La Justice Est Elle Un Acte De Vengeance

EXPLICATION DU TEXTE – JEAN GIRAUDOUX - ELECTRE (Acte II, scène 8) INTRODUCTION : • Biographie Jean Giraudoux Fils d'un percepteur et reçu à l'Ecole normale supérieure en 1903, Jean Giraudoux mène de front une carrière diplomatique et littéraire. Son oeuvre frappe par sa diversité : essais, critiques, romans. Mais il s'impose plutôt au théâtre dès sa première pièce, 'Siegfried' (1928), et son succès se confirme avec 'Amphitryon 38' (1929) et 'Intermezzo' (1933). Son écriture théâtrale

situation de l'action tragique qui se prépare. Oreste revient d'exil et rentre au pays avec l'intention de venger la mort de son père Agamemnon, assassiné par Clytemnestre (sa femme et mère d'Oreste) avec la complicité d'Egisthe. En faisant ce voeu de vengeance sur le tertre du tombeau de son père, le choeur des femmes entre sur l'orchestra portant les libations destinées à l'apaisement des âmes des morts (choéphores ou offrandes funèbres) . Le Parodos: le premier chant du choeur des choéphores (330-331)

LE CID ACTE II. Scène 6 DON FERNAND, DON ARIAS, DON SANCHE DON FERNAND Le Comte est donc si vain et si peu raisonnable ! Ose-t-il croire encor son crime pardonnable ? DON ARIAS Je l’ai de votre part longtemps entretenu ; J’ai fait mon pouvoir, Sire, et n’ai rien obtenu. DON FERNAND Juste cieux ! ainsi donc un sujet téméraire A si peu de respect et de soin de me plaire ! Il offense don Diègue, et méprise son roi ! Au milieu de ma cour il me donne la loi ! Qu’il soit brave guerrier, qu’il

d’argumenter cette maxime, nous nous concentrerons sur le livre « Le comte de Monte-Cristo » d’Alexandre Dumas. En effet, cet auteur français du XIXème siècle a su créer dans son livre une intrigue autour d’un personnage assoiffé de justice et aveuglé par la vengeance qui, pour assouvir ses désirs, modifiera son identité afin d’arriver à ses fins. De manière à comprendre la citation de Yaël Azoulay dans sa totalité, il est important de déceler les sous-entendus. « La place de l’Homme » est à considérer

des Euménides par Jean Giraudoux, puis les différentes interprétations de la Justice par ces déesses, et enfin, leur incarnation de la fatalité. Giraudoux reprend le mythe des Euménides, il respecte alors certaines traditions acquises au cours des siècles mais en y ajoutant une pointe d'originalité allant même jusqu'à introduire un jeu du langage. Les Erinyes sont dans la mythologie grecque les déesses de la Vengeance. Elles sont aussi appelées les "Euménides", par crainte de prononcer leur nom

Acte I, scènes I,II,III,IV,V,VI : Cet acte se déroule au sud de l’Espagne dans la ville de Séville et dans la région de Castille au XVII° siècle. Don Rodrigue le protagoniste, fils de Don Diègue est fou amoureux de Chimène fille du comte de Gormas. Chimène a demandé à sa gouvernante qui se nomme Elvire un rapport sur l’avis de son père concernant un éventuel mariage entre eux. Il ressort de cette conversation que le comte de Gormas approuve ce mariage. Rodrigue et Chimène sont sur le point de

effet, le système carcéral est très peu rependu pour ces civilisations qualifié de primitive. Les historiens s’accordent sur le fait que la peine de mort est née avec l’apparition de la justice-institution. Avant l’apparition de l’État de droit, on parle plutôt d’exécution sommaire ou simplement d’acte de vengeance. 1-Peine de mort antique : La peine de mort existe depuis l’antiquité. Les civilisations de Mésopotamie l’appliquaient à travers la loi du Talion, tire du Code d’Hammourabi. Cette loi

ouevres Les sciences sociales : qui approche l’homme a travers les institutions et les rapports sociaux. 3 / La deviance est une notion de sociologie designant un comportement non conformes aux normes sociales . la societe reagit contre l’auteur d’un acte reprehensible et adopte une attitude represif quand elle se sens menacer d ses valeurs fondamentales. Le Crime est une forme de deviance par rapport a une norme legale. La principale forme de deviance qui peut interesser la crimilogie est celle qui

Commentaire Français Cet extrait, est un extrait de Ruy Blas, drame romantique de Victor Hugo écris au XVII. Don Salluste va exécuter la vengeance échafaudée dès la première scène du drame. La scène 3 de l’acte 5 réunit les trois protagonistes essentiels au drame dans un ultime face à face et oppose le nouveau maître et le laquais : Don Salluste savoure son triomphe, menace et insulte la reine, quand Ruy Blas se « réveille » : après avoir dévoilé à la reine sa véritable

ligne 9, « bouleversé » ligne 11, « vomir » ligne 12, « ce corps pantelant » et « massacrés » ligne 14, « couper le cou » ligne 15, « horrible » ligne 16 et « châtiment » ligne 17. L’auteur nous démontre que la peine capitale n’est qu’une vengeance, que la justice répare les crimes commis en commentant de nouveaux meurtres. Il le montre en disant « nouveau meurtre» ligne 22 et « nouvelle souillure » ligne 23. De plus elle condamne le criminel à mort comme lui, l’avait donné à des innocents. L’auteur