La Liberté Selon Nietzsche

essayer de mettre des mots sur les émotions. Il voudrait être "sauvage et sans culture" pour résister éperdument à "tout système réducteur". Pour mieux appréhender la photographie, il faut être seul et apprendre à oublier. Selon Barthes, la photographie peut être comprise selon trois points de vue: "faire, subir, regarder" qui correspondent respectivement à l'operator (le photographe), le spectrum (la cible, le référent) et le spectator (le spectateur). La photographie est invisible, ce n'est pas

Explication de texte – Le Gai savoir §354, Nietzsche. La thèse que soutient Nietzsche dans cet extrait est la suivante : la conscience n’est pas naturelle à l’homme, elle n’est née que par les relations des hommes entre eux, nées elles-mêmes par le besoin naturel de l’homme à communiquer avec ses congénères. Ce serait pour Nietzsche, ce besoin naturel d’échanger qui serait le berceau de la conscience chez l’homme. Pour établir que la conscience vient de cette nécessité à communiquer, l’auteur

Friedrich Wilhelm Nietzsche (prononcé [nitʃ] ou [ni:tʃə]) est un philologue, philosophe et poète allemand né le 15 octobre 1844 à Röcken, en Saxe, et mort le 25 août 1900 à Weimar, en Allemagne. L'œuvre de Nietzsche est essentiellement une critique de la culture occidentale moderne et de l'ensemble de ses valeurs morales (issues de la dévaluation chrétienne du monde), politiques (la démocratie, l'égalitarisme), philosophiques (le platonisme et toutes les formes de dualisme métaphysique) et religieuses

du mensonge est donnée avec la conscience elle-même, dont elle mesure ensemble la grandeur et la bassesse ». Le mensonge, défini comme une parole prononcée dans le but de cacher ou de dénaturer la vérité, relève donc de la nature de l’homme. Selon Nietzsche, dans les Etudes théorétiques, « le menteur utilise les désignations valables, les mots, pour faire apparaitre l’irréel comme réel ». La possibilité de mentir témoigne donc de la capacité de l’homme à imaginer et à concevoir des propos suffisamment

est une lutte pour l'existence où l'on est sûr d'être vaincu, c.à.d. de mourir. L'intelligence n'est qu'un agent de la volonté chargé de pourvoir à la vie de l'individu. 1.2 Les voies de la délivrance a) Le suicide est une fausse solution Selon Schopenhauer, le suicide est une quête infructueuse et vaine d'un savoir sur la mort: «Le suicide peut-être considérée comme une expérience, une question que l'homme pose à la Nature en essayant de la forcer à répondre. La question est la suivante:

s'applique aux choses sur lesquelles l'homme a un pouvoir. " Le hasard aime l'art, l'art aime le hasard ", dit Aristote. Il voyait dans la technê la manifestation de la liberté de l'homme. Créer des formes en intervenant dans le cours des choses qui ne sont pas déterminées, qui peuvent être autrement, ou sur le contingent, affirme la liberté de l'homme, son indépendance par rapport à la nature, tout en faisant de l'artisan le rival de cette même nature. On peut donc conclure, provisoirement, que l'art

Cet extrait de Nietzsche faisant parti de son livre Aurore est une critique de la glorification du travail. Quelle valeur accorder à l'apologie du travail quand celle ci est d'une part, perçue comme libératrice et évolutive et d'autre part, conçue avec une force de soumission morale et intellectuelle. Nietzsche ne juge non pas le travail en lui même mais l'importance bénéfique qu'on lui accorde dans la société moderne, une façade méliorative d'un travail aux actes et aux gestes impersonnels, et

Philo libertéPHILOSOPHIE Notre liberté n’est-elle qu’une illusion de notre conscience ? Introduction : « La liberté de notre volonté se connaît sans preuve, par la seule expérience que nous en avons. » Principes de la Philosophie, Descartes ⇨ Pour lui, l’existence du libre-arbitre est une évidence qui n’a pas besoin d’être démontrée. Nous savons que nous sommes libres car nous le sentons. Descartes est ouvertement catholique et Dieu, ayant créé l’Homme à son image ex nihilo, lui a donné la capacité

L’homme est un animal métaphysique […] Avoir l’esprit philosophique, c’est être capable de s’étonner des évènements habituels et des choses de tous les jours, de se poser comme sujet d’étude ce qu’il y a de plus général et de plus ordinaire […]. » Selon lui, philosopher, c’est aller contre l’attitude naturelle de ne pas remarquer qu’on existe. L’homme est un animal métaphysique car il sait qu’il existe et qu’il est mortel. Exister, pour un être humain, ce n’est pas seulement vivre mais c’est également

L’amitié est ainsi ce ciment de la cité à l’intérieure de laquelle l’homme peut atteindre le bonheur. Vous pouvez également vous reporter aux analyses de Nietzsche dans les Secondes considérations intempestives lorsqu’il montre qu’il n’y a finalement que de bonheur dans le partage car le bonheur suppose le don. Comment alors concilier cette idée selon laquelle les autres seraient des obstacles à notre bonheur et cette affirmation du bonheur comme partage ? Lorsque Rousseau nous dit que c’est dans le