La Laideur Physique

François Rabelais, Gargantua Roman Prologue L’auteur explique les intentions de son récit : le divertissement du lecteur et le sens philosophique qu’il devra découvrir. A l’instar de Socrate dont la laideur physique masquait une très grande intelligence, Rabelais dissimule la sagesse de son récit derrière l’extravagance de l’intrigue. Chapitres I- II Evocation de la généalogie des géants, déjà présentée dans Pantagruel. L’auteur nous présente un texte : les Fanfreluches antidotées

doivent avoir le pouvoir de commander tandis que les jeunes doivent être commandés par les premiers. Platon a donc envisagé un modèle politique gérontocratique qui n’envisageait presque jamais les critiques habituelles des Grecs sur la décrépitude physique de la vieillesse. Chez Aristote, la réflexion est toute autre. La vieillesse n’assure pas la sagesse pour chaque individu et par conséquent elle ne peut déboucher sur une compétence politique positive pour la vie politique. Pour Aristote, l’homme

conte, a d'ailleurs peut-être échappé en particulier aux nombreux commentateurs anglophones à cause de sa tra- duction anglaise Mad Shadows qui insiste plus sur la dimension démentielle et diabolique du texte, que sur la dialectique entre beauté et laideur, et tous les autres termes oppositionnels que le roman met en jeu: corps/esprit; amour/haine; bien/mal; masculin/féminin. Selon nous, il est certain que la jeune Marie-Claire Biais a trouvé non seulement consciemment dans ce conte des affinités, mais

artistes représentent cette brutalisation, cette violence extrême qui a des conséquences sur les mentalités et le comportement en société. Dès les années 20, les états n’ont pas peur de montrer la dévastation physique laissée par la guerre, autant par fierté que par devoir de mémoire. LA laideur, jusque là cachée par la censure, est reprise par les discours officiels et les associations d’anciens combattants. Les soldats n’ont plus peur d’afficher leurs difformités en public. Le plus souvent cet étalage

antijuive est de frapper les esprits et, très vite, de persuader le public que le Juif est un être à part. Ses caractéristiques physiques et morales hors normalité et ses comportements particuliers sont des signes d’une appartenance raciale que tout allemand se doit d’identifier. Ainsi, le dessinateur reprend les caractéristiques physiques marqué du sceau de la laideur que l’antisémitisme de la fin du XIXe siècle attribuait aux juifs. Ils doivent avoir le nez crochu, les yeux en amande conférant

qu’il y a une mise en valeur de Jean. Aussi la rivalité autour de Madame Rosémilly annonce la jalousie. Cette opposition est renforcée par l’utilisation du groupe nominal « jalousie dormante ». b) Portrait physique : Ensuite il y a une rivalité entre les deux frères sur le portrait physique, dont une insistance sur l’âge « Pierre de cinq ans plus âgé que Jean », « Pierre, âgé de cinq ans à la naissance de Jean », cela nous donne l’impression que Jean est un « élément perturbateur » ; de plus cette

réel gigantesque ou effrayant ; - Être vivant ou organisme de conformation anormale (par excès, par défaut ou position anormale de certaines parties de l'organisme) ; - Personne d'une laideur effrayante ; - Personne effrayante par son caractère, son comportement (spécialement sa méchanceté). Définition sur Internet : Un monstre est un individu ou une créature dont l'apparence voire le comportement

oeuvres (qui a souvent choqué ses contemporains), car l'artiste ne choisit pas de peindre que de belles choses, il souhaite représenter la réalité telle qu'elle est, sans chercher à l'embellir (en montrant la douleur et la mort souvent violente, la laideur d'un visage, l'usure d'un vêtement...). - et par l'emploi de la technique du clair-obscur, caractéristique essentielle de son oeuvre, dont il se sert pour exprimer des sentiments souvent puissants. - Le contraste clair-obscur: une technique au

évocateur de souvenirs. Nous allons montrer que Aurélien a une image défavorable de Bérénice. Le champ lexical de la laideur : « laide », « cheveux ternes » montre que Bérénice a déplut à Aurélien dès le premier regard, il a une mauvaise image d'elle. Le vocabulaire péjoratif : « laide », « déplut », « n'aima pas comment elle était habillée » est abondant et important sur le physique de Bérénice. Le regard de Aurélien sur Bérénice est progressif : « la trouva franchement laide », « n'aima pas comment

tercets qui précèdent les deux quatrains, au lieu du contraire. Cet inversement est provocateur parce que le sonnet est la forme la plus célèbre et la plus utilisée. BIEN ! Cette déformation du sonnet semble être en rapport avec sa propre déformation physique, ce poème étant un portrait de l’auteur en poète : l’auteur parle d’un crapaud, d’un « rossignol de la boue » pour parler de lui. Le poème est lyrique, le poète exprime ses sentiments personnels, le poème fait preuve de musicalité. Plusieurs éléments