La Justice Est Elle La Force Des Faibles

L'équité est cette recherche de l'équilibre qui consiste à partager équitablement. C'est cette idée que reprend John Rawls dans sa " Théorie de la justice" en remarquant que seules les inégalités qui ne profitent pas à tous doivent être tenues pour injustes. Une société ne peut pas s’accommoder d’inégalités. Si l’on considère que la justice, création humaine et culturelle, permet de pallier les manques de la nature, elle se doit de corriger les inégalités, et donc, toute inégalité persistante

qu’est la justice, la sagesse ou la piété au terme d’un dialogue de jeunesse de Platon. L’aspect insatisfaisant de telles finales aporétiques est particulièrement souligné par la dernière réplique de Socrate en livre I de la République car Socrate conclut ainsi : [Thrasymaque, c]’est ma faute, pas la tienne[:] avant d’avoir trouvé ce que nous examinions au point de départ, à savoir ce que peut bien être le juste[,] j’ai concentré mon effort sur l’examen de la question suivante : la justice est-elle

discours direct aux personnages importants, indirects aux autres c. Des animaux qui font allusion aux Hommes et à leur relation : - Cadre de la scène : procès tribunal (champ lexical de la justice), intervention : plaidoyer, réquisitoire (Prise de parole par ordre hiérarchique (du plus puissant au plus faible)) - Pers avec caractères personnels identifiables : • Lion : roi, pouvoir, puissant, féroce, habile, intelligent, 'Le lion tint conseil': définit règles du jeu. • Renard : ruse, flatte le

la seule tradition. Au cours de l'Histoire, le droit a tout permis, tout justifié, la trahison, l'exploitation, la torture, le meurtre. Même si justicia en latin vient de jus, le droit, même si « à bon droit » signifie « en toute justice », ce n'est pas la justice qui est la fonction du droit, sa raison d'être, mais l'ordre. C'est ce qu'exprime l'origine géométrique de la métaphore : l'adjectif droit, en français et dans de nombreuses autres langues, désigne ce qui n'est ni courbe ni tordu ; son

devant la décision de justice.     Qu’est ce que la justice ? Est-ce un jugement particulier qui se doit de porter sur des faits ? Est-ce une jugement prononcé au nom de la morale ? Est ce un jugement qui compare un fait avec la loi ? *  * * A.  Vertu de justice et justice subjective       Il nous faut en premier lieu examiner qu’est-ce qui caractérise la justice comme qualité morale et quel rapport le sens de la justice entretient avec les institutions de la justice. (texte)     1)

Car puissance et violence n’ont en commun que la rime, pas le crime. La puissance est synonyme de pouvoir, d’autorité, et trop souvent la violence, c’est à dire l’abus de force, permet de l’obtenir. Une personne ou un mouvement qui veut imposer sa puissance fait souvent preuve d’organisation, de démonstration de force, et au besoin de violence, pour parvenir au pouvoir, et installer sa domination. Le mari violent justifie ainsi ses coups sur sa victime, l’État totalitaire explique ainsi

Charte de la réforme de la justice: 6 grands objectifs stratégiques, 36 sous-objectifs et 200 mécanismes de mise en œuvre Synthèse vocale La Charte de la réforme de la justice a été présentée, jeudi à Rabat, une année après le lancement du dialogue national sur la réforme de la justice, suite à l'installation par SM le Roi Mohammed VI, le 8 mai 2012, de la Haute instance du dialogue national sur la réforme de la Justice. Cette charte dont les grandes lignes ont été exposées lors d'une rencontre

de l’autorité humaine | - rel. vraie - unifie l’humanité | - unit une société politique => valeurs propres à la société politique | | - exclut l’intolérance | - détache homme/citoyen - rel./pol. trop dissociés (pas de force+ aux lois) => Etat pol. faible | - fausse - rend supersticieux/ intolérent - divise trop l’humanité | Divise une l’humanité, la sté, chacun | | * appel à l’abolition de la religion Marx => « rel= opium du peuple » (effet et instrument de l’aliénation)

part pour faire régner la justice, et, d’autre part, pour donner la sécurité. - La règle de droit s’impose d’abord pour faire régner la justice. Le besoin de justice est l’un des plus élémentaires et l’un des plus impérieux que nous ressentions. Il existe déjà chez l’enfant ; dès le plus jeune âge l’enfant se révolte contre l’injustice, et ce sentiment demeure également puissant chez l’adulte : nous ne pouvons admettre un acte qui ne paraît se justifier que par la force de celui qui l’accomplit

l’élan naturel d’affirmation et de domination de l’être humain. Effectivement, selon le philosophe immoraliste Friedrich Nietzsche, le christianisme cherche à domestiquer la bête humaine. La morale judéo-chrétienne est considérée comme la morale des faibles, car le bon désigne les pauvres, les non violents, la soumission et la paix. Les prêtres n’encouragent pas la vengeance, mais plutôt le pardon et la tolérance. Nietzsche rejette cette morale chrétienne qu’il juge contre-nature, parce qu’elle affaiblit