La Lectrice

et le fascisme. Attiré par le journalisme et le dessin de presse, il s’installe en 1939 à Rome où il se fait engager par un hebdomadaire humoristique à grand tirage, Marc’Aurelio. Il écrit une série de nouvelles destinées à la radio. L’une des lectrices est Giulietta Masina. Lorsqu’il la rencontre, c’est le coup de foudre : il l’épouse le 30 octobre 1943. Il débute au cinéma comme script et comme assistant scénariste de Roberto Rossellini pour le film « Rome, ville ouverte » en 1945. Fellini

se devra de mourir, sans honneur, sans rîtes funèbres, dans d’horrible conditions, car nul ne peut contester le pouvoir du roi. Le comportement excessif de Créon, c’est-à-dire son avidité de pouvoir et son autorité extrême affirme totalement aux lectrices et les lecteurs que celui-ci possède plus d’un travers humains. Deuxièmement, Antigone fait preuve d’un comportement impulsif. En effet, celle-ci est très téméraire : «Si tu [Ismène] parles ainsi, tu mériteras ma haine à moi et tu seras encore justement

leur futur conjoint. La sexualité, découverte par la majorité des jeunes filles le soir de leurs noces en ces temps, n’est pas le thème du récit, contrairement à La Belle au bois dormant ou au Petit chaperon rouge. Le conte éduque en revanche la lectrice au devoir d'obéissance. Car si la Barbe bleue est décrit comme une sorte d’ogre, les choses se passent parfaitement bien entre les époux jusqu’à ce que la jeune mariée transgresse la règle fixée par le chef de famille. Et on peut imaginer que c’est

femme d’avoir aimé ? Peut-on lui en vouloir d’avoir voulu donner un rang élevé à Julien jusqu’à ses funérailles, lui qui n’était jamais en manque d’ambition ? Merci d’avoir pris en considération mon avis, moi qui ne suis qu’une simple lycéenne, une lectrice parmi tant d’autres de votre célèbre roman qui, aujourd’hui encore, fait parler de lui.

l’histoire du roman à la période classique, il marque l’affirmation en littérature de la place des femmes dans la vie culturelle du XVIIe siècle. Avec la Princesse de Clèves, chef-d’œuvre de la préciosité classique, Marie-Madeleine de La Fayette, grande lectrice de Madeleine de Scudéry, se fait la digne représentante des idées « précieuses » véhiculées dans le salon de la marquise de Rambouillet. En quoi la vie de l’auteur et son époque influence elle son œuvre ? Nous parlerons de la vie de l’auteur puis

D'après une enquête réalisée par Le Journal du Management auprès de 503 lecteurs, 27 % des hommes estiment que la parité est respectée dans leur entreprise. Or, dans ce domaine, seules 14 % des femmes partagent cette analyse. Autre exemple : 17 % des lectrices indiquent qu'aucune femme n'a accès à un poste à responsabilités dans leur entreprise. Seuls 3,8 % des lecteurs ont le même point de vue. Dans cet environnement, la carrière des femmes se retrouve peu à peu paralysée, empêchant les femmes d’atteindre

actions des individus. Les valeurs forment un système dans lequel elles sont hiérarchisées. Lien actualité : Luc Chatel veut remettre au gout du jour les leçons de morale à l’école. Interrogé sur un possible "retour de la leçon de morale" par une lectrice du quotidien, le ministre répond : "Oui, je fais revenir la morale à l'école." "La circulaire qui paraît ce jeudi est destinée à toutes les classes de primaire", précise-t-il. "Pas forcément tous les matins, mais le plus régulièrement possible, le

mettre à la place du personnage principal, qui est particulièrement attachant, autant par son innocence que sa naïveté, et son optimisme débordant (bien qu’ici critiqué) sur ce monde qu’il va découvrir tout au cours de son périple. Étant une grande lectrice, j’aime autant rêver de nouveaux paysages en voyageant qu’en lisant. J’ai ainsi pu découvrir, à travers l’aventure de Candide, des villes ou pays décrits comme Venise, Cadix,  Buenos Aires, le Paraguay, Suriname ou encore Paris. Nous voyageons avec

 « Qu’auriez-vous à redouter pour une si belle entreprise ? », « Le bon mot du Législateur des noces de Cana ? ». Elle cherche en employant un ton ironique à mobiliser les femmes à la révolte. En effet, l’auteur ne semble pas vouloir ménager ses lectrices, en utilisant une méthode de persuasion qui a pour but de blesser ou du moins de critiquer les femmes, afin de les pousser à se remettre en question. Ici, Olympe de Gouges explique que miser sur leur charme ne fonctionnera qu’un temps. Elle les critique

l'avoir vu d'une arrivé importante. La réaction de la princesse est très finement évoquée aux lignes 8 et 9 : " il était difficile de n'être pas surprise de le voir quand on ne l'avait jamais vu ". Le mot " surprise " désigne la narratrice, les lectrices mais aussi la princesse. Le " on " est impersonnel. Ensuite la situation s'inverse car c'est le duc qui regarde la princesse. Enfin, on a le regard de la foule pour faire écho. II - La présence du destin a) des héros complémentaires Ce récit