La Laideur Fascination

étaient sans histoire et travaillaient bien et un soir, elles ont sauvagement (et c’est un euphémisme) assassiné leur patronne et sa fille. Ce crime a fasciné bon nombre d’intellectuels de l’époque, y compris Sartre mais a également suscité la fascination du public. D’ailleurs, ce double meurtre avait été qualifié de « tragique » à l’époque. Ainsi, Les Bonnes de Genet puisent ses inspirations dans tout un canevas de tragédies, aussi bien antiques et classiques que dans un fait divers qui a fait

le « ju des dés » (v.416) et la choule (v.541). L’infantilisme revêt ainsi un aspect souriant, moins efficace que les phantasmes de nourriture ou la grossièreté pour exciter et favoriser le rire, mais pourvu en revanche d’un certain pouvoir de fascination. C’est avant tout le principe de plaisir qui triomphe sur celui de réalité. La folie permet également de créer une certaine unité entre les personnages. Anachroniquement, nous pouvons citer la célèbre phrase du grand spécialiste de la psychanalyse

contradictions romantiques. GÉRICAULT (Théodore, 1791-1824). Il passe comme un météore dans les premières années du Romantisme; le Radeau de la Méduse, exposé en 1819, crée un choc qui retentit sur tout un versant de l'art romantique, la fascination pour la laideur, la férocité, l'horreur, la mort. GOETHE (Johann Wolfgang, 1749-1832). Malgré une rupture précoce avec le mouvement romantique allemand, Goethe a profondément marqué le Romantisme français, au moins avec Les souffrances du jeune Werther

Polynice apparaissent avec une profondeur nouvelle et les liens ambivalents qui les (dés)unissent sont décrits avec beaucoup de finesse. On découvre ainsi la source de la rivalité entre les jumeaux, et on plonge au coeur d’une relation faite de fascination, de haine, de jalousie et d’amour. On suit Etéocle qui tente de se rendre digne de l’amour de son frère en lui volant le trône de Thèbes. On admire Polynice, le Roi sans royaume, qui n’a qu’à être pour régner. On les regarde, pris dans un jeu qui

collabora à la revue d'art en vogue, The Studio. Il entretint également des rapports suivis avec la Sécession viennoise et, tout particulièrement, Gustav Klimt. Toutes ces rencontres n'ont fait que renforcer son attrait pour le symbolisme. Rejetant les laideurs de la société industrielle et du progrès, il se réfugia dans un monde intérieur peuplé de rêves, de silences et de mort au monde environnant. En 1900, il se fit construire une demeure à Bruxelles conçue comme un temple avec pour seule devise:

contrer l’idée d’un auteur en majesté. On peut facilement mettre en rapport la situation de Madame de La Fayette à la Cour de Louis XIV, sa fréquentation des milieux précieux et jansénistes et la vision développée dans son œuvre fondée sur une fascination pour la cour, l’usage de topos de la préciosité et une défiance à l’égard des passions (pessimisme indéniable marqué par la retraite finale de l’héroïne). (Exemple précis du jansénisme : la retraite, du bon usage des maladies). Un écrivain fortement

désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du vol royal (vers 3), on passe au boitement de l'infirme (vers 12). Ces oppositions sont soulignées par des antithèses : - " roi " (vers 6) ? " maladroit " et " honteux " (vers 6) ; - le " voyageur ailé " (vers 9) ? "gauche " et "

l'exprime et devient le porte-parole du poète envers la dame de son cœur. Son rôle est de décrire la beauté et la bonté de la dame d'une belle façon. Ainsi, le poète se sent trahi en ses suppositions, car la poésie qu'il a créée a, par contre, couvert la laideur (nous ne savons pas si du caractère ou de l'apparence). Il voit aussi qu'il n'a pas écrit les vers pour déclarer l'amour que la dame a suscité en lui, mais que les vers ont suscité l'amour en lui envers la dame imaginaire et non à laquelle il les

agression subie par le héros ; sa quête se confond ac la réparation de cette agression. Rech amour/fortune X 1ère, d’abord il doit triompher de l’agression : PP fuir son père, Riquet surmonter sa laideur. Héros = destinateur et destinataire. Opposant = agresseur qui déclenche l’aventure du héros. MAIS 1 conte ne suivent pas la struct narrative du conte merveilleux : Le Petit CR élément surnaturel (loup

LITTERATURE DU XIX SIECLELE THEATRE FRANCAISE AU XIX SIECLEBIBLIOGRAPHIE · Victor Hugo , Hernani , éd. G. Gengembre, Paris, Pocket, 2009 · Victor Hugo, Ruy Blas , éd. G. Rosa, Paris, Librairie Générale Française, 1994 · Musset, On ne badine pas avec l’amour , éd. F. Lestringat, Paris, Flammarion, 1999 · Labiche, un chapeau de paille d’Italie