La Jeune Veuve De La Fontaine

mort Barreau Ombeline Seconde 3 J’ai choisi ce titre avec comme thème la mort car dans différentes fables, Jean de la Fontaine nous montre que la mort est inévitable. La mort est un sujet dont il est difficile de parler mais La Fontaine explique qu’il ne faut pas redouter la mort car on ne peut rien faire contre, d’où mon titre « Rendez-vous avec la mort ». La Fontaine veut aussi montrer que chaque moment est important et qu’il faut profiter de l’instant présent, la mort n’est pas si dur que

Anthologie de la fable ayant pour theme la mort Preface Jean de La Fontaine est né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry et mort le 13 avril 1695 à Paris ; c’est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. C'est en effet en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope

av. J-C en Mésopotamie. Cette forme d'écrit se répend notamment en Grèce avec les fables d'Esope au IVième siècle av. J-C. Pilpay, fabuliste idien, écrivit ses fables traduites de l'indien à l'arabe, puis de l'arabe au latin. Plus tard, Jean de La Fontaine ( poète français de la période classique ) s'inspira de ces fabulistes pour écrire ses fables. Au travers de celle-ci, il osera critiquer la société grâce à l'humanisation des animaux, aux renversements de situation, au destin tragique de certains

à « La jeune veuve », extraite du 21ème chapitre du livre VI des Fables de Jean de La Fontaine. Cette fable date de 1668. Puis, nous étudierons L’Abenaki de Saint-Lambert, un officier et homme de salon parisien, qui date de 1778. La question qui se pose est de savoir quels étaient les buts de ces auteurs et de leurs textes respectifs. Tout d’abord, nous traiterons la fable de La Fontaine, puis le conte philosophique de Saint-Lambert. Dans cette fable, nous pouvoir voir que La Fontaine cherche

La Jeune Veuve de Jean de La Fontaine C’est une fable assez longue, ce que fait rarement La Fontaine. JDLF (Jean de La Fontaine) est un auteur classique du XVII ème siècle. Moral Explicite : Fin = Bilan ; Début = présentation qui présente le récit en exemple Moral Moral Implicite : sous-entendus à déduire du récit Fable Récit Narratif : description, point de vue, paroles rapportées, personnages ... La fable appartient à l’Apologue*. * Apologue : Récit qui mène à une moral exemple : compte

LA JEUNE VEUVELa perte d'un époux ne va point sans soupirs, On fait beaucoup de bruit ; et puis on se console : Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole,Le Temps ramène les plaisirs.Entre la veuve d'une annéeEt la veuve d'une journéeLa différence est grande ; on ne croirait jamaisQue ce fût la même personne :L'une fait fuir les gens, et l'autre a mille attraits.Aux soupirs vrais ou faux celle-là s'abandonne ; C'est toujours même note et pareil entretien ;On dit qu'on est inconsolable ;On le dit

(« la jeune veuve ») en revanche, malgré son aspect vivant et théâtralisé (avec la prise de parole directe de la jeune veuve en fin de fable, entre guillemets, pour animer la démonstration du fabuliste) assume un côté plus sérieux, ne serait-ce que dans le sujet-même de la fable, la mort et le deuil. On notera bien le champ lexical de la mort (« veuve », dès le titre, mais aussi « inconsolable », « âme », « consoler », « morts »). L’aspect grave de la fable se lit également dans la longueur de

disent. En effet, comme nous l’avons vu Anouilh les qualifie d’ « entreprise futile » dans Avertissement hypocrite. Il les qualifie également de « plaisir d’un été », facile et rapide à écrire. Par ailleurs, dans Le Pouvoir des fables, Jean de la Fontaine écrit « Lisez-les, ne les lisez pas ». Ainsi, il nous donne le choix de leur lecture, comme si cela n’avait pas d’importance. De plus, il donne à ses œuvres un dessein dérisoire « Peut-elle s’abaisser à des contes vulgaires ? ». Qui plus est, il

Cette fable, située à la fin du livre sixième des Fables de La Fontaine, évoque une jeune veuve qui après avoir pris le deuil, avoir pleuré la mort de son mari, se console, et demande à son père un autre mari. La Fontaine s’inspire ici de la fable d’Abstémius, « La femme qui pleurait son mari mourant et son père qui la consolait ». Comme le fabuliste classique le souligne lui-même : « C'est la dernière fable du premier recueil, c'est un conte exquis : l'amour "éternel" voué au mari défunt disparaît

multitude d’auteurs » (Mudry 43). C’est en effet ce que nous annonce Jean de la Fontaine dès les premiers vers de sa fable : « s’il est un conte usé, commun et rebattu » (La Fontaine 403). Pourtant, bien qu’il reconnaisse la multitude des adaptations de ce conte mythique, La Fontaine ne résiste pas à l’adapter et le publie pour la première fois en 1682, dans Le poème du Quinquina et autres ouvrages en vers de M. de la Fontaine, puis le reprend, en 1694, pour le joindre au douzième livre de ses Fables