La Liberté Est Innée

L’homme nait-il libre ou le devient-il? S.A : La liberté est un grand thème philosophique qui ne cesse d’être au cœur des réflexions des hommes à travers le temps. Plusieurs grands philosophes ont approfondi le sujet, dont Marx, Descartes, Rousseau et plusieurs s’autres. S.P : Encore aujourd’hui, on ne cesse de se demander si l’homme nait libre ou s’il le devient. D : Liberté= c’est lorsque notre conscience choisi au-delà de tout déterministe, soit des facteurs hors de notre contrôle. Pour ma

 ni la  dépendance. L'autonomie n'est ni le désordre, ni la liberté, ni la contrainte. L'autonomie n'est ni  l'indifférence, ni le pouvoir absolu, ni l'absence d'identité... ​ ».  D'après Eric Berne, psychiatre américain : « ​ L'autonomie correspond à l'utilisation par la personne  de ses capacités de conscience, de spontanéité.​  ». En d'autres termes l'autonomie est la capacité  d'agir par soi­même.  Pour  Kant  en  effet,  «  ​ la  liberté  de  penser  signifie  que  la  raison  ne  se  soumette 

s'accepter c'est accepter les autres. Tolérance C’est une chose qui n’est pas innée, Mais une vertu qui peu à peu s’acquiert. L’homme étant par nature intolérant, Prétentieux et si instruit parfois trop pédant.   La tolérance c’est l’autre d’en face accepter, Comme l’égal de soi même ainsi regarder. Ce n’est donc pas chose très facile, Pour l’homme de s’y montrer habile.   C’est une chose qui n’est pas innée, Mais une rose qu’il faut ainsi chercher, Et entretenir pour ne pas qu'elle se

rien en vain et n'est pas prodigue dans l'usage des moyens qui lui permettent de parvenir à ses fins. Donner à l'homme la raison et la liberté du vouloir qui se fonde sur cette raison, c'est déjà une indication claire de son dessein en ce qui concerne la dotation de l'homme. L'homme ne devait donc pas être dirigé par l'instinct ; ce n'est pas une connaissance innée qui devait assurer son instruction, il devait bien plutôt tirer tout de lui-même. La découverte d'aliments, l'invention des moyens de

Naît-on libre ou a-t-on à le devenir? « Être libre, c'est faire ce que je veux » : telle est la définition la plus courante de la liberté,un homme « libre », selon cette idée, agit à sa guise sans y être contraint ni empêché. Un Homme ne serais donc pas libre lorsqu'on contraint sa volonté par des règles, des ordres et des lois. Être libre serait alors la condition naturelle de l'homme, et la société en serait le marqueur de son esclavage. D’après la Déclaration des droits de l'homme et du

pensant reçoit des idées de tout ordre et que il est possible que la représentation des ces idées me soit inconnus. Ces idées peuvent représenter des choses qui nous sont inconnus, qui n’existe pas comme certaine formes géométriques. C’est dans notre liberté de les penser et elles gardent une « nature vrais et immuable » c’est-à-dire un caractère vérifiable. Nous disposons donc d'éléments mesurables des essences des choses matérielles, ce qui nous permet d'exercer une science physique mathématique a priori

propre existence. Dans un premier temps Kant nous démontre que c'est la conscience de soi qui fait de l'homme une personne, puis dans un second qu'elle est universelle mais pas un simple jeu grammatical pour finir par nous apprendre qu'elle n'est pas innée mais qu'elle est dû à un apprentissage. Ce texte nous invite donc à réfléchir sur ce qu'est l'homme et par quels moyens il prend conscience de lui-même. Dans un premier temps Kant nous explique que l'homme est supérieur à tout être vivant en écrivant

comme ce qui me pousse a être responsable. En ce sens, la conscience est une prise de possession de soi. Avoir conscience de soi, des autres et du monde confère-t-il à l’homme sa dignité, l’émancipe des instincts animaux ou nuit-il au bonheur et à sa liberté, autrement dit révèle sa misère ? Nous verrons dans un premier temps les privilèges que nous confère la conscience. Puis nous verrons les conditions pour que ces derniers deviennent des fardeaux. La conscience permet de ressentir les peines du corps

tout reste possible puisqu’elle rallumera la Foi, ce souffle d’énergie, de confiance et la Charité qui « permet de s’identifier à tout ce qui vit, à l’œuvre éternelle ». (rituel). Mais où est ma liberté, comment vais-je pouvoir contribuer puisque le rituel m’indique que « cette espérance est innée et ancrée au Cœur des hommes » ? Est-ce un don de Dieu, une grâce donnée par le Tout-puissant ? Est-ce que la Maçonnerie, en affirmant le caractère inné de l’Espérance rejoint par là le sens des vertus

le véritable caractère de la beauté. Le beau, défini comme la perfection, exigerait une sorte de jugement pareil à celui qui fonde l'estime: l'enthousiasme que le beau doit inspirer ne tient ni aux sensations, ni au jugement; c'est une disposition innée, comme le sentiment du devoir et les notions nécessaires de l'entendement, et nous reconnaissons la beauté quand nous la voyons, parce qu'elle est l'image extérieure de l'idéal, dont le type est dans notre intelligence. La diversité des goûts peut