La Jeunesse Eternelle

rassemble les souvenirs de jeunesse de l’auteur, dans les années 1830. Le poète y évoque, comme dans un rêve, l’épisode heureux d’une rencontre amoureuse au bord de l’eau, sur un ton à la fois lyrique et romantique. Sur une musique légère et joyeuse que dessine la texture du poème, c’est comme un ballet à trois – les futurs amants bercés par la nature – qui se joue en deux actes, actualisant ainsi, à travers un souvenir personnel du poète, quelque chose du caractère éternel du mythe de l’Éden. I

devenir est constitué par un processus de contraires Les changements de contraires constituent une perpétuelle nouveauté. On appelle parfois Héraclite le père du "mobilisme universel". "Rien n'est stable. Tout devient. " L'univers est pour lui un éternel devenir. Qu'on prenne pour exemple l'image du fleuve qu'on trouve dans 3 fragments : Fragment 49 : "Nous descendons et nous ne descendons pas dans le même fleuve." Fragment 91 : " On ne peut pas descendre deux fois dans le même fleuve." Héraclite

à la rêverie ou bien la tentation en contradiction à cette saison « l’automne » reflétant la nostalgie. Ceci se liant alors au poème Mai, « Les pétales flétris sont comme ses paupières »v8 où nous sentons qu’Apollinaire vieillis et regrette cette jeunesse révolue débordante d’énergie. « Je respire l’odeur » vers 2, nous avons ici, une métaphore sensorielle, le parfum est comparé à l’oxygène comme étant une chose vitale, il éclore la vie. De plus, « ton sein chaleureux » ce tutoiement démontre une

Les heures qui passent, la nuit qui tombe et le jour qui se lève et l'idée perpétuel du mot "éternel". Le poème tient aussi le thème du carpe diem. Cependant, pour moi, c'est un message qui dit, profite car le temps pour toi n'est pas

jamais entendu parler. Les souvenirs d'enfance d'Amir et de sa jeunesse dorée sont teintés du climat du pays mais à la fois doux et remplis de lumière. L'amitié entre Amir et Hassan, qui réssit presque à transcender les difficultés raciales est très émouvante et j'ai été prise d'émotion à toutes les fois que je lisais l'inscription sur l'arbre "Amir et Hassan, les sultans de kaboul". La dévotion indéfectible d'Hassan, avec son éternel sourire nous le rend très sympathique et pas du tout "victimisé"

jeune» Une fois que le cadre est implanté, Rimbaud nous présente un «soldat jeune» (vers 5). Le fait qu’il décide de placer le qualificatif «jeune» après le nom mais juste avant la virgule permet au lecteur de s’attarder sur ce qualifiant. Cette jeunesse s’accentue encore plus avec le lexique «berce» (vers 11) et l’auteur va même jusqu’à faire une comparaison à un enfant : « Souriant comme sourirait un enfant malade» (vers 8). II. Une mise en scène dramatique 1. La chute du sonnet Le «trou

moulage de nousLe Portrait de Dorian GrayOscarWilde1890-il met le lumière sur l’impact de la métamorphose physique du « moi », soit de l’identité physique sur l’esprit de l’homme- Dorian Gray observe son portrait et s’inquiète du fait de son éternel jeunesse, étant jeune sur ce portrait, alors que le vrai Dorian lui s’en va vieillissant et selon lui il s’enlaidirait en même temps que le temps passe- ce portrait marque la fixation du moi physique dans l’éternité alors que le moi physique de Dorian

ce qui attire directement car c’est le seul vers en hexasyllabes. Après son invitation Queneau évoque le temps. Il oppose la jeune fille à l’immuabilité du cycle céleste, en lui démontrant que la révolution de la planète au tour du soleil est un éternel recommencement « /soleil et planètes/ /tournent tous en rond/». Ceci dans le seul but de mettre en relief son aspect mortel « /tu marches tout droit/ », et marque ainsi le caractère inévitable de la vieillesse. Il transpose une image opposant la beauté

bobos avant l'éternel dodo ! Et pourtant je suis là, à la fois enthousiaste, vulnérable et heureux. Heureux de parcourir la dernière ligne droite avant les tortueux méandres de l'agonie programmée, marri de n'avoir pas accompli tout ce dont ma jeunesse rêvait. Chaque soir de par le monde, 200 000 personnes meurent et les milliards d'électrons qui les composent retournent très vite ou tout doucement au pot commun. Chaque matin il en naît davantage, jaillis des ventres ensemencés par la poussière

livre et la charrue, apporteront le progrès chrétien aux populations s'étendant de la Méditerranée à la Scandinavie, de l'Irlande aux plaines de Pologne" (Paul VI 1964)  Issu d'une famille noble de Nursie, dans le centre de l'Italie, Benoît passa sa jeunesse à étudier à Rome. Choqué par la vie dissolue qui s'y menait, il se retira dans une région déserte près de Subiaco et vécut dans une grotte (baptisée plus tard la grotte sainte) pendant trois ans.     Durant toute cette époque, sa réputation de saint