La Libre Parole

les couches de la sociétés. C'est Edouard Drumont qui répend les idées antisémites dans la population française. Tout d'abord avec son ouvrage La France Juive qui dénnonce fortement la communauté juive et la stigmatise, puis par son journal La libre parole qui sera considéré comme le journal antisémite le plus populaire, possédant comme sous titre " La France aux français". Les couches populaire se servent du bouc-émissaire juif pour y jrejeter dessus tout leurs maux. Que ce soit les soucis économiques

apparit° de presse d’opin°, - diffusée mais influente: gauche (L'Humanité de J. Jaurès: socialistes, L'Aurore de G. Clémenceau : radicaux), centre (Le journal des débats ou Le temps), droite (Le Figaro : centre-droit, La Croix : catholiques, La libre parole d'E. Drumont ou L’Action française de C. Maurras : extrême-droite) + presse syndicale informant et mobilisant les militants. 2) La presse au cœur des crises de la IIIe République. a- Presse reflète crises que connaît IIIe République jusqu’à

l’époque par le biais des revendications de ses précurseurs ? Le contexte de la troisième république s’avère favorable à la naissance de l’intellectuel par différents évènements qui surgissent au cœur de la vie politique et suscitent l’expression libre des opinions. En parallèle, les intellectuels ont à présent le moyen de largement diffuser leurs opinions par divers moyens de communication ; l’on assiste alors à un décollage fulgurant de la presse écrite. Cette naissance de l’intellectuel ouvre

Paty Prison du Cherche-Midi Le déroulement de l’Affaire Le 29 octobre 1894, l'affaire est révélée par le journal antisémite, La Libre Parole, d'Edouard Drumont, dans un article qui marque le début d'une très violente campagne de presse jusqu'au procès. Les deux mois qui précèdent le procès, la presse se déchaîne. En effet de nombreux journaux comme La Libre Parole, L'autorité ou encore Le Figaro vont tenter de faire pression sur le gouvernement afin d'en savoir plus. Le premier procès s'ouvre

« antidreyfusards » qui prônent la culpabilité de l'homme. La « trahison de Dreyfus » est révélée par la presse : c'est Édouard Drumont, fondateur de La Libre parole, qui dénonce Dreyfus. Les publications de l'éditeur sont teintées d'un antisémitisme obsessionnel et Drumont traite volontiers des affaires où il peut déprécier les Juifs. Conscients du succès de La Libre parole, les autres journaux exploitent également ce filon antisémite, moins pour défendre leurs idées que pour lutter contre la concurrence. Dans

est réalisée, mais n’aboutit à aucune conclusion probante. Le retentissement de la mort d'Émile Zola est immense. La presse se fait l'écho de l'émotion qui gagne la population entière. La presse nationaliste et antisémite exulte (Le journal La Libre Parole titre : Scène naturaliste : Zola meurt d'asphyxie). L'émotion gagne l'étranger où de nombreuses cérémonies ont lieu en mémoire de l'écrivain français, et les presses germaniques, britanniques, américaines s'en font largement l'écho. L'hommage est

élections législatives. Cet antisémitisme est renforcé par la crise de la séparation des églises et de l'État à partir de 1905, l'amenant probablement à son paroxysme en France. Le passage à l'acte est permis par l'avènement du régime de Vichy, qui laisse libre cours à l'expression débridée et complète de la haine raciale. Au sortir de la guerre, la monstruosité de la solution finale s'impose à tous, muselant jusqu’à nos jours l'expression d'un antisémitisme qui peut s'exprimer de temps à autres au travers

est en parti responsable de la seconde condamnation de Dreyfus en 1899. De plus, tout au long du conflit, les antisémites ont profité de la situation pour discriminer clairement les juifs. Par exemple Drumont publie un écrit dans le journal « La Libre Parole », sous-titré « la France aux Français », dans lequel il affirme une malveillance de la part des juifs qui haïraient la France. En revanche, les dreyfusards dénoncent ces antisémites qui profitent de la situation. Selon eux, on ne peut tolérer

question s'appelait Dreyfus, qu'il avait trente-cinq ans, qu'il était officier d'artillerie et attaché au Ministère de la Guerre." A 22 heures ce même jour, l'agence Havas confirme l'arrestation d'un officier sans en indiquer le nom. Le journal La Libre Parole lance la campagne qui ne va cesser de s'enfler. Il la place aussitôt sur le terrain qu'elle ne quittera plus, celui de l'antisémitisme 19 décembre : le Conseil de guerre déclare Dreyfus coupable à l’unanimité, Le général Mercier a remis à

la patrie française ( antidreyfusards ). Juillet 1906 : réhabilitation de Dreyfus. Premières réactions de la presse C'est le 1er novembre 1894 , par une note du Figaro , que l'opinion publique est saisie de l'affaire Dreyfus. Et la Libre Parole , quotidien nationaliste antisémite , de titrer : HAUTE TRAHISON ! ARRESTATION D'UN OFFICIER JUIF ! LE CAPITAINE DREYFUS ! Les faits relatés dans la presse se rapportent à des évènements antérieurs : déjà depuis le 24 ou le 26 septembre , le