La Laideur Fascination

ou biologique, il serait plutôt un luxe. 5- L’art n’a pas simplement une fonction décorative. Certains artistes utilisent l’art pour montrer la laideur du monde. (exemple : Goya : Oppression en Espagne pour l’armée napoléonienne, Picasso : Guernica) 6- Chaque œuvre d’art doit donner envie d’être regarder, admirer. Avec le temps, le pouvoir de fascination de cette œuvre peut s’épuiser. 7- Chaque œuvre d’art peut être interprétée différemment de l’artiste. 8- L’interprétation d’une œuvre dépend de

Mal.Les Fleurs du Mal est un recueil de poème écrit par Baudelaire englobant la quasi-totalité de sa production de 1840 jusqu’à sa mort. Baudelaire à sublimé la laideur du monde et de son entourage dans ses poèmes grâce à la magie et l’enchantement. Alors nous pouvons nous demander si le poète est un être pouvant transfigurer la laideur du monde afin d’en faire ressortir toute sa beauté en utilisant la dimension magique de la poésie.Afin d’y répondre nous verrons dans un premier temps que le poète

poème, Femmes damnées différent mais qui porte le même titre que celui condamné par la censure. Cette section parle de la grandeur et la misère du vice. C’est dans cette section que Baudelaire cherche surtout à développer le concept de beauté dans la laideur. Révolte (3 poèmes) [modifier] La révolte poétique est celle qui fut la plus attaquée lors du procès, la Justice voyait alors, dans Le Reniement de saint Pierre, Abel et Caïn ou Les Litanies de Satan, une attaque directe contre l'Église catholique

visible la condition humaine de l'homme contemporain : perdu dans un monde moderne, en proie à l'isolement, à la solitude et à l'aliénation. Dès son plus jeune âge, Duane Hanson est hypnotisé par la forme humaine et entretient un rapport de fascination avec la matière. Très tôt, il réalise des sculptures avec différents matériaux comme le bois, le polyester ou le bronze. Entre 1965 et 1996, il réalise plus de 140 sculptures d'hommes et de femmes : des figures humaines qu'il représente avec

opposé au joujou du riche) « rat vivant » => connotation de la laideur, de la saleté, de l’obscurité, de l’insalubrité, la maladie… => si l’enfant est déplaisant, le joujou l’est plus encore. mini conclusion + transition PARTIE II  un texte qui s’attèle à réduire ces oppositions trop visibles et trop appuyées On voit en effet que certains éléments du texte contredisent ces oppositions si visibles entre richesse et pauvreté ; beauté/laideur * premier argument : on lit sous la plume de Baudelaire que

bourdonnaient sur ce ventre putride », « bataillon de larves » - Hugo : araignée insecte source de phobies, ortie moins repoussant, mais qu’on n’a pas envie de louer : « Noirs êtres rampants », « elles ont l'ombre des abîmes », Hugo rappelle leur « laideur », et les désagréments qu’elle peuvent causer en évoquant « la piqûre » et en décrivant l'ortie comme « une couleuvre ». Il veut sans doute souligner par là que, mêlée aux autres plantes, elle passe parfois inaperçue comme le reptile. - Ponge évoque

fascinée du poète, c’est la charogne qui est mise en valeur, et pas la femme ! C’est elle qui est l’objet d’un blason. – Amour idéalisé est donc mis en question, mais l’amour charnel n’est pas nécessairement valorisé pour autant : regardé avec fascination et répulsion ; menace de l’amour physique, associé à la charogne. Comparaison très étonnante : « comme une femme lubrique », qui associe l’amour charnel à la décomposition ! Elle est décrite « sur un lit », « jambes en l’air », « le

Son ami artiste peintre Basil Hallward est obsédé par ce dernier et en tire toute son inspiration. Sa fascination pour le jeune homme le mène à faire son portrait, qui se révèle être la plus belle œuvre qu'il ait jamais peinte, et qu'il ne souhaite pas exposer : « J'y ai mis trop de moi-même ».Dorian va faire la connaissance de Lord Henry, dit Harry, un ami de Basil. Conscient de la fascination et de la perversion que ce dernier pourrait avoir pour son idéal de beauté, « cette nature simple et belle »

Idéal », où Baudelaire cherche à définir l’essence du beau et sa conception du poète et de la poésie (« L’Albatros » et « Correspondance »). Baudelaire présente d’abord la beauté sous un visage ambigu et même contradictoire. Il montre ensuite la fascination qu’elle exerce sur lui, ce qui donne lieu à un véritable hymne à la beauté. Mais cette beauté toute-puissante est aussi de nature démoniaque, c’est pourquoi l’on peut parler de la beauté comme étant une Fleur du mal. I La nature et

pour les jouets simples. Dans le récit les deux enfants sont fascinés par un jouet « simple » mais répugnant, un rat. Baudelaire insiste sur la fascination exercée par le joujou du pauvre : fascination du riche, « ...l’enfant pauvre montrait à l’enfant riche son propre joujou, que celui-ci examinait avidement comme un objet rare et inconnu.». Et fascination du pauvre suggérée par l’accumulation des verbes : « Or ce joujou, que le petit souillon agaçait, agitait et secouait dans une boîte grillée, c’était