La Laideur Dans Une Charogne

casquette sur ses deux genoux. C'était une de ces coiffures d'ordre composite, où l'on retrouve les éléments du bonnet à poil, du chapska2, du chapeau rond, de la casquette de loutre et du bonnet de coton, une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d'expression comme le visage d'un imbécile. Ovoïde et renflée de baleines, elle commençait par trois boudins circulaires ; puis s'alternaient, séparés par une bande rouge, des losanges de velours et de poils de lapin ; venait

aux cartes avant le repas du soir. C’est là que M. Follenvie redemanda à Boule de Suif si « elle n’a pas encore changé d’avis ». Boule de Suif resta pâle et gênée et demande à M. Follenvie « vous lui direz à cette crapule, à ce saligaud, à cette charogne de Prussien, que jamais je ne voudrai ; vous entendez bien, jamais, jamais, jamais ». 10ème partie : P. 30 « Le gros aubergiste sortit » à P. 30 « et chacun gagna son lit » : Indignation et 2ème nuitée : Boule de Suif, questionnée, finit par

résistance individuelle exemplaire : à Rouen elle agresse l’officier devant loger chez elle, ce qui l’oblige à quitter la ville. À l’auberge, elle résiste à Cordunet, puis à l’officier. Elle utilise des mots très violents pour désigner l’occupant : « Charogne de Prussien ! ». LE HUIS CLOS / L’ENFERMEMENT : Toute la nouvelle est imprégnée par l’enfermement. La première partie montre une ville assiégée et occupée, Rouen. Puis les voyageurs passent 14 heures enfermés dans une diligence avant leur séjour

lui  répond  et  donne son propre spectacle à travers une brillante tirade célébrant son long appendice. Le pauvre marquis qui n'a pas la verve poétique de son adversaire est la risée de tout le parterre. Le calme revient. Cyrano, qui, malgré sa laideur, est secrètement amoureux de sa cousine, Roxane, a le bonheur d’apprendre que celle-ci lui fixe un rendez-vous pour le lendemain. Acte I I Cyrano rencontre Roxane chez son ami, le restaurateur Ragueneau . Roxane et Cyrano évoquent leur enfance heureuse

parle d'amour et qui est un peu comme une règle envers les hommes pour leur demander davoir de la constance envers les femmes qu'ils aiment même si elles deviennent laides à cause du temps. Poème construit sur un système d'opposition : beauté / laideur ; le temps qui passe / constance (présent de vérité général). La forme du poème : Marot est déjà un écrivain humaniste, c'est lui qui a apporté le sonnet, il emploie toujours des termes et systèmes moyenâgeux : ballade, allégorie, jouvencelle…

contenu et du style du conte « Histoire vraie » tiré du recueil Contes du jour et de la nuit.   La principale caractéristique du courant réaliste, en vogue en Europe au cours du XIXe siècle, était de dépeindre la réalité sans compromis, avec toute sa laideur et ses défauts. Guy de Maupassant, probablement le nouvelliste le plus renommé de cette période, a certainement écrit « Histoire vraie », un de ses Contes de jour et de la nuit, dans cette optique. M. de Varnetot, un demi-noble normand, et Rose, une

son ami Champfleury. Au salon de 1850-1851, le peintre expose de nombreuses toiles, qui reçoivent un accueil plus que mitigé. Les Casseurs de pierre ou encore Un enterrement à Ornans sont fustigés, accusés de rendre un hommage honteux à la « laideur » et à la « trivialité ». Courbet entend représenter le vrai et non le beau : voilà ce qui choque. Champfleury prend la défense de Courbet et affirme la nécessité d’un art réaliste. En 1855, les toiles de Courbet sont refusées par le jury

le pouvoir de ce lien forcé et mal disposé et pour montrer le contraste entre la force de la femme et la faiblesse de lui-même: « Comme le forçat à la chaîne Comme au jeu le joueur têtu, Comme à la bouteille l’ivrogne, Comme aux vermines la charogne » Et il s’exclame: « -Maudite, maudite sois-toi ! La femme est un être « maudit », selon Launay, car elle est « la médiatrice inconsciente de Satan. Elle incarne Hécate(divinité de l’enfer)qui reçoit du soleil cette clarté devenue ténébreuse

pendus aux yeux « plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre ». Ronsard se peint lui-même à l'approche de la mort : « Je n'ai plus que les os... » ; il décrit la jeune Hélène devenue « bien vieille [...] au foyer accroupie ». Baudelaire peint « Une charogne ». Il puise parfois son inspiration dans une réalité plus délicate : dans « Fenêtres ouvertes », Hugo rend compte des bruits de la vie quotidienne qu'il perçoit de sa chambre. Le poète s'efforce de rendre la réalité dans toute sa plénitude : les

intertextualités, l’étude plus approfondie m’a permis de comprendre les relations entre ses poèmes et le cours de sa vie (donner un exemple avec ses amantes jeanne Duval la charogne). La principale raison qui a donné naissance à ce TPE s’explique par l’envie de comprendre ce tiraillement contradictoire entre le bien et le mal, la laideur et la beauté, Dieu et Satan, l’enfer et le ciel, la félicité et la douleur. « Les fleurs du mal » témoignent d’un mal être évident notamment évoqué à travers «  le spleen »