La Liberté Selon Epictète

beau et la justice -Les humains ont du mal à reconnaître ce qui a vraiment de la valeur et ce qui peut contribuer à être heureux -On ne peut pas être heureux dans un monde d'illusion selon Platon,il faut accéder à la conscience pour être heureux -La caverne de Platon met en scène la mort fragile de Socrate -Selon Platon ,le désir est un désir de connaissance ,seule la connaissance peut nous permettre d'être heureux -Pour Platon,il est important de faire la distinction entre les illusions et la

rencontre une femme dans la rue, et que cette perception (image, représentation) déclenche en moi un désir. Mais il arrive aussi que ce soit le désir qui produit une représentation ou suscite une pensée. Par exemple, dans le rêve, c’est notre désir (selon Freud, en tout cas) qui produit des images mentales. Il en va de même dans la création artistique. Ces influences réciproques s’entremêlent dans le cas de l’action « en finalité » : le désir d’une certaine fin (ex : une maison) stimule notre raison

conseil de sagesse, il est absurde de désirer l’impossible. Pour la morale stoïcienne le monde a un ordre et les désirs veulent bouleverser cet ordre. Descartes résume les idées des stoïciens « vaincre ses désirs plutôt que l’ordre du monde », donc selon eux il ne faut pas bouleverser ce que l’on ne peut pas bouleverser il faut vaincre ses désirs. L’homme est condamné à être malheureux (cf. Platon), l’homme aspire à quelque chose que l’on ne peut pas nous donner. La véritable félicité n’est pas dans

conduit à la souffrance et au malheur, le plaisir est donc perçu comme voie royale vers le bonheur. Le sophiste Calliclès, représentant de l'hédonisme jouisseur, incarne cette conception du bonheur dans le Gorgias de Platon : le bonheur est selon lui une sensation subjective de plaisir et de joie. C'est pour cette raison qu'il qualifie l'homme heureux présenté par Socrate de caillou ou de cadavre : pour lui « la vie de plaisir est celle où l'on verse et on reverse autant qu'on peut dans son

La liberté Elle est inaliénable. Comment Epictète démontre qu’on ne peut lui enlever sa liberté ? Les pouvoirs que le tyran croyait absolu n’existe pas. Il est limité par les autres hommes. Il dépend donc de personnes qui lui sont inférieures. Par Socrate, on arrive à l’idée que le pouvoir du tyran est limité : on lui fait la cour pour en tirer profit. Les hommes lui obéissent par crainte donc pas de véritable pouvoir puisque qu’ils peuvent faire semblant. L’essentiel pour un homme libre

éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme

[Introduction] [Construction du paradoxe en deux temps] Non sans polémique, Woody Allen affirme que « La richesse vaut mieux que la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières ! » Cette affirmation semble accréditer une représentation populaire selon laquelle bonheur et prospérité matérielle serait nécessairement liés. Posséder serait donc une des clés de la félicité dans une société de consommation qui présente les jouissances, chèrement payées parfois, comme un impératif. Néanmoins, à côté

éphémère ?4 I. Bonheur et désir4 A. L’hédonisme4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès)4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure)5 B. Le stoïcisme6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle)6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas6 b. Modifier nos désirs7 c. La vertu, c’est le bonheur7 d. Être conscient des maux qui nous guettent7 e. Conclusion8 2. Un Stoïcien original : Spinoza8 C. Le pessimisme10

4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C.

extraordinaires (cataclysmes et autres calamités) - et un mal moral (le mal infligé par l’homme). a. Y a-t-il un mal d’univers ? Pour résoudre cette question, nous essayons de définir ce qui pourrait définir un mode d’existence non souhaitable en soi et selon la pure logique (et non « provoquant de la souffrance », ce qui serait trop subjectif). Nous cernons alors le « mal cosmique ». (voir cours) Ces deux espèces du mal (mal cosmique et mal physique) ont en commun de ne procéder d’aucune volonté malfaisante