La Jeunesse Sans Dieu

Testament de François d'Assise (1er texte p 49-50)Il était très malade donc il a dicté son testament à un frère de qui il était très proche a la fin de sa vie. Le testament contient des réflexions sur sa vie. C'est une vie qu'il voit sous la conduite de Dieu. François va également repeter les principes qui ont servis de fil conducteur dans sa vie. Et vers la fin du testament il precise que ce texte doit servir de règle au meme titre que la véritable règle de l'ordre franciscain. Ce texte a un valeur normative

fleuve Arno, par exemple, est utilise aussi bien pour un effet de localité (souci de réalisme) et aussi pour sa connotation universelle de la vie. Catherine remarque que « Dieu est partout ». C’est la première foi que les personnages parlent d’une présence bienveillante présente dans le contexte. Ici, la nature représente Dieu, ce dernier étant un « ange gardien », l’oppose du brutal Alexandre de Médicis. C’est aussi dans cette scène que l’on parle pour la première foi de la nature : « grenouille

programme le plus ambitieux qui soit. C’est leur dire qu’ils sont dignes de ce programme, et que cette ambition peut être la leur. Bien sûr, il y est question de Dieu. Certains, qui confondent sans doute la laïcité et l’éradication de toute mémoire, se récrieront. Les autres diront que c’est le Dieu des chrétiens et que cela exclut le Dieu des juifs, celui des musulmans ou celui des adorateurs de Krishna. Peu importe. Bien sûr, il y est question de chevalerie, et de défense de la maison contre les

Amour – Tendresse d’un vieux couple que ni habitude ni vie commune n’ont pu ternir. Lecture SATURNE Il est morne, il est taciturne, il préside aux choses du temps Il porte un joli nom "Saturne" mais c'est un dieu fort inquiétant. Il porte un joli nom "Saturne" mais c'est un dieu fort inquiétant. En partenariat avec www.bacfrancais.com En allant son chemin morose, pour se désennuyer un peu, Il joue à bousculer les roses, le temps tue le temps comme il peut. Il joue à bousculer les roses

même de cette société dystopique.Enfin dans ce monde, Dieu n’est plus « utile ». Le sauvage fait remarquer « qu’on ne peut être indépendant de Dieu que lorsque l’on a la jeunesse et la prospérité. » Or, dans ce nouveau monde, la jeunesse est éternelle grâce à la science et la prospérité est toujours au rendez-vous. La conclusion du Grand administrateur de la société (le chef, le Ford) est donc que Dieu n’est plus utile. À cela il ajoute : « Dieu n’est pas compatible avec les machines, la médecine scientifique

ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Pierre de RONSARD   (1524-1585) Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise aupres du feu, devidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous esmerveillant

pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un

Joachim du Bellay, il a renouvelé l’inspiration et la forme de la poésie française (Odes, Amours, Hymnes, etc.) Les Italiens le mettent au-dessus de leurs plus grands poètes ; dans l’Europe entière, il est lu et admiré. Lorsqu’il traverse Paris, la jeunesse l’acclame et les étudiants touchent sa robe pour devenir poètes. Ses seuls adversaires seront les protestants. En 1562, Ronsard, expert à l’escrime et à l’équitation, devait réunir une bande de garçons pour massacrer des Réformés qui venaient de

(l.16) : « Foule / Solitude » (l.29). Il y a l’opposition entre l’agitation et le repos : « tumulte, rumeur, lutte, travail / se reposer » (l.27-28). Il y a enfin l’opposition entre la vie et la mort , la jeunesse et la mort : « berceau / cercueil » (l.14-15) ; « laissant derrière lui la jeunesse » (l. 15), « sacrifice » (l.28), « deuil » (l.34), « mort » (34), « perte des êtres chers » (34), « tombeau » (37). Ces oppositions se chevauchent et renvoient à un principe général d’opposition entre le

pas si j’ai grand-chose à dire à la jeunesse africaine. Je pense qu’a cette période ou nous sommes tous les jeunes africains savent ce qu’il faut a ce continent et quel sentier il faut trottiner pour atteindre cet objectif. Nous n’en sommes plus à l’époque ou cette jeunesse était perdue, en déréliction, inapte de déceler ce qui ne va pas, asservie par les tendances extérieurs. La mondialisation impose certaines choses, malgré tout, il me semble que cette jeunesse est assez intelligente pour se déplacer