La Laideur Physique

On a souvent reproché à Dix son attirance pour la laideur, la déchéance physique et la violence avec laquelle il traite ses sujets. La volonté de provocation rentre directement en ligne de compte, mais plus profondément, ces thèmes se présentaient comme un renouvellement de la peinture. Il avouait d'ailleurs : « j'ai eu le sentiment, en voyant les tableaux peints jusque là, qu'un côté de la réalité n'était pas encore représenté, à savoir la laideur ».

supporte sa mère qui est malade et il travaille afin d’acheter du pain pour la nourrir. Parlons de ses caractéristiques qui font de lui un individu très différents du reste du la société. Maxime a toujours été reconnu comme quelqu’un d’une grande laideur. Sa bouche est définie d’un petit trou circulaire avec deux longues dents d’une couleur jaunâtre. Celle-ci effectue la tâche de parler très difficile. Macloune a des défauts d’articulation ce qui lui entraîne à dire des phrases incohérentes. De plus

contraste entre le calme apparent d'un des interlocuteurs et l'angoisse de l'autre : « Horreur!! - Horreur pourquoi ? ». Volonté d'exhiber la laideur, de forcer à regarder. * Phrase finale: « Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi. ». Présentation « polie », civilité après les horreurs. Autoportrait qui se révèle, où l'auteur semble faire allusion à sa propre laideur, assumée. Deuxième mouvement : Un anti-poème ? • Un poème décomposé * Le poème est composé de deux tercets puis deux quatrains

drame romantique ? 
 Si cette pièce suscite, à la manière de la comédie, en premier lieu le rire, puis, provoque les larmes comme la tragédie, en revanche elle rompt totalement avec le théâtre classique. D’abord, le personnage de Cyrano, par son physique caricatural fait rire le public. Mais, si ce rire se fait au départ, aux dépens du personnage, il est par la suite provoqué par Cyrano lui-même, qui s’empare alors de l’autodérision. Dans la scène 4 de l’acte I, il réussit à nous faire rire par

la pédagogie. C’est en Angleterre qu’elle entreprend de rédiger une série de comptes moraux. Le célèbre «La belle et la bête» appartient à cette veine didactique. Il s’agit de montrer qu’à la laideur physique ne s’associe pas nécessairement la laideur morale. Nous verrons que si la bête est un monstre physique il gagne néanmoins ses qualités d’humanité. I- La monstruosité Trois opinions semblent confirmer la bestialité du personnage masculin : celle du narrateur, celle de la Belle et celle de

second fils de Victor Riqueti, marquis de Mirabeau, économiste de renom, et de Marie-Geneviève de Vassan, Mirabeau est issu d'une famille de la noblesse provençale2. Selon Victor Hugo, né onze ans après la mort de Mirabeau, ce dernier était d'une « laideur grandiose et fulgurante3 ». Il est né avec un pied tordu, deux grandes dents et surtout une tête énorme (ce qui a fait dire qu’il était hydrocéphale). Il a également la langue enchaînée par le filet2. Avant de présenter l'enfant à son père, la nourrice

narrateur. Ces différents protagonistes vont donner vie au récit grâce aux différentes péripéties qui vont leurs arriver au cours de leurs quêtes. Ils sont essentiels dans le roman. Ces personnages diffèrent les uns des autres par leurs particularités physiques, psychologiques ou par leurs histoires. Ils seront grands ou petits, fils de roi ou fils de rien, beaux ou hideux. Ainsi, certains romans mettent en scène des personnages repoussants, la question sera de savoir comment ces personnages impactent

comme le dit Eugène Guillevic, « Nous liquiderons la peur/ de la nuit/ Nous ferrons du jour plus tendre » et ceci par le pouvoir des mots qui permettront donc de rendre plus belle la vie. Est-il donc possible d'embellir l’existence et d'en effacer la laideur par la simple force du langage poétique ? Certes grâce à lui, le monde et la vie peuvent être perçus de manière quelque peu idéalisée, mais son aptitude à cela sera parfois limitée, le langage poétique étant utilisé à d'autres fins car au final,

l'incipit du roman ou Balzac nous livre sa vision de la société parisienne. C'est un tableau dédié à Eugène Delacroix. Comment Balzac nous donne-t-il sa vision symbolique et métaphorique de Paris? I. Une description critique des parisiens 1) La laideur physique Ce texte n'est pas un éloge à Paris mais un blâme -Description subjective. -Utilisation de superlatifs, d'hyperboles, tout est péjoratif, ressemble à une caricature où les défauts sont accentués. * "peuple horrible à voir, hâve, jaune

« Le plaisir et la douleur ne sont pas seulement les compagnons nécessaires de la beauté et de la laideur, ils en sont l’essence même ». Alors, le jugement de goût ne serait qu’expression singulière d’un ressenti vis à vis d’une chose, et les sentiments de plaisir ou de douleur qui y sont corrélés étant propres à chaque individu, il existerait autant de divergentes visions de beauté ou de laideur que d’hommes. On peut en effet penser d’une chose ou d’une personne qu’elle est belle sans pouvoir