La Liberté Selon Nietzsche

Introduction - Le déclin du sentiment religieux a été diagnostiqué à maintes reprises depuis un siècle. Cf Marx et l'avènement du communisme, Nietzsche et "la mort de Dieu", etc. - Pourtant la croyance en une parole révélée qui mettrait en scène l'origine du bien et du mal ne semble pas disparaître. Cf la résurgence des sectes. - L'homme peut-il vivre sans mythes ? Développement l. En quel sens l'homme a besoin de mythes 1.1 Pour assumer l'impuissance qu'il ne peut que ressentir face à

conteste d'ailleurs pas totalement cet état de fait : selon lui, il est possible dans le cadre de la vie sociale de corrompre sa nature. Mais on cesse alors d'entendre la voix profondément morale de sa conscience innée, pour la remplacer par des impératifs qui, au contraire, ne sont plus vertueux. On retrouve le mythe du "bon sauvage" cher à Rousseau, selon lequel l'homme est bon par nature, mais corrompu par la société. Comme l'affirme Nietzsche dans le Gai Savoir, notre conscience morale peut aussi

plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant ». Pour lui, l'homme grand, noble prend conscience de sa condition est misérable, qu'il est peu de chose comparé aux forces de l'univers. II) La conscience comme phénomène de surface Nietzsche : la conscience est un phénomène liée à la nature. C'est un phénomène de surface par rapport à la profondeur de la vie, c'est comme un signe de grandeur. Il se pose la question sur l'origine de la conscience. La conscience a été forcé de se développer

faire. Il faut partir du sujet. Seul l’homme a une valeur absolue. Pratiquement prime l’individu. C’est-à-dire une valeur en lui-même et par lui-même. Seul l’individu humain est sujet de droit dans nos sociétés démocratiques. Il est protégé dans sa liberté par l’appareil étatique. On exclut l’animal. Il n’est protégé qu’en vertu de la propriété individuelle. Cela exclut l’enfant car il est sous la protection de l’individu majeur. Cela exclut aussi la communauté car si la communauté devient de droit

( C'est l'ivresse de la liberté ) *etre libre s'est s'accomodé des contraintes *La liberté, c'est vivre ce qu'on est sans se sentir opressé. On peut etre libre mais assumer certaines contraintes. Apres je pense que ça dépend selon la personne... I) Le point de vue du sens commun: liberté=absence de contraintes. Pour le commun des mortels, être libre c'est faire ce qu'on veut quand on veut. La prison en est l'antinomie foncière. N'est pas libre celui qui subit des contraintes physiques d'abord:

plaisir 2.Le désir de vie 1.Approche phylogénétique (Darwin) 2.Conséquences existentielles (Schopenhauer) 3.Le désir de conservation (Spinoza) 4.La volonté de puissance (Nietzsche) 5.Le désir d'éternité (Platon) 3.Le désir de mort 1.La structure kamikaze du désir 2.L'agressivité introjectée (Nietzsche) 3.La nature conservatrice des pulsions (Freud) 4.Le plaisir de se perdre 4.L'indétermination du désir 2.Le désir de l'autre 1.Le désir mimétique (Spinoza) 2.La structure

La religion intègre la conscience que la réalité porte une explication autre qu'elle-même. Les rites ont alors une fonction de rassembler mais aussi de créer un rapport avec ce surcroît de réalités. On pourrait comprendre la relation à la divinité selon trois aspects. Le première aspect consiste à dire que la divinité est prisonnière de la nature car la nature n'est pas un ensemble de forces que les sciences peuvent calculer. Il s'agit donc de concilier ses forces naturelles. Il peut s'y concilier

d’Epicure. C’est aussi l'époque des grandes découvertes de nouvelles cultures. Il s'ensuit un bouillonnement intellectuel qui va ébranler les systèmes de repère que l'homme s'était donné. Il y a une remise en cause de la cosmologie aristotélicienne selon laquelle la terre est le centre du monde et l'homme le centre de la terre. La pensée religieuse médiévale avait adopté totalement cette cosmologie d'Aristote par l'intermédiaire de Saint Thomas d'Aquin. Or cette cosmologie va être ruinée. Giordano

le xixe siècle, la réflexion des artistes sur l’art a contribué à enrichir les théories esthétiques. 3 THÉORIES CLASSIQUES 3.1 Platon Platon Buste grec de Platon. SEF/Art Resource, NY La première théorie du beau est celle de Platon. Selon sa philosophie, la réalité est constituée d’archétypes, idées, formes ou encore modèles parfaits des choses, dont l’homme ne connaît que les reflets à travers l’expérience sensible. Ces modèles confèrent aux choses du monde, toujours mouvantes et susceptibles

Daniel Pimbé Nietzsche (1997) Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Edition numérique : Pierre Hidalgo PhiloSophie © février 2011 Table des matières Introduction : Biographie ......................................................... 5 Chapitre 1 : La doctrine de la volonté de puissance ............... 12 Affirmation et négation de la vie ............................................... 12 Vie et valeurs : le fait primordial ................................................. 12