La Jeunesse Et La Vieillesse Beauté

temporaire pour le faire. Il commence par comparer indirectement la rose et la fille, mais il le fait en utilisant son langage musical pour aider à animer le poème. Il veut que Cassandre bénéficie de sa jeunesse parce qu’on ne sait jamais quand ça va finisse et la vieillisse va tenir sa beauté. En conséquence, le jeu dans ce poème est le jeu de la séduction que Ronsard utilise très bien. A mon avis, je pense que ce jeu de la séduction s’applique au poème bien et que la métaphore d’une fleur et

dépendance par ex). Les « vieux » ne sont plus partie prenante de la société, ils ne travaillent plus. Peut-on encore penser en termes de solidarité ? Sous quelle forme ? La société actuelle est une société qui privilégie avant tout la santé, la beauté. L’essai dénonce également le « jeunisme » : On oublie le relai historique et oral que sont les personnes âgées ; on ne prend plus le temps de les voir et de les écouter : « altération de leur identité sociale » Il s’agit d’un essai complémentaire

rentre dans le personnage de l'homme amoureux à la place de Ronsard. b) La beauté une menace du temps La beauté de la fleur comparé à la femme est une menace, car la fleur ce renouvelle tout le temps d'après le texte tout les jours → « que du matin jusques au soir » La beauté est menacer par le temps à cause de la vieillesse, du coup l'auteur montre grâce à la personnification de la fleur en femme que la beauté et la jeunesse n'ont qu'un temps et qu'il faut en profiter avant que ce soit trop tard

divinise donc la femme aimée Le but exprimé de la « promenade » est donc de voir si la rose a toujours la même beauté le soir que le matin. Mais on comprend à la fin que le véritable but du poète-séducteur est de faire constater à la jeune femme « Mignonne » que la rose, si belle le matin, est déjà toute fanée le soir, allégorie du temps qui passe vite de la jeunesse à la vieillesse. Dans la 1ère strophe, la rose est personnifiée par les termes : « sa robe

l'amour. 2. Deuxième strophe : Particularisation du thème, évocation de la beauté actuelle de la jeune fille dans la perspective de la fuite du temps. 3. Troisième strophe : 3 mouvements successifs. - Vers 27 à 30 : La fuite du temps, de la Jeunesse et de la beauté. - Vers 31 à 38 : Evocation imaginaire de l'avenir déplaisant mais inévitable ; la description caricaturale de la vieillesse s'oppose à celle, idéalisée, de la jeunesse dans la deuxième strophe. - Vers 39 à la fin : L'invitation hédoniste

parce que la vieillesse est mal vue dans notre société, parce qu’elle est cachée, qu’elle a décidé de décrire la vieillesse, les bons comme les mauvais côtés pour répondre à cette question : Comment « vieillir sans être vieux » ? D)Résumé de l’ouvrage L’auteur commence son ouvrage sur un constat, tout le monde a peur de vieillir et surtout de mal vieillir. Le regard de notre société sur le grand âge est terrible. Mais ce regard est différent en fonction des cultures, là où la vieillesse est vue

parler De votre beauté, mais ce n’est pas d’aujourd’hui. J’ai ouï conter de Troie Que cette ville fut jadis de très grande puissance, Et maintenant on en trouve à peine l’emplacement. Pour ce, je vous conseille d’excuser Que soient accusés de tricherie Ceux qui désormais ne voudront vous aimer. » – Vassal, vous avez eu une fâcheuse idée De me reprocher mon âge ; Si ma jeunesse est tout à fait passée, Je suis d’autre part riche et de haut parage4 ; On m’aimerait avec un peu de beauté. Il n’y a pas un

d'ailleurs analyser. Le titre fais allusion au parc du Luxembourg, à Paris, qui est doter de plusieurs allée, sentiers, jardins et donc il parlerait d’une de ses allées, ou il se serais passé un évènement. Dans un premier temps nous parlerons de la jeunesse et de l’amour, dans un second temps nous allons voir comment le poète met en avant le temps qui passe, sa fuite ce qui nous amènera dans un dernier temps aux regrets de l’auteur sur le temps et de l’amour. Dans ce poème, « Une allée de Luxembourg »

chanter quelqu’un -Le poème est construit autour d’une rose ; sous prétexte d’admirer cette rose, le poète entreprend une métaphore filée des beautés de l’une pour magnifier l’autre. La rose, en effet, semble parée de tous ses atouts attendus et révélés chez une femme. -Les personnifications de la fleur ‘’elle a dessus la place’’ (v.8), ‘’ses beautés laissé choir’’ (v.9), donnent à celle-ci des attitudes humaines, favorisant le rapprochement entre la femme et la fleur. - Sa couleur ensuite

n’en voudrais pas, hors cette fenêtre ». L’impatience, l’attente sont des sentiments qui laissent voir sa faiblesse comme étant un homme tout simplement qui aime une femme. - La passion et l’amour Les vers 431, 432 expriment la passion face à la beauté de Dona sol « J’en suis amoureux fou ! Les yeux noirs les plus beaux, Mes amis ! deux miroirs ! deux rayons ! deux flambeaux ! L’amour qu’exprime le roi se montre à travers l’éloge qu’il fait à Dona sol : « deux miroirs ! deux rayons ! deux