La Justice Est Elle L Interet Du Plus Fort

Dans les temps archaïques, on a souvent attribué à la loi une origine divine.L'examen des différentes traditions (juives, grecques, romaines...) montre des législateurs comme Moïse ou Romulus se faisant les interprètes, au bénéfice de groupes humains plus ou moins récemment arrachés à l'état de nature, d'une volonté divine diversement manifestée. Le législateur apparaît dans ce contexte comme 1'artisan d'une Révélation qui le dépasse: il est paré de la légitimité absolue et à la hauteur de son inspiration

ne laissa aucun écrit ainsi, seul des témoignages font par de son existence. Dans Gorgias, dialogue écrit par Platon, ce dernier met en discussion son maître Socrate, contre un orateur de la rhétorique Gorgias. Ces derniers sont chez Chéréphon. De plus, le disciple de Gorgias, Polos l’accompagne. Puis, le dernier personnage de cette œuvre est Calliclès, un homme opposé à la philosophie. De ces personnages, nous savons que Socrate, étant le maître de Platon, exista par son témoignage. Gorgias lui

| La politique est un sujet qui intéresse Rousseau depuis longtemps, et le Contrat social n’est pas la première de ses œuvres qui y soit consacrée. Ainsi, dès [1755] il donne une idée de ce que sera sa conception et son intérêt pour le sujet politique dans l’article « Économie Politique » de l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers avec cette phrase : « Il est certain que les peuples sont, à la longue, ce que le gouvernement les fait

prises en compte. Il n’existe pas non plus de quelconque distinction à la naissance. Que l’on naisse de parents de hiérarchie sociale importe ou pas n’est ni un avantage, ni un handicap. Lorsque nous naissons nous avons tous la même importance aux yeux de la société à laquelle nous appartenons. Il y a donc un principe très fort d’égalité dans une démocratie. L’idée de caste ou d’ordre est bannie dans ce type de régime. C’est un des critères fondamental. De plus dans ce régime, ce sont les citoyens

avaient tous eu la même ambition et s’il avait le même niveau de réussite. Inégalités des chances : pas les mêmes possibilités. Inégalités des positions : positions sociales. Inégalités de droits : ségrégation noir/blanc 3 grands principes de justice si la répartition : -égalitaire -société méritocratique (mérite) -équitable Les libertariens : une société juste est d’abord et avant tout une société libre. -(libéraux) ex : Hayek pour les inégalités justes qui sont efficaces sur le plan

institutions démocratiques seront corrompues par les idéaux démocratiques. Il parle de la société dans son ensemble. À son époque, il n'y avait pas de distinction entre la société et État. C'EST INDIVISIBLE. -L'homme démocratique s'intéressera beaucoup plus aux choses matérialistes ce qui est méprisable. -L'homme démocratique est un touche à tout. Il va se consacrer à trop de chose différente. C'est une erreur fondamentale. Il faut que chaque individu développe une expertise dans son domaine. -L'homme

d’abord, Le droit un ensemble de règles, normes mises en place par les hommes eux même afin de garantir l’existence de la société. Un état sans droit correspond à un état où tout le monde a droit,  c’est l’état de Nature dans le quel la loi du plus fort prime. Les hommes ont donc voulu abandonner cette indépendance, pour instaurer un état de droit , par le biais du contrat social [1] (Rousseau). nous pouvons dire alors que le droit est  le résultat, l’expression de la volonté humaine Le droit

approximativement la période du règne de Philippe-Auguste (1180-1223). Les différents auteurs ayant contribué à sa rédaction nous sont inconnus de par le fait que la tradition orale était alors largement répandue. Nous savons néanmoins que la partie la plus ancienne, la branche II (comprenant Les démêlés de Renart avec Chantecler le Coq, la mésange, Tibert le chat sauvage, Tiécelin le corbeau et Hersent la louve) fut composée par Pierre de Saint-Cloud vers 1170-1175. La branche V ( Le jugement de Renart)

esprit factieux, on s’imagine bien que l’ordonnance de ses édifices ne sera pas fort régulière, et que ces édifices porteront l’empreinte de la confusion dans laquelle ils ont été élevés. Les uns prétendent que tout gouvernement est émané de Dieu. Par-là il devient saint et inviolable. Dans quelque désordre qu’il puisse tomber, c’est une pensée sacrilège que de croire qu’il soit permis de le réformer, et même d’y faire le plus léger changement. Les autres, qui pensent que le consentement du peuple est

se partageant ses innombrables ressources et cohabitant en un parfait équilibre. Enfin, imaginez, le plus redoutable des prédateurs : l’Homme. Je vois l’animal sans nul doute le plus développé de tous, se tenant sur ses pates arrière pour mieux apercevoir l’horizon, cheminant nu dans la forêt, se nourrissant de fruits et de chaire. Peu craintif car d’avantage offensif que victime, il se sait fort et adroit. Je le vois confiant, évoluant parmi les autres animaux, les surplombant de son habileté et