La Lison

possédaient le caractère adéquat pour incarner le héros de La Bête humaine. Initialement employé méritant, presque trop sérieux, qui, connaissant sa faiblesse meurtrière, cherche à l'oublier par la passion excessive qu'il déploie pour sa locomotive, « la Lison ». Avec Pecqueux, son assistant chauffeur, il forme ainsi un inhabituel triangle amoureux. Il devient, presque malgré lui, le faux témoin, puis l'amant de Séverine, avant de devenir son complice, puis son meurtrier. Il est bon avec Phasie, sa parente

L'extrait que nous allons étudier se situe dans le chapitre X du roman .L'action se déroule le long de la ligne de chemin de fer entre Paris et le Havre et relate l'histoire d'un mécanicien Jacques Lantier. Le second personnage central de ce roman est la Lison, sa locomotive qu'il traite comme un être humain. Dans cet extrait un accident a été provoqué par Flore, qui ,devenue folle de jalousie depuis quelle a découvert la liaison du jeune homme avec Séverine, elle organise cet accident qui fera des morts

Terrible – terrible… Tuer, tuer… (Elle soulève le flacon.) Le poison, le poison… […] (Avec une grimace douloureuse) Nul ne les sait. (Elle agite la main.) Lisons la suite ! Lisons ! Puisse cette lecture nous inciter à accomplir l’acte terrible. (Elle lit) . Pour vous, bonnes gens, je rayonne sur mon trôneAvec ma couronne, Personne ne soupçonne ce qui en mon sein bouillonne.Vous ne voyez

magasins » des images correspondantes et noter les écarts • lectures analytiques : qu'est-ce que l'écriture transforme ? Comment ? • GT lectures cursives : autres descriptions qui fonctionnent sur le même principe : l'alambic dans L'Assommoir, la Lison dans La Bête humaine, le Voreux dans Germinal... • 3) Qu'est-ce que le naturalisme ? • apport théorique et « exercices » : site Magister : http://www.site- magister.com/zola.htm • l'arbre généalogique des Rougon-Macquart : http://upload

de Montesquieu « l’homme est un animal social » qui veut dire que l'homme vit parmi les autres hommes, que l'animal humain est un animal vivant dans une société d'animaux humains. Nous lisons pour ne pas se retrouver seul. On va donc trouver une solution pour interagir dans la réalité a travers ce que nous lisons. On peut prendre aussi l'exemple de la lecture du journal qu’elle soit physique ou virtuelle, on pratique la même activité pour apprendre d’avantage sur le monde et une fois regrouper on

est mis en pension au collège du Havre où il poursuit des études très médiocres au grand désespoir de sa famille. Puis il fait une fugue à Londres. Il écrit a sa mère pour recevoir de l’argent. Le baron meurt. Quelques mois plus tard, c’est tante Lison qui disparaît à son tour. Jeanne se retrouve seule. Après vingt quatre ans d’absence, Rosalie, en pleine forme, revient s’installer auprès d’elle. Jeanne a pardonné à Rosalie. L’ancienne servante découvre la situation financière de Jeanne. Ruinée,

Quand nous lisons, certaines syllabes sont sonores, d’autres sont presque muettes. Les syllabes « presque muettes » sont composées d’une consonne suivie de la lettre e . O... Syllabes : Nous pouvons séparer les syllabes d'un mot : Exemple : é – co – le ; ap – pren – dre ; car – ta – ble Quand nous lisons, certaines syllabes

L’art est le plus beau des mensonges Quand nous regardons une peinture, une photo, que nous lisons une œuvre, pouvons nous affirmer que ce que nous lisons ou voyons est vrai? L'art est le plus beau des mensonges ou l'artiste a-t-il fait au mieux, tout en étant influencé malgré lui par son vécu, pour nous décrire ce qu'il voyait? D'un coté il y a les personnes qui estiment qu'un artiste qu'il soit un peintre, écrivain ou photographe ne peut vraiment représenter ce qu'il voit tel quel. En

mort-né, le jour même où M. de Fourville tue Julien. Paul part en pension à quinze ans au collège du Havre, où il suit des études que toute sa famille juge minables. Jeanne se retrouve ainsi seule après la mort du baron, de la baronne et de sa tante Lison. Ravagée et tombée dans la dépression à cause de cette solitude, elle retrouve par hasard son ancienne domestique. Elle vend alors le château et emménage ailleurs avec Rosalie. Sans nouvelles de Paul, Jeanne s'enfonce dans sa tristesse chronique. Mais

de ce principe la on peut donc affirmer que ce n'est pas principalement le genre qui fait un "bon roman" mais surtout les émotions impression et envies que le lecteur en tirent. Des ressentis qui nous enjoignent a apprécier ou pas le livre que nous lisons. Ensuite me direz ( et vous avec raison )qu'il est assez difficile d'expliquer clairement pourquoi nous éprouvons ces sentiments la et pas ceux la parce que, la aussi, le ressenti reste assez personnels. donc il serait assez difficile dans ces cas