La Lison Zola

pencha. Au loin, après une dernière courbe, la tranchée lui apparut, en ligne droite, ainsi qu'une longue fosse, comblée de neige. Il faisait plein jour, la blancheur était sans bornes et éclatante, sous la tombée continue des flocons. Cependant, la Lison filait à une vitesse moyenne, n'ayant plus rencontré d'obstacle. On avait, par précaution, laissé allumés les feux d'avant et d'arrière ; et le fanal blanc, à la base de la cheminée, luisait dans le jour, comme un œil vivant de cyclope. Elle roulait

1864 - Zola, Le Roman expérimental, 1881 ; Littérature 2nde p. 347 - Maupassant, Préface de Pierre et Jean : « Le roman », 1888 ; Littérature 2nde p. 339  Une écriture scientifique - E. Zola, Germinal, I, chap. 4, « le travail dans la mine », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse » - E. Zola, Thérèse Raquin, 1868 - E. Zola, « Ébauche » de La Bête humaine, 1890 ; Littérature 2nde p. 170-171 - Zola, L’Assommoir,  Une écriture métaphorique - E. Zola, Germinal

Par ailleurs, dans cette scène, Zola nous présente une vision métaphorique de l'accident de train à travers la personnification de La Lison. En effet, les personnifications telles que «renversée sur les reins» (l.1), «le ventre ouvert» (l.1), «une haleine» (l.2) donnent à la locomotive des traits d'êtres vivants, mais l'auteur lui donne aussi un prénom «La Lison» ce qui renforce le fait que la locomotive soit un objet vivant. L'utilisation de noms communs comme «des souffles» (l.2), «une haleine»

les résultats de l’autre procès, celui des Roubaud. (Zola ; page 98) 2) ...et une légende de police était en train de se former, romanesque... (Zola; page 114) 3) ... elle comprit que Misard, avec une pioche, était en train de fouiller le sol battu de la cuisine... (Zola; page 210) 4) ... il envoyait des baisers en l’air ; ce qui avait fait éclater d’un gros rire Pecqueux, en train de charger le foyer de la Lison, fumante, prête à partir. (Zola; page 215) 5) Pecqueux est à Paris, en train de nocer

Fiche de Lecture : AUTEUR : Émile Zola (né à Paris le 2 Avril 1840 et meurt à Paris également le 29 Septembre 19023 C'est un journaliste français ainsi qu'un romancier des plus populaires.) TITRE : La Bête Humaine EDITEUR : Gallimard DATE DE LA 1ère EDITION : 1969 PRIX : 5,04 € NOMBRE DE PAGES : 504 pages PERSONNAGE PRINCIPAL: Séverine Roubaud, née Aubry : jeune femme de Roubaud, victime de Grandmorin dans sa jeunesse, complice du meurtre de ce dernier perpétré par son mari

Sujet: En quoi ce passage est-il propre à l'œuvre de Zola mais aussi revêt-il une valeur symbolique, épique, fantastique? Ce passage est tirer du 17ème volume des Rougon-Maquart, de l'œuvre « La bête humaine » d'Emil Zola. Ce passage est propre à l'œuvre de Zola. Tout d'abord par un coter réaliste, parce que son œuvre se rapproche le plus possible de la réalité, son texte est écrit à la troisième personne du singulier et son histoire à un lien avec le contexte historique de son époque. En

La bête humaine Auteur : Émile ZOLA Date de parution : 1890 Temps de l'histoire : XIXème siècle Type de narrateur : Narrateur Interne Genre littéraire : Roman I /PERSONNAGES II/Thème Une France en plein progrès pendant la révolution industrielle. Œuvre moderne, largement consacrée aux chemins de fer. Lois de l’hérédité et la psychologie des passions. Jacques Lantier est atteint d’une folie qui le pousse à vouloir tuer toutes les femmes qui lui cèdent. III/Résumé

milieu. La description ds le roman naturaliste revêt une toute autre importance que celle des autres romans. Le XIXème siècle est à la science et de nombreux romans de ce siècle ne sont plus vraiment des romans mais des « clinique de passions ». Emile Zola, romancier naturaliste, pense que « la description est une « nécessité de savant » et non « un exercice de peintre ». Dans quelle mesure la description n’est-elle entrevue que comme étant « nécessité » et non comme une fantaisie artistique ? C’est

La bête Humaine de Zola 1. Chapître 1 et 2 : l’Exposition Dans ces 2 premiers chapîtres, nous sont donnés les éléments principaux qui seront les clés du roman, à savoir, les personnages, les lieux, l’intrigue, les différents thèmes. La mise en route d’un point de vue dramatique se fait directement. Cependant, les deux premiers chapîtres sont différents : Chapître 1 : Il a lieu à Paris, dans un appartement qui donne sur la gare Saint-Lazare. Les deux personnages présentés sont

bucolique à l'esthétique impressionniste, dans lequel jouent sa jeune épouse et son frère aîné, Pierre Renoir et dont la critique est mitigée.  Cela ne décourage pas pour autant le cinéaste qui réalise une adaptation couteuse de l’œuvre d’Emile Zola, Nana, suivit d’une série d’œuvre d’influences diverses. En 1931 il réalise "On purge Bébé", d'après Feydeau, le tournage est bouclé en six jours seulement et le film rencontre un vrai succès populaire. La Chienne réalisé en 1931, marque un tournant