La Lison Zola

faire de Jeanne une vieille femme (d'à peine quarante ans), une sorte de demi-vivante, qui n'a plus que ses souvenirs et ses vaines attentes. Son père est mort l'année du départ de Paul et tante Lison trois ans plus tard. Sur les conseils de Rosalie, qui est revenue à son service à la mort de tante Lison, elle a dû vendre les Peuples, toujours en 1844, etl à partir de 1846, on entre dans la pénombre de la non-existence: "Mais les années suivantes lui semblaient se perdre dans un brouillard, se mêler

nous lisons, notre jugement, notre avis sur divers sujets ou notre vision de la vie peuvent changer. Dans L’art du bonheur du Dalaï-Lama, on découvre une autre conception de la vie, une maîtrise de soi accomplie, une vie détendue, apaisée. L’auteur nous fait comprendre le pourquoi du comment en changeant notre façon de penser. Le roman influe sur notre être. Les auteurs peuvent aussi, défendre une cause, en faire l’éloge, dénoncer ou blâmer une société, par exemple dans La Curée, Emile Zola blâme

- Vous le dites ; vous ne pouvez pas vous empêcher de l’écrire ou de le publier ; vos journaux sont pleins de protestations de vos avocats et de vos orateurs qui nous renient et nous méprisent. Croyez-vous donc que nous ne les lisons pas, vos journaux ? « Le peuple, dites-vous, ce n’est pas cette vile populace qui hurle dans les attroupements, qui demande le sang et le pillage, qui mendie, un bâton à la main, prête à arracher la vie à quiconque ne livre pas sa bourse. Le peuple

pour notre vie matérielle. Ensuite, les livres peuvent être des maîtres dans un autre sens du mot  « celui qui enseigne » et aussi « celui que l’on prend pour modèle ». En effet, un grand nombre de livres, surtout les romans que nous lisons au cours de l’enfance et de l’adolescence nous enseignent une bonne partie de notre métier d’homme. Il y a en effet très souvent une identification du jeune lecteur au héros du roman, ce qui lui permet d’orienter ses choix pour sa vie d’adulte. Jean-Paul

autorisé sur la question. Le langage est selon Camus au cœur du problème, ce qui explique le champ lexical présent dans la deuxième moitié de l’extrait : « parler » (lignes 22, 23, 30, 34, 36, 38, 39, 44), « langage » (l. 25, 43)), « formules » (l.25), « lisons » (l.25), « écrit » (l.29), « dire » (l.31), « écrivain » (l.40), « silence » (l.42), « mots » (l.45, 49), « phrases » (l.48), « vocabulaire » (l.52). En effet, Camus est persuadé que l’opinion publique n’est favorable à la peine de mort que

Séquence n° 2 Le plaidoyer et le réquisitoire 1. Introduction 1.1. Exercice a. Lisons le texte suivant. UN PARRICIDE Source : Œuvres complètes illustrées de Guy de Maupassant. Société d'éditions littéraires et artistiques. 1907. Boule de Suif.    L'avocat avait plaidé la folie. Comment expliquer autrement ce crime étrange ?     On avait retrouvé un matin, dans les roseaux, près de Chatou, deux cadavres enlacés, la femme et l'homme, deux mondains connus, riches, plus tout

Séquence n° 2 Le plaidoyer et le réquisitoire 1. Introduction 1.1. Exercice a. Lisons le texte suivant. UN PARRICIDE Source : Œuvres complètes illustrées de Guy de Maupassant. Société d'éditions littéraires et artistiques. 1907. Boule de Suif.     L'avocat avait plaidé la folie. Comment expliquer autrement ce crime étrange ?     On avait retrouvé un matin, dans les roseaux, près de Chatou, deux cadavres enlacés, la femme et l'homme, deux mondains connus, riches, plus tout jeunes

psychologie des personnages. Le roman d’apprentissage du XIXe siècle suit l’évolution sentimentale, intellectuelle et sociale du héros (Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830). Le roman peut aussi étudier la société et les mœurs comme chez Balzac ou Zola. - D’autres romans privilégient les événements racontés. C’est le cas des romans historiques, des romans d’aventure, mais aussi des romans policiers ou de science-fiction. Ainsi, même s’il s’inspire de la réalité ou l’imite, le roman est une

simplement répéter les mêmes gestes à l’infini (le corps de Charlot quand il sort de l’usine continue de mimer les gestes qu’il a accomplit durant sa journée de travail). Zola décrit en détail les conditions des ouvriers et les transformations socio-économiques de la révolution industrielle. Sur le travail : dans Germinal, Zola décrit de manière minutieuse les conditions de travail désastreuses des ouvriers travaillant dans les mines de charbon. Il décrit longuement les mineurs, contraints à une

(métaphores obsédantes chez Bonnefoy). Ces métaphores obsédantes et personnelles, marques du grand artiste, se retrouvent également dans le roman. Bien qu’appartenant au mouvement naturaliste, Zola dans ses Rougon Macquart offre par exemple une vision épique d’un monde peuplé de monstres mythologiques comme la Lison, la locomotive de La bête humaine ou la mine de Germinal transformée en minotaure dévorant quotidiennement sa ration de chair humaine. C’est pourquoi sans doute dans Le roman expérimental