La Liberté Consiste T Elle à Ne Dépendre Que Des Lois

→ Texte 2 :(p.30-31 du manuel) « Il y a un je ne sais quel trompeur très puissant et très rusé qui emploie toute son industrie à me tromper toujours. Il n'y a donc point de doute que je ne suis s'il me trompe ; et qu'il me trompe tant qu'il voudra, il ne saurait jamais faire que je ne sois rien tant que je penserai être quelque chose […] enfin il faut conclure que cette proposition : je sais, j'existe est nécessairement vraie toutes les fois que je le prononce ou que je la conçois. Les réponses

rapports de droits, garantis par des lois. Ces lois ont pour finalité de rompre avec un état de nature, qui serait celui des hommes sans État, et permettent donc d'anéantir la loi du plus fort. Elles témoignent alors, de la volonté des hommes de vivre dans un monde juste, où l'égalité règne. C'est ce que semble aussi confirmer l'histoire avec les nombreuses revendications réclamant davantage d'égalité entre les hommes. On assimile donc spontanément l'égalité à la justice. On peut cependant se demander

incompétent pour connaitre des litiges relatifs à la matière administrative qui relèvent de la juridiction administrative. Les juridictions judiciaires ont classiquement compétence pour connaitre des litiges opposants les particuliers entre eux et pour assurer par la répression pénale le respect des lois. Cependant il existe un certain nombre d’exceptions à ce principe général où le juge administratif s’efface devant le juge judiciaire qui s’intéresse à l’activité administrative, bien que la compétence

LETTRE A MENECEE INTRO : Epicure appartient au matérialisme antique hérité de Démocrite : c’est le premier penseur qui affirme que dans la nature, il n’existe que des atomes et du vide. La connaissance de la nature (phusis) consiste à comprendre que de la matière au vivant il y a une continuité. Tous les corps sont formes d’atomes, selon une agrégation plus ou moins subtile. La physique est la condition d’une éthique. - Il n’y a pas de morale au sens de règles, de lois, de commandements à appliquer

effet, le phénomène criminel ne peut jamais être totalement éliminé. NOTION DE CRIME : Ici entendu au sens large, le ‘crime’ signifie tous les actes qui nuisent à la société. On ne parle pas de crime au sens du meurtre, de l’assassinat. Crime = acte négatif jugé nuisible POUR et PAR la société. I- Etude du phénomène criminel A- Caractéristiques du phénomène criminel Le phénomène criminel concerne l’ensemble des actes jugés négatifs par la société dans la mesure où ils troublent l’ordre

L’article 111-5 du code pénal introduit le principe de l’exception d’illégalité dans le droit positif. Il consiste en ce que le juge pénal puisse apprécier de la légalité d’un acte ou d’une décision administrative dès lors que ceux-ci déterminent la décision finale du procès dans lequel ces actes ont été soulevés. Il le dispose en ces termes : "Les juridictions pénales sont compétentes pour interpréter les actes administratifs, réglementaires, individuels et pour en apprécier la légalité lorsque

nécessaires aux fins politiques, la question de savoir si la fin doit toujours justifier les moyens se pose. Encore faut-il que la fin soit légitime. Et même à admettre que la seule fin possible de la politique soit la préservation de la communauté, ne peut-on soupçonner un pouvoir d’être en position de vouloir éventuellement d’autres fins ? a) La raison d’Etat et le droit de révolte. L’expression de raison d’Etat est employée lorsque c’est l’Etat lui-même, dans la nécessité et la légitimité de

Liberté La liberté est-elle dans la révolte? Est-il nécessaire de changer le monde pour être libre? (Liberté) La puissance de choix exclut-elle le soumission à des règles de vie pratiques et morales? Peut-on accepter toutes les idées ? Etre maître de soi. La liberté n'est-elle qu'une passion ? (Liberté) La liberté n'est-elle qu'une passion ? (Liberté) "C'est plus fort que moi" Peut-on etre responsable sans etre coupable ? Le prisonnier est-il libre? Sommes nous libres ou déterminés? (Liberté)

citation) n’est jamais un moyen mais une fin. De même, une Personne, à la différence d’une chose, n’est jamais un moyen (ne peut être instrumentalisée, comme l’esclave) mais une fin parce qu’elle est autonome (voir la définition de cette notion). Mais une fin à un moment donné (par exemple le Bac) peut devenir un moyen en la considérant par rapport à un but plus lointain (toujours dans l’exemple : accéder à des études supérieures, à un travail). C’est là aussi que peuvent se poser des problèmes éthiques :

force d'âme , avec courage et générosité, en réalisant ses désirs raisonnables dans un sentiment de liberté intérieure que les passions ne peuvent troubler. A l'extrême de la libération des passions par la connaissance de la vérité, qui est la compréhension intuitive que tout ce qui existe est en réalité Dieu, c'est-à-dire la nature, le bonheur devient parfait et prend le nom de béatitude, c'est-à-dire joie vécue avec un sentiment d'éternité et s'accompagnant d'un amour de toute chose. Le bonheur