La Jeunesse Et La Vieillesse Beauté

    Mignonne, elle a dessus la place          Las ! las ses beautés laissé choir !          Ô vraiment marâtre Nature,          Puisqu'une telle fleur ne dure          Que du matin jusques au soir !          Donc, si vous me croyez, mignonne,          Tandis que vostre âge fleuronne          En sa plus verte nouveauté,          Cueillez, cueillez votre jeunesse :          Comme à ceste fleur la vieillesse          Fera ternir votre beauté.                             Pierre de Ronsard  Les Odes (1550)

également des événements déclencheurs. L’accumulation de tous ces facteurs peut entraîner une détresse importante chez la personne âgée. Les changements d’humeur ou le manque de tonus sont souvent considérés comme les simples conséquences de la vieillesse, ils sont parfois les premiers symptômes de détresse pouvant conduire au suicide, il est donc nécessaire de mieux cerner les problèmes afin d’anticiper les riques. L’anticipation d’un placement en centre d’accueil (EHPAD) peut s’avérer un facteur

d'attirance à cause de la vieillesse. Ainsi, on peut se demander si, comme le prétend Camus «  Aimer un être, c'est accepter de vieillir avec lui ». La beauté joue tout de même un rôle dans une relation. Il n'est pas probable d'aimer quelqu'un que nous trouvons laid(e). En outre, la beauté est trop subjectif pour être juger par les autres, et n'est pas toujours explicable non plus. Le charme est aussi acteur de l'amour et se trouve encore moi explicable que la beauté, c'est la plus belle attirance

Le soleilINTRODUTION :« Le soleil » est un recueil du Les Fleurs du Mal et est le deuxième poème de la deuxième section « Tableaux Parisiens ». Cette section assimile la ville moderne aux vices et à la misère, ma également à la possibilité d'une beauté nouvelle. Un poète dans une ville et sous un soleil personnifié (vers 1 à 5) Le poème commence par deux Alexandrins parlant de Paris. Il y a un champ lexical péjoratif de la ville avec les mots « vieux », « masures ». La rime « taudis / luxes » souligne

cynique Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Son ventre plein d'exhalaisons. Moisir parmi les ossements. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine Comme afin de la cuire à point, Qui vous mangera de baisers, Et de rendre au centuple à la grande Nature Que j'ai gardé la forme et l'essence divine Tout ce qu'ensemble elle avait

auberge, ils sont arrêtés par la milice et emmenés auprès de l'Empereur. Celui-ci lui annonce qu'il aura les yeux brûlés et les mains coupés, mais que, a l'instar du « dernier repas du condamné », il devra terminer une peinture commencée dans sa jeunesse. Le vieil homme se retrouve alors, par un étrange phénomène, à voguer sur les flots de ses songes accompagné de son disciple, abandonnant le monde de l'empereur, qui ne gardera d' eux qu'un peu « d'amertume marine ». « Le sourire de Marko »

« émerveillant »Le rapport à la beauté est inversé, c’est Hélène qui s’extasie devant les poèmes de Ronsard, et non Ronsard qui s’extasie devant la beauté d’HélèneVers 4Imparfait de répétition« célébrait » et « étais »La beauté d’Hélène ne dure qu’un temps, alors que les poèmes de Ronsard sont immortelsVers 1 et 4Rime féminine« chandelle » et « belle »La chandelle se consume comme la beauté de la femmeVers 3 et 4Opposition Hélène célèbre le poète, mais il n’y a plus de raison de célébrer la beauté de la femme qui

même époque. -Quand vous serez bien vieille de Pierre Ronsard : Ce texte est un autre sonnet de l’auteur. J’ai trouvé ce texte plaisant et agréable à lire car l’auteur qui fait d’Hélène sa muse essaie de la faire culpabiliser sur l’effet de la vieillesse et l’amour qu’elle refuse d’avoir pour le poète. -La cigale et la fourmi de Jean de La Fontaine : Cette œuvre est extraite du recueil de Fables de La Fontaine dédié au dauphin de France écrite vers 1680 et accompagné de morale. -Le renard et les

points communs avec une jeune fille : sans être totalement personnifiée, elle est caractérisée par un vocabulaire plutôt réservé à un être humain : « jeunesse », au vers 2, « grâce » et « amour », au vers 5, « languissante » et « elle meurt » au vers 8. Ces mêmes éléments caractérisent la femme aimée (« en ta première et jeune nouveauté », vers 9, « beauté », vers 10, « t’as tuée », vers 12, par exemple), rapprochant ainsi encore le comparant et le comparé. [Phrase conclusive paragraphe I1] La femme

1 – Victor Hugo défend la jeunesse A – Les valeurs de la jeunesse Victor Hugo aime la jeunesse. Il veut protéger cette jeunesse innocente. Cela se ressent par une telle motivation à leur faire prendre conscience de leur liberté. On peut le remarquer grâce à une gradation qu'il utilise, pour parler des jeunes ; vers 5-6 : « Soyez jeunes, gais, vifs, amoureux, soyez fous ! O doux amis, vivez, aimez ! Défiez-vous. » et au vers 9 : « Des cheveux en forêt, noirs, profonds, abondants ». Grâce à ces