La Laideur Fascination

romantiques aiment la nature bien qu’ils la voient comme envahissante. RESUME : Le romantisme peut se définir par : * Des nouveaux sujets : malheur, nature, actualité, spiritualité, imaginaire, fantastiques, émotions, mort, folie, angoisse, laideur, engagement politique, liberté, passions * De nouvelle sources d’inspiration : Le Moyen-Âge, art gothique, château-fort et l’Orient * La couleur et lumière dominent le dessin * Le décor est fait de brouillard ou de ruine * Composition

l’individu sur un effort continu — un travail — vers la vérité et le bien, ne saurait accorder sa sympathie à l’ivresse destructrice dans laquelle sombre son personnage, dont il semble bien condamner la déchéance. Mais cela n’empêche pas une sorte de fascination. 2- Un culte décadent On a vu que Zola chargeait Nana de tous les fantasmes de l’époque sur la femme comme être sexué, comme ferment de désordre, de sauvagerie, comme danger pour l’intégrité de l’homme et de la société. Nana

comme un rapt. p.149 : point de vue du frère. Le rapt ne renforce pas l’apparenté puisqu’il entérine une rupture. Il est symbolisé par le viol d’Isabelle (petite chienne torturée). p.160 : petite chienne d’Isabelle retrouvée pendue. p.284 : fascination et contraintes. Cynisme d’Heathcliff. Reproduction du 2ème rapt : Heathcliff pousse son fils à organiser un rapt en attirant Cathy à Hurle-vent. Freud, dans Totem et tabou (1912-1913), parle du rapt. Dans les tribus primitives, le rapt est dû

par exemple, cherché à définir l’amour, aussi bien dans ses affres que dans ses joies, mais avec le souci d’en dire la « substance ». Eluard, a ainsi dit : « La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur », merveilleuse image pour décrire la fascination de celui qui aime pour l’être aimé, et son visage. De même Baudelaire, dans les nombreux motifs qu’il aborde dans son recueil Les Fleurs du Mal, tels que les tableaux parisiens, le vin, la révolte, ne fait que dire le spleen qui le ronge. Le poète

qui la regarde, qui s’absorbe avidement dans sa contemplation, demeurant fasciné, paralysé, comme halluciné. Baudelaire avait d’ailleurs d’abord indiqué cette avidité par «bavais», ce qui désignait une concupiscence vraiment inquiétante, et cette fascination par «tremblant», ce qui rendait une frénésie de quasi convulsionnaire. Mais il maintint «extravagant», mot qu’il faut prendre à son sens propre, étymologique : celui qui vague, qui erre, qui dérive, qui dérape au-delà de la voie normale, du bon

ce passage : on passe de la découverte de la création de la vie au projet de créer un être humainSeulement p.114 « je m’attelais à la création d’un être humain » 3. Un récit prémonitoireEtat d’esprit de Frankenstein : « fascination » p.112 ; « impulsion frénétique » ; « stupéfaction » ; « transe »=>> hors de lui-même, déconnecté de la réalitéExtrême agitation de F + une part de mystère et de secret Il nous parle qu’il a trouvé un secret, mais ne nous le dis pasEffet

vertus et que se relâchent les consciences. Ce qui s'applique à la monarchie de droit divin, au pouvoir royal exercé à Versailles par le Roi Louis XIV. CONCLUSION Ce qui frappe en définitive le lecteur, c'est cette fascination de l'auteur pour son modèle créé, pour la laideur morale de cet homme asservi à ses propres passions, esclave du culte de soi. Un sujet littéraire inépuisable source de variations infinies autour du thème de l'ineptie de la vanité humaine, de la duplicité fallacieuse et

certaine sagesse de l’homme âgé- puisqu’il aurait été acculé au suicide à « seulement » 60 ans. Mais ces représentations visuelles sont souvent plus tardives, datant de l’époque romaine ou surtout des nombreux objets de la Renaissance exprimant la fascination pour le monde antique. Mais sur les quelques statues des artistes importants, il ne nous reste pas de trace d’une vieillesse mise en scène : aucun indice de vieillesse dans l’œuvre connue et reconstituée du célèbre sculpteur Praxitèle. Le corps

extraordinaires. Pour Chateaubriand, il s'agit d'un destin marqué par le malheur, la tristesse, l'appel de l'infini, ce « vague à l'âme » appelé par Musset « mal du siècle ». Cette insatisfaction profonde, cette introspection douloureuse, cette fascination de l'échec font de l'auteur des Mémoires d'outre-tombe un précurseur du romantisme français. On a pourtant ici l'impression tenace de surprendre l'auteur dans son atelier en train de peindre son portrait pour laisser une image originale à la postérité

peut-être comme une image mentale idéalisée, la dernière que conservera le narrateur après la disparition de la passante. · Vers 6-8 : La fascination du narrateur. Le récit nous fait passer de la femme à l’homme qui la regarde. Le vers 6 note la paralysie du narrateur (« crispé comme un extravagant ») sous l’effet de la fascination. La fascination est évoquée par les verbes « boire », synonyme de sentir avec avidité, ou encore le verbe « fascine » : l’homme dévisage la femme dont il admire