La Jeunesse Et La Vieillesse Beauté

déjà les projets poétiques de Baudelaire : fondé sur un oxymore, Baudelaire y associe les Fleurs, métaphore de la beauté, au mal. Baudelaire lie l’idéal poétique au mal-être et pense qu’il faut extraire le mal de la poésie pour en cultiver quelque chose de bien. Ainsi Baudelaire est partagé dans ce recueil, entre le spleen et l’idéal, le gouffre de la mélancolie et l’exaltation de la beauté, l’amertume et la sensualité. Dans ce poème, il évoque avec un certain sentiment d’impuissance l’effet oppressif

distinguer sur mes cheveux ; cela éveilla mon esprit et adoucit le bourdonnement perturbant de cette soirée. Je profitais de ce moment pour me détendre un instant. Une odeur venait caresser mes narines, réveillant doucement les souvenirs d’une jeunesse éphémère que la mémoire seule parvenait à maintenir intacte. Ce parfum insaisissable et alambiqué vint se heurter avec acerbité contre mon nez. Puis, cette symphonie d’odeurs discontinues que possèdent les fragrances somptueuses balançait ce déferlement

- intimité (révélation de soi). La vieillesse comme période de développement : - plusieurs types de vieillesse • vieillesse biomédicale ou physiologique • vieillesse sociale • vieillesse personnelle ou affective - aspects psychologiques de la vieillesse Difficulté de résisté au stress Sentiment d’être inutile Difficulté à accepter dégradation de son corps, la beauté lié à la jeunesse et bonne santé. L’estime de soi diminue - taches développementales

dont il est amoureux, il compose de subtiles comparaisons ou d’efficaces métaphores pour leur rappeler que leur beauté est éphémère. (Citation associant la beauté de la femme à celle de la fleur) – Mais le poète peut aussi faire le choix d’une image provocante de réalisme pour nous contraindre à appréhender le temps qui passe… Queneau s’inspire bien de la nature quand il évoque la beauté de la "fillette" dont il admire "la taille de guêpe" ou "le teint de rose"… Mais il quitte ce langage imagé pour

Gomez le plus grand drame est la vieillesse. Dans cette scène nous pouvons observer le vocabulaire utilisé par le vieil oncle. Un vocabulaire mêlant amour et âge, comme dans le premier vers « Amoureux comme je suis de toi, Et vieux », ou l’on peut déjà identifier le sujet de cette scène qui parlera donc de l’amour que porte un homme à une femme beaucoup plus jeune que lui. Dans un premier temps Don Ruy Gomez montrera son amour et sa peur quand a la vieillesse qui le définit, comme par exemple

Diem donc au temps qui passe, à la vieillesse et à la mort. Nous pouvons le justifier dans Une charogne où Baudelaire insiste sur ce que le temps détruit avec la description macabre tout au long du poème, ainsi que dans Si tu t’imagines où Queneau décrit en premier temps la jolie femme, et en deuxième temps la femme vieillit pour lui faire « peur ». Dans Ode a Cassandre où Ronsard compare en premier temps la beauté de la femme à une rose et en deuxième temps la beauté de la femme à une rose ternit.

Ronssard. La dégradation du corps évoquée dans les vers 35 à 38 de « si tu t'imagines... » l'ai également dans « quand vous serez bien veille » : « quand vous serez une veille accroupie » et dans mignonne : « comme à cette fleur la vieillesse / fera ternir votre beauté ». C'est par analogie que le destin de la rose et de la femme que le carpe diem domine dans les trois poèmes. Les citations de Ronssard émaillent (éclair, dissimilé dans le poème) même directement le texte de Queneau : « ceuille, cueille

aux ambassadeurs, la racaille de mes pareils d'autrefois du temps où j'étais jeune et riche et puissant, le temps d'avant ma déchéance et misère. En ce soir du Ritz, soir de destin, elle m'est apparue, noble parmi les ignobles apparue, redoutable de beauté, elle est moi et nul autre en la cohue de réussisseurs et des avides d'importances, mes pareils d'autre fois, nous deux, seuls exilés, elle seule comme moi, et comme moi triste et méprisante et ne parlant à personne, seule amie d'elle-même, et au

d’un sonnet tiré du re- cueil Les Délices de la poésie Française aux caractéristiques classiques : utilisation d‘alexandrins, disposition des rimes ABBA ABBA ; CCD EDE et présence d’une chute au dernier vers. - Les Thèmes(s) : amour, éloge de la beauté féminine à travers un symbole. - La situation d’énonciation : L’énonciateur est l’auteur, que l’on remarque seulement à la quatrième strophe avec le pronom possessif « ma » (v.13).Pendant les trois pre- mières strophes, Malherbes emploie un présent

auberge, ils sont arrêtés par la milice et emmenés auprès de l'Empereur. Celui-ci lui annonce qu'il aura les yeux brûlés et les mains coupées, mais que, a l'instar du « dernier repas du condamné », il devra terminer une peinture commencée dans sa jeunesse. Le vieil homme se retrouve alors, par un étrange phénomène, à voguer sur les flots de ses songes accompagné de son disciple, abandonnant le monde de l'empereur, qui ne gardera d' eux qu'un peu « d'amertume marine ». Dans les Alpes Monténégrines