La Laideur Dans Une Charogne

tout de noir vêtu avec une expression cruelle sur le visage, « des dents blanches et particulièrement pointues » et des lèvres rouges qui font ressortir la pâleur de sa peau. Il est donc décrit comme étant assez laid et dangereusement mystérieux. Sa laideur est comme le reflet de sa monstruosité morale. Il possède aussi une force herculéenne qui s’oppose à l’apparente vieillesse de l’homme ce qui rajoute à l’inquiétude que l’on pourrait ressentir. Cette inquiétude peut se ressentir dans d’autres aspects

-> poète disgracié · “tondu, sans aile” : manque, privat°, déshérité, vieillesse, lourdeur, idée de diminution, blessure· comparaison directe au poète ( “poète tondu, sans aile”) · “Rossignol de la boue…” -> incapacité à s’envoler, à chanter + laideur┗> “…” élan lyrique de l’♂ qui veut poursuivre son élan· “Horreur !” : coupe l’♂ dans son élan lyrique, sentiment éprouvé par la femme mais rime masculine  · Remarques —♀a très peu de mots, répétitivité, prise

comme un troupeau /De démons, vins, folle et parée, /De mon esprit humilié /Faire ton lit et ton domaine; /- Infâme à qui je suis lié /Comme le forçat à la chaîne, /Comme au jeu le joueur têtu, /Comme à la bouteille l'ivrogne, /Comme aux vermines la charogne, /- Maudite, maudite sois-tu! /J'ai prié le glaive rapide /De conquérir ma liberté, /Et j'ai dit au poison perfide /De secourir ma lâcheté. /Hélas! le poison et le glaive /M'ont pris en dédain et m'ont dit: / « Tu n'es pas digne qu'on t'enlève /A

objets différents, ou bien ils imitent selon des modes différents, et non de la même manière. Aristote, Poétique, I Le théâtre aussi est conçu comme imitation : la comédie imite les hommes sans grande vertu, les vices, les défauts et les laideurs, du moins ceux qui n’entraînent ni douleur ni dommage ; car seul le mal inoffensif est comique. La tragédie, elle imite une action noble qui, par la pitié et la crainte, accomplit la catharsis (purgation) de ces émotions. Cette dimension mimétique

imitent des objets différents, ou bien ils imitent selon des modes différents, et non de la même manière. Aristote, Poétique, I Le théâtre aussi est conçu comme imitation : la comédie imite les hommes sans grande vertu, les vices, les défauts et les laideurs, du moins ceux qui n’entraînent ni douleur ni dommage ; car seul le mal inoffensif est comique. La tragédie, elle imite une action noble qui, par la pitié et la crainte, accomplit la catharsis (purgation) de ces émotions. Cette dimension mimétique

des objets différents, ou bien ils imitent selon des modes différents, et non de la même manière. Aristote, Poétique, I Le théâtre aussi est conçu comme imitation : la comédie imite les hommes sans grande vertu, les vices, les défauts et les laideurs, du moins ceux qui n’entraînent ni douleur ni dommage ; car seul le mal inoffensif est comique. La tragédie, elle imite une action noble qui, par la pitié et la crainte, accomplit la catharsis (purgation) de ces émotions. Cette dimension mimétique

............................................. 45 XXVII......................................................................................... 46 XXVIII. – Le serpent qui danse ................................................ 47 XXIX. – Une charogne .............................................................. 49 XXX. – De profundis clamavi ....................................................51 XXXI. – Le vampire .................................................................. 52 XXXII..

.................................. 26 XXVII .................................................................................................27 XXVIII. – Le serpent qui danse.........................................................27 XXIX. – Une charogne...................................................................... 28 XXX. – De profundis clamavi........................................................... 30 XXXI. – Le vampire ...............................................................

............................................... 45 XXVII......................................................................................... 46 XXVIII. – Le serpent qui danse ................................................ 47 XXIX. – Une charogne .............................................................. 49 XXX. – De profundis clamavi ....................................................51 XXXI. – Le vampire .................................................................. 52 XXXII..

marque une rupture radicale avec le style convenu et ouvre une troisième voie, celle de la modernité en poésie. Il explore des thèmes nouveaux comme la ville au contraire des romantiques qui puisent leur inspiration dans la nature. Il fait entrer la laideur dans la poésie, mélange le beau et le trivial, le spleen et l’idéal. Il évoque l’ivresse, le voyage, les paradis perdus. Son père décède lorsqu’il a 5 ans, ainsi il grandi avec sa mère et son beau-père le général Jaques Aupick avec lequel il ne s’entend