par Molière en 1666 et parût pour la première fois en 1667. Elle est écrite en cinq actes en vers. Ce choix d'écriture est conforme aux normes d'écritures de la tragédie, ce qui élève la comédie à une certaine dignité. C'est pourquoi, Boileau présente cette pièce comme un modèle, une grande comédie de Molière. Le titre « misanthrope » vient du grec « misien » qui veut dire haïr et « anthrôpos » qui signifie Homme. Ainsi la misanthropie

Phèdre de Jean Racine Phèdre est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine. Elle fut jouée pour la première fois le 1er janvier 1677 à l’hôtel de Bourgogne avec le titre Phèdre et Hippolyte. La pièce fut nommé Phèdre qu’en 1687, soit dix ans plus tard. Résumé par actes Acte I Hippolyte, fils de Thésée et d'une Amazone, annonce à son confident, son intention de quitter la ville de Trézène pour fuir son amour pour Aricie, héritière d'un clan ennemi de Thésée. Phèdre, épouse de

POURQUOI PHEDRE ? QUE PROPOSE CETTE EDITION ? Grand classique de la littérature française, Phèdre de Jean Racine est une œuvre incontournable des programmes scolaires. Elle offre en classe de Seconde la possibilité de travailler un genre théâtral, la tragédie, dans une de ses réalisations françaises les plus régulières. À travers Phèdre, on pourra aussi aborder le classicisme, mouvement culturel au programme du niveau seconde. Là encore, les principes fondamentaux propres à l’objet d’étude présentent

INTROUDUCTION Jean racine a su parcourir Phèdre par de multiple thèmes mais nous nous consacrons a certains. Phèdre c’est la tragédie de la passion. Dans l’œuvre ; l’amour que l’un des personnages voué a son beaux fils est perçu comme une force irrésistible. Une passion dévastatrice entre dés lors en jeu et donc prend une place considérable dans les écris de racine et dans notre exposé et qui est le désamour relation qui débouche a la haine la trahison ou la malédiction : la mort donc que

Racine Jean Racine est un dramaturge et poète français, considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France. Sa représentation d'Alexandre le Grand en 1665 lui permit d'obtenir le soutien du jeune roi Louis XIV. Il devins par la suite historien du roi tout en conservant son côté artistique lorsqu'il avait besoin d'être réquisitionné. La tragédie Andromaque est le plus touchant modèle de tendresse maternelle et de piété conjugale. Son succès rappela celui

et refuse de les voir s’absenter même l’espace d’une soirée. À partir du passage étudié, Swann adopte la même attitude furieusement possessive à l’égard d’Odette de Crécy. Cette jalousie naissante continuera à croître, se répandre, jusqu’à envahir totalement l’esprit, le corps du personnage, et l’œuvre entière. La jalousie. La peur que l’autre n’existe sans nous. L’Amour en tant que relation de confiance et d’estime entre deux êtres n’existe pas ; Proust bouscule ici toute une vision romantique de

Commentaire composé sur un extrait de Andromaque de Racine, 1667 Le crime passionnel désigne un meurtre dont le mobile est la passion ou la jalousie amoureuse. Ce type de crime est récurent dans la littérature, on peut notamment cité le meurtre de Camille par Laurent et Thérèse dans Thérèse Raquin de Zola. On le retrouve aussi dans la tragédie en cinq actes Andromaque de Racine, écrite en 1667. Cette pièce met en place des personnages confrontés à la fatalité de leur destin : Andromaque doit

conséquences les plus déplaisantes de la jalousie d’Arnolphe : sa mesquinerie, sa cruauté, qui n’existaient qu’à l’état latent, mais qui ici se donnent libre cours, rendant le personnage définitivement antipathique, annihilant définitivement la compassion que l’on pourrait ressentir pour sa véritable souffrance. Le contraste, comme souvent, met en valeur les deux éléments. Ce type de quiproquo à intérêt psychologique se retrouve tout naturellement dans la tragédie, où l’analyse des passions est essentielle

compréhensifs. Nous attendons, à ce que les personnages soient confrontés à des difficulté auxquels nous serions incapable de nous livrer. Cela est gênant pour le lecteur car il peut se reconnaître a travers l'ensemble des personnages : Pierre a travers la jalousie obsessionnel, Jean à travers son égoïsme... Maupassant a choisi de raconter les événements d'un point de vue externe. La froideur de ce roman en est la conséquence. Il n'a pas choisi de séduire le lecteur par des scènes émouvantes et surprenantes