La Laideur Peut Elle Etre Un

texte exprime le mal de vivre, l'ennui, la neurasthénie. C'est une angoisse. Le poème étudié est un poème formé de 5 quatrains, en alexandrins. Baudelaire exprime ici son angoisse, mais l'exprime à sa façon. On peut alors poser la problématique suivante : " Comment le mal peut-il être transcendé en fleur et s'inscrire dans un poème Baudelairien ? " Pour cela, on utilisera 3 axes, qui sont : · Le tableau d'une dépression, · la peinture de l'angoisse, · l'apogée de la crise. afin de répondre

les premières évaluations de la longévité humaine (ainsi les Anciens semblent avoir une idée exacte de l’âge et pratiquaient déjà les recensements) mais il est impossible de connaître la proportion exacte de vieux dans les populations anciennes. On peut affirmer cependant que peu d’hommes atteignaient la vieillesse dans le Proche-Orient ancien. La vieillesse était vue comme une bénédiction divine car pour ces sociétés anciennes la vieillesse touche au monde du sacré : une longue vie est donc une récompense

rhinocéros constituent la norme de référence : il se qualifie de « monstre »l.27 et se compare, à son désavantage, aux rhinocéros Les rhinocéros sont connotés positivement alors que lui ne cesse de se trouver laid. Le contraste de la beauté et de la laideur (« je ne suis pas beau »l.1, « ce sont eux qui sont beaux »l.3) est développé à travers les oppositions de formes (« corne »l.5, « Front plat »l.6 et « traits tombants »l.7), de texture (« moites »l.11, « rugueuses »l.11 / « flasque »l.13, « dure

I- Un incipit déroutant A- Le choix narratif Début in medias res assumé par un narrateur ambiguë car le texte s’ouvre par le mot « nous », pronom qui est répété et relayé dans la suite du texte par le pronom « on ». Le narrateur semble donc être un élève de la classe ( point de vue interne. Le narrateur semble ignorer le prénom du nouveau. Le narrateur nous livre seulement ce qu’il voit et entend « on l’apercevait à peine » l.6 et « lui dit-il à demie voix » l.8. Si son champ de connaissance

commun à toutes ces activités: la pédagogie. C’est en Angleterre qu’elle entreprend de rédiger une série de comptes moraux. Le célèbre «La belle et la bête» appartient à cette veine didactique. Il s’agit de montrer qu’à la laideur physique ne s’associe pas nécessairement la laideur morale. Nous verrons que si la bête est un monstre physique il gagne néanmoins ses qualités d’humanité. I- La monstruosité Trois opinions semblent confirmer la bestialité du personnage masculin : celle du narrateur

2001ce conte-ci est capital tant au point de vue thématique que formel. Ce pou voir structurant du titre, et ainsi du conte, a d'ailleurs peut-être échappé en particulier aux nombreux commentateurs anglophones à cause de sa tra- duction anglaise Mad Shadows qui insiste plus sur la dimension démentielle et diabolique du texte, que sur la dialectique entre beauté et laideur, et tous les autres termes oppositionnels que le roman met en jeu: corps/esprit; amour/haine; bien/mal; masculin/féminin. Selon nous

disait-il. — Que trouvez-vous là de beau ? lui dis-je. — C'est, dit-il, que l'auteur a atteint son but ». Le lendemain il prit une médecine qui lui fit du bien. « Elle a atteint son but, lui dis-je ; voilà une belle médecine » ! Il comprit qu'on ne peut dire qu'une médecine est belle, et que pour donner à quelque chose le nom de beauté, il faut qu'elle vous cause de l'admiration et du plaisir. Il convint que cette tragédie lui avait inspiré ces deux sentiments, et que c'était là le to kalon, le beau

femme :« Sed non satiata » XXVII, « A une passante », « Le Chat », « Le Serpent qui danse » : la femme, ange et démon, fascine, peut faire entrevoir l’Idéal.2) Les paradis artificiels :Le vin, la musique, la nostalgie « le vert paradis des amours enfantines » dans « Moesta et errabunda »3) Le travail poétique : Le travail des vers, des sons, du rythme pour sublimer la laideur. Voir synthèse sur la mission du poète. Lire le poème « Le Soleil » (le poète est comme le soleil « qui ennoblit

pourtant si lointaine… Je suis amnésique.. J’ai oublié tout ce que j’avais été jusque là. Tout ce que j’aurais pu être… je me console à songer à Van Gogh quand il va jusqu’à se couper l’oreille pour esquisser son autoportrait dans toute sa laideur, dans sa déformation, dans son caractère choquant, comme pour nous murmurer : on n’est jamais plus beau et plus sincère qu’avec ses laideurs, ses imperfections, et qu’avec ses lacunes et ses déficiences. Flirtons avec le feu, c’est cette mise en danger qui

avoir lu "Une charogne" qui nous convie à comprendre que la beauté peut être faite de laideur. Car ce que Baudelaire refuse , c'est l'hypocrisie d'un lyrisme qui n'ose pas regarder en face la réalité des choses. Il va ainsi célébrer l'immonde et le petit fait réel a priori sans valeur .Nous pouvons ainsi voir l'ironie provocatrice du poète dans cette présentation paradoxale faisant germer la l'ébauche de la beauté du fond de la laideur. Mais le poème nous incite aussi à réfléchir sur le travail du poète