La Jeunesse Sans Dieu

livre 1 des Contemplations , publié en 1856 par V.Hugo écrivain romantique (1802-1885); contient des poèmes écrits sur une période de 25 ans ; « La Coccinelle » daté de 1830 appartient à la partie 1 « Autrefois », = poème de jeunesse. / forme simple et plaisante (5 quatrains d’heptasyllabes en rimes embrassées) pour un sujet tendre et léger relié au thème de l’amour. / D’où vient l’originalité de ce poème romantique ? Quatrain 1 >V1 : pronom pers « elle », jeune fille

conscience du poète De fait, ce poème donne une réele leçon sur le bonheur. Ainsi, grâce à ce poème lyrique, Victor Hugo nous expose sa propre conception du bonheur. Celui-ci réside selon lui dans le simple fait d'exister, dans la vie que Dieu a donnée aux hommes. Cette conception s'oppose à celle du philosophe des Lumières Voltaire, qui affirme dans "Le Mondain", près d'un siècle auparavant, en 1736, que le bonheur se trouve dans les biens matériels, lorsqu'il dit : "J'aime le luxe et la

l'rapportés rétrospectivement l'expérience. Essayez de détecter non seulement le point de vue de l'enseignant, le dialogue nutz Horváth avec divers Perso-nen. En outre, vous pouvez également regarder l'autre indépendante par-perspectives chez les jeunes sans Dieu. Par exemple, la jeune fille dans la forêt, qui entendu l'enseignant. Voici le narrateur ne agit que comme un amplificateur, depuis la réelle Told provient des filles. Un autre Personenperspek-tive indépendante importante nous donne le journal de Z

cette composition présente d’abord les mœurs des habitants de cette étrange région, hommes et femmes, puis leur culte, Dieu et le roi. - (l.1-8) : une jeunesse corrompue et débauchée - (l.8-17) : des apparences trompeuses et contre-nature - (l.17-26) : des comportements superficiels et mécaniques - (l.26-28) : la distance ironique de l’énonciateur étranger.. I) UNE JEUNESSE CORROMPUE(l1-8) -L’on parle d’une région” . Le Pronom indéfini “on”, déterminant indéfini “une”, le terme générique

personnage. En effet après la prise de voile d’Amélie, René verse des larmes qui cette fois lui semblent justifiées car le mal n’est pas imaginaire. En effet il dit: “J’avais voulu quitté la terre avant l’ordre Tout-Puissant; c’était un grand crime :Dieu m’avait envoyé Amélie à la fois pour me sauver et pour me punir”. Il a maintenant une bonne raison d’être malheureux ce qui le rassure en quelque sorte. -Fatalité qui pousse à la solitude Lorsque René raconte

l’idéal de la jeunesse. Ronsard se sentant partir, il invoque sans doute le Dieu de la jeunesse pour qu’il redonne un peu de force, mais par la même occasion, il invoque le Dieu artistique, qui est aussi le Dieu de la divination. Peut être que Ronsard demande une dernière foi la force de la jeunesse, la sagesse artistique de la vieillesse et la protection des dieux le laissant ainsi, par exemple, finir son œuvre. Mais pourquoi appeler alors le Dieu de la médecine si il a avec lui le Dieu de la divination

gens de métiers (selon Anytos) et des orateurs ou dirigeants politiques (selon Lycon) envers Socrate. 24a PAR MELETOS : (à partir de page 96) -corrompre la jeunesse, reconnaître non pas les dieux que la cité reconnaît, mais, au lieu de ceux-là, des divinités nouvelles. 24c -Socrate est le seul des Athéniens à corrompre la jeunesse athénienne. 25a Il est le seul homme qui les corrompt, tandis que les autres œuvrent pour leur bien. 25b -rendre les jeunes gens méchants à dessein, ou sans s’en

ne savez pas que l'amour de la femme Change et dissipe en pleurs les trésors de votre âme, Et que Dieu compte plus les larmes que le sang. LE POÈTE Quand j'ai traversé la vallée, Un oiseau chantait sur son nid. Ses petits, sa chère couvée, Venaient de mourir dans la nuit. Cependant il chantait l'aurore ; Ô ma Muse, ne pleurez pas ! À qui perd tout, Dieu reste encore, Dieu là-haut, l'espoir ici-bas. LA MUSE Et que trouveras-tu, le jour où la misère Te ramènera seul au

trouver l’idéal puisqu’il s’adresse à dieu : « Pousse à Dieu ton cantique, à chantre rajeuni ; / Entonne, orgue enroué, des Te Deum splendides ; / vieillard prématuré, mets du fard sur tes rides ; / Couvre-toi de tapis mordorés, mur jauni ; / Pousse à Dieu ton cantique, à chantre rajeuni. » (V.6-10) Dans cette citation, on retrouve une antithèse puisque que l’auteur fait une opposition entre le mot « vieillard » et « prématuré ». Cette antithèse révèle qu’il chante à dieu sa douleur puisqu’il a perdu un

1. Les anciens accusateurs de Socrate étaient; Anytos, Mélétos et Lycon. → Il est tout d’abord accusé de corrompre la jeunesse. Mais fini pas prouver qu’il ne fait que répondre aux questions que ceux-ci lui posent. Il ne leur a jamais imposé quoique ce soit, s’il est dans la rue, suivit par des jeunes, c’est seulement pour donne des conseils, puisqu’il ne demande rien en retour. → Puis il est accusé d’être un « philosophe de la nature », un athée qui nie les explications mythologiques des phénomènes