La Lison

dix-septième volume des Rougon-Macquart, La Bête Humaine est une oeuvre sombre et assez touffue qui emprunte certains procédés au roman-feuilleton, tout au long du roman, l'histoire se déroule dans le monde du chemin de fer. Ce passage nous présente La Lison, une locomotive à vapeur luttant contre une tempête de neige. Quels faits présentés dans cette description nous démontrent une lutte humaine ? Après avoir analysé le combat de la machine contre la tempête nous nous intéresserons aux dépassements de

Lantier 2) Celle de son mécanicien Pecqueux * I,1) La Lison vient de subir un accident « en travers de la voie » (ligne 6).Cet accident est vue comme un moment d’agonie (ligne 14). De plus cette locomotive est vue comme un corps humain blessé (ligne 37) La Lison est personnifiée à travers l’image d’une femme âgée. * Champs lexical de la maladie et de la mort : * Maladie (ligne 10) * Moins alerte (ligne 11) La Lison était déjà une vieille locomotive (par déduction) * L’âge

de mettre fin à ses jours en se confrontant à la Lison (la locomotive de Jacques, à laquelle il est très attaché) créant ainsi un accident qui ferrait périr Jacques, Séverine et la locomotive). Nous allons donc chercher à expliquer en quoi le choc entre la Lison et Flore peut être qualifié de « combat épique ». Pour cela, nous allons montrer que cet extrait est du registre épique mais nous devons d’abord prouver que Flore va se confronter à la Lison ; et que celle-ci accepte la confrontation. C’est

Le chapitre 7 du roman “La bête humaine” rappelle le chapitre 10 et creee un effet de mirrroir avec celui-ci. Les deux decrivent un accident survenu a la Lison et la lutte obstinee de celle-ci contre les obstacles : dans le cas du chapitre 7 contre la neige et dans le cas du chapitre 10 contre le chariot plein de pierres. L’extrait sur lequel on va se concentrer est tire du chapitre 7 est represente la scene de l’áccident qui est precede par quelques pages de description de la neige qui tombe sans

Ce texte est un extrait du chapitre VII du roman de Zola, La Bête humaine, parut en 1890; élément de la série Les Rougon-Macquart. Cet extrait narre le deuxième accident de la Lison, conduite par le mécanicien nommé Jacques; où Séverine a prit place. L'affaire du meurtre de Grandmorin a été classée sans être élucidée. Les Roubaud ne sont plus inquiétés mais Jacques, témoin du crime, sait qu'ils en sont les coupables. Néanmoins tombé sous le charme de Séverine, il est devenu son amant et ils se rendent

resurgir cette dialectique, du moins avant la rencontre de Jacques et Séverine. Les caractéristiques de la Lison, sa docilité et son obéissance, renvoient au dompteur une image valorisée de sa puissance. La locomotive figure "un substitut dynamique, c’est-à-dire positif, de la femme" et fonctionne "comme une parfaite machine à jouir", . Dans le couple que Jacques forme avec la Lison, s’établit une parfaite harmonie, fondée, de la part du mécanicien, sur un véritable amour pour une machine

fier, qui est, pour lui, comme un être vivant, auquel il a d'ailleurs donné un nom : « la Lison ». Son chauffeur, Pecqueux, arrive, étant, comme d'habitude, éméché, ce dont Jacques s'accommode : « Eux deux et la machine, ils faisaient un vrai ménage à trois, sans jamais une dispute .» En fin de journée, Séverine rentre au Havre dans la Lison conduite par Jacques. Chapitre VI Un mois est passé. Le juge a prononcé un non-lieu. L’affaire est étouffée

des Rougon – Macquart, écrit par Émile Zola à la fin du 19e siècle ; écrit en 1890 pour la Bête humaine. L’extrait de ce livre parle d'un locomotive, la Lison. En quoi la présentation de cette locomotive est-elle une description de de l'une des Bêtes humaines ? En premier lieu la description réaliste et en deuxième lieu l'idéalisation de la Lison. Dans cette extrait , on peut remarquer une description de précision de la locomotive comme « d'une élégance fine et géante » L.5 mais aussi une description

ommentaire : Emile Zola : La Bête humaine : Chapitre 10. Après un accident de chemin de fer, voici la description de la locomotive, baptisée la Lison. Émile Zola : La Bête humaine, 1890. La lison, renversée sur les reins, le ventre ouvert, perdait sa vapeur; par les robinets arrachés, les tuyaux crevés, en des souffles qui grondaient, pareils à des râles furiaux de géante. Une baleine blanche en sortait, inépuisable, roulant d'épais tourbillons au ras du sol; pendant que, du foyer, les braises

grande famille des Rougon-Macquart. Il est né en 1844, fils de Gervaise Macquart et d'Auguste Lantier.  Jacques est associé à Pecqueux. Tout les deux travaillent comme mécanicien pour la Compagnie de l’Ouest, sur sa locomotive qu'ils surnomment "La Lison" et qui assure le trajet Paris->Le Havre. Il est un homme travailleur, ponctuel et sympathique.    Cependant, il cache un terrible secret. Il a en lui depuis sa naissance une folie meurtière. Ces pulsions meurtrières le pousse, contre sa volontés