La Liberté Selon Nietzsche

d’exercer l’autorité. B)Cœur : l’énergie ( thumos : ce qui pousse l’homme à agir ) => courage. C)Ventre : appétit ( epithumia : désir sexuel, nourriture ) => tempérance. Pour que règne la justice, il faut que ces trois facultés soient réalisées selon un ordre : le noûs commande au thumos ( qui risque de m'égarer – par exemple, dans la colère ) ; l'epithumia ( ce que l'on a de commun avec les animaux ) devant être gouverné absolument. A ces trois parties de l'âme ( raison / énergie / appétit

mélancolie. Or c'est d'abord dans cette tradition médicale et philosophique que se situent Schiller et Kant. C'est surtout elle qui met en relation de façon tout à fait explicite l'héroïsme et la mélancolie. 1. Mélancolie et héroïsme de la pensée Selon un traité attribué à Aristote, et traditionnellement désigné sous le titre Le Problème XXX, 1, qui a été traduit par Jackie Pigeaud sous le titre plus évocateur L'Homme de génie et la mélancolie, la mélancolie est le propre des grands hommes. Il s'agit

Friederich Nietzsche A. Introduction 30 ans: maux de têtes et problèmes de vision 35 ans: fin d’enseignement Voyage pendant 9 ans: 11 essais philosophiques 3 janvier 1889: crise de folie Nietzsche critique vigoureusementL 1)Toute tradition philosophique occidentale 2)Le christianisme Les 2 ont toujours surestimé l’âme, la raison, la pensée au détriment du corps Nouveau: le corps est supérieur à la raison Le matérialisme: théorie philosophique selon laquelle la matière est à la base de tout ce

Dans le texte étudié extrait d’Aurore publié en 1881, Nietzsche, philosophe allemand du 19ème siècle, critique la glorification du travail afin de pousser les hommes à travailler dans un but de production massive pour s’enrichir. Dans un premier temps, Nietzsche évoque la bénédiction du travail et les atouts que ce dernier apporte puis dans un second temps, il affirme que la glorification du travail est un danger pour l’homme. Nietzsche commence son texte en parlant de la glorification du

forts. La réponse de Socrate est sans équivoque : il nie toute équivalence entre les forts et les meilleurs; si deux personnes sont plus fortes qu’une autre, avance-t-il, cela ne signifie pas pour autant qu’elles sont meilleures. La véritable vertu, selon Socrate, n’est pas la domination des autres mais la domination de soi par soi ; et si la nature institue des inégalités effectives qui génèrent des conflits, il s’agit de contrôler celles-ci et de les maîtriser en vue de la paix civile, qui est condition

les faux-savoirs et l’illusion. La vérité est un idéal, une valeur. On peut manquer la vérité et être dans le vrai : « je sais que je ne sais pas ». Le philosophe allemand, Kant pense que la volonté de vérité est d’abord un devoir social, ainsi selon lui il faut vouloir la vérité sans exception et de façon absolue car elle est la condition de tous les liens sociaux. C’est seulement grâce à elle que l’on peut faire confiance à l’autre. Effectivement les relations humaines se fondent sur la confiance

La liberté Introduction La liberté est généralement définie comme l’état dans lequel un sujet peut agir sans contrainte ni obstacle. Lequel état lui permet de déterminer, en toute autonomie, la fin de ses actions ainsi que les moyens d’y parvenir. Pour le sens commun, être libre, c’est accomplir ses désirs sans obstacle. Mais le sentiment immédiat de liberté n’est peut être qu’une illusion. L’homme qui se croit libre, l’est-il réellement ? En d’autres termes, qu’est-ce que la liberté ? Au sens

de : 1. (sur le plan des questions existentielles) : La liberté. 2. (sur le plan éthique ou moral) : La morale (ou raison , bonheur) 3. (sur le plan politique) : Le devoir Développement de ces trois raisons : Idée 1. (formulation de la 1er raison)Définition(s) (des mots clefs) | L’homme même s’il croit être libre, ses volontés sont en fait déterminées par des causes, comme n’importe quel phénomène naturel. La liberté s’oppose à la contrainte : l’obstacle extérieur, mais aussi la

a. GORGIAS II. LA NEGATION DANS LA CONCEPRION MODERNE a. NIETZSCHE b. DESCARTES c. HEGEL CONCLUSION INTRODUCTION Que l’on définisse la négation comme action de nier, cela ne fait l’ombre d’aucun doute. Mais, cette définition prise ainsi est-elle la même ou signifie-t-elle la même chose chez tous les auteurs qui l’on aborder ? Sûrement pas car le contenu varie selon qu’on est chez tel ou tel auteur. Pour les uns c’est le fait de nier toutes les valeurs

lucidité et la liberté plutôt que de croire simplement. - Quelles sont les trois dimensions de la philosophie ? • La théorie : c’est apprendre à connaître le monde dans lequel nous vivons. • L’éthique : c’est apprendre à connaître les autres humains et apprendre à vivre avec. • La sagesse : c’est la quête du salut. Être sage c’est vivre sagement, heureux et libre en ayant vaincu les peurs que suscitent la finitude. Chapitre 2 : L’amour de la sagesse selon les stoïciens