La Lanterne

fumeuses. Mais, au ras du sol, un autre spectacle venait de l'arrêter. C'était une masse lourde, un tas écrasé de constructions, d'où se dressait la silhouette d'une cheminée d'usine; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de tréteaux gigantesques; et, de cette apparition fantastique, noyée de nuit et de fumée, une seule voix montait, la respiration grosse et longue

de lettres, en 1854, la "remise en liberté" du poète. Ce dernier eut alors à faire face, au sein de l'hiver parisien, à une double détresse matérielle et mentale.  Le 26 janvier 1855, à l'aube, on le trouva pendu dans la rue de la Vieille-Lanterne. Adrienne et Sylvie: l’idéal sublime et la douce réalité Présentation Sylvie est la meilleure des nouvelles que Gérard de Nerval ait reunies sous le titre des filles du feu. L’écrivain l’a composée au moment où il cherchait

signifie aussi pillage, levée de lourds impôts et de soldats pour la grande armée. - A gauche du tableau, un patriote espagnol a les bras en croix comme Jésus. Il est représenté avec des couleurs claires et se trouve en pleine lumière par la grosse lanterne. La blancheur de sa chemise éclaire le tableau. Avec le blanc, les bras en croix, les marques de la crucifixion sur les mains, il est la marque de l'innocence, et son attitude face à la mort en fait un martyr à l'image du Christ en croix. Ce personnage

centrale de l’art occidental. 2/ La fem m e à la lanterne : elle surgie de la droite par une fenêtre, étirée par un long bras tendant une lampe à huile. Cette faible lumière s’oppose à l’éclairage violent des flammes et du bombardement, elle symbolise l’espoir et la revanche des républicains. 3/ La fem m e blessée : en bas à droite, une femme se traine péniblement, un genou à terre. Elle relève la tête dans une attitude implorante et regarde la lanterne tendue au dessus d’elle. 4/ La fem m e aux bras

rigide. Bourreaux et victimes se font face et, selon Kenneth Clark, « dans un éclair de génie Goya[->22] a fait se contraster l'attitude féroce des soldats et les lignes d'acier de leurs fusils avec la masse s'écroulant de leur cibles »7[->23]. Une lanterne carrée située entre les deux groupes projette une lumière dramatique sur la scène. La zone la mieux éclairée est celle des victimes sur la gauche, où l'on peut voir un moine ou un prêtre en train de prier, ce qui est consistent avec le désir de Joachim

beaucoup de fumées. 5 {text:soft-page-break} ●Les lanternes à bougie: Concurrentes aux lampes antiques, elles apparaissent au Moyen-âge vers 300 av J-C. Elles sont conçus à partir d'une simple enveloppe de métal percée de quelques petits trous avec une mince lame de corne protégeant la chandelle (=moyen d'éclairage à mèche et combustible solide contenu dans un jonc (=plante droite à tiges cylindrés et souples)). {draw:frame} Lanterne à bougie ●Feu de cheminée: Utilisation d'éclairage

http://www.ac-strasbourg.fr/disciplines/physchim Objectifs : Aborder et comprendre les notions de synthèse additive et soustractive. Comprendre le rôle d'un ou plusieurs filtres colorés sur la lumière. Matériel élève : Une ou plusieurs lanternes (12 V) (avec miroirs latéraux) avec alimentation, filtres (Rouge, Vert et Bleu) et (Cyan, Magnta et jaune). Un écran, blanc d’un côté, noir de l’autre. Un ou plusieurs projecteurs de diapositives. Bien que contemporains

éclairée par la lanterne aux pieds des soldats. La ligne lumineuse sépare les victimes des soldats et crée des ombres qui renforcent le sinistre de la scène. • Couleurs : La composition des couleurs donne une dynamique au tableau. L'œil est d'abord attiré par la tache lumineuse du martyr habillé en blanc puis il suit son regard et découvre les soldats habillés avec des couleurs sombres. Les habits jaunes et blancs du personnage central répètent les couleurs de la lanterne. La forte

comptoir et que le quatrième se postait près de l’entrée. Il ouvrit cette porte d’une main ferme. Le vacarme de la rue parut grandir subitement. Une voiture de livraison s’était en effet arrêtée devant l’agence. Dans la nuit, on voyait briller ses lanternes. Le cocher resté sur son siège causait avec un homme debout au bord du trottoir. C’était cet homme, un encaisseur de la Central Bank, qui avait frappé à la porte quelques instants plus tôt. Sans se presser, évitant les passants dont le torrent coulait

central : un martyr à l'image du Christ en croix. La position des bras,l'attitude face à la mort et la chemise blanche de l'innocence éclairent le tableau. Il symbolise la résistance espagnole. 4)La lumière : éclaire les condamnés et provient d'une lanterne posée au sol. 5)Arrière-plan : le palais Liria (banlieue de Madrid) et la nuit qui représente celle dans laquelle l'Espagne réprimée est plongée. a)Les personnages de gauche et centraux 3 : Allongés dans leur