La Lison

récurrents : Jeanne, qui est donc l’héroïne de l’histoire ; sa mère qui se nomme Adélaïde et Rosalie, la bonne qu’elle considère comme sa sœur de lait. Puis il y a les personnages secondaires : Lise, la tante de Jeanne plus communément appelée « Tante Lison » ; Ludivine qui travaille au service de la famille Le Perthuis des Vauds ; la comtesse de Fourville, une des amantes du mari de Jeanne et enfin la veuve Dentu. La condition féminine est donc peinte par l’auteur dans toutes les classes sociales.

son argent. (1000 francs reçus de l’héritage de son père) * Misard : second mari de Phasie * Jacques Lantier : 26 ans, mécanicien dans la Compagnie de chemin de fer. * Jacques Lantier, en attendant la réparation de la locomotive Lison, rend visite à sa tante Phasie. * (p.67) On apprend que Louisette, fille cadette de Phasie, est morte en automne dernier, à Doinville. Phasie soupçonne Grandmorin de l’avoir violée et battue. Elle est morte chez son ami Cabuche (p.76)

p241, La Bête humaine, Zola L’extrait étudié de La Bête humaine de Zola, est un roman du crime, roman naturaliste, qui restitue une scène vécue par un cheminot et un mécanicien dans leur train nommé Lison, par une nuit d’hiver. Ce roman est une description à caractère social, avec une empreinte forte sur le travail où l’action se déroule sur les chemins de fer. La description incarne la vie moderne d’alors et son progrès technique avec la description

pièces sont écrites avec le vocabulaire de l'époque à laquelle elle a été écrite. De nos jours, nous n'utilisons plus ou très rarement ce vocabulaire, c'est pour cela qu'il est assez dur de lire et même de comprendre un texte de théâtre. Lorsque nous lisons une de ces pièces, il est parfois utile de relire certaines répliques pour pouvoir la comprendre, et en plus de cela, dans les livres d'aujourd'hui, les mots ou expressions de l'époque sont expliquées en bas de page ce qui nous oblige à interrompre

Emile Zola (1840-1902) La bête humaine Une locomotive à vapeur, la Lison, affronte une tempête de neige... Cependant, la Lison filait à une vitesse moyenne, n'ayant plus rencontré d'obstacle. On avait, par précaution, laissé allumés les feux d'avant et d'arrière ; et le fanal blanc, à la base de la cheminée, luisait dans le jour, comme un oeil vivant de cyclope. Elle roulait, elle approchait de la tranchée, avec cet oeil largement ouvert. Alors, il sembla qu'elle se mit à souffler d'un

défectueux, peut d'origine criminelle. résumé: Cette extrait raconte le moment où la locomotive déraille. Plan Problématique: Dans quel mesure cette extrait est pathétique ? Personnification de la locomotive Identité de la locomotive: « Lison » *3 Anatomie distincte: Cl de l'anatomie Sentiments éprouvé par la machine: Cri, râle, agonisante ... Sentiments, témoins et victimes Témoins (Tétanisés, cloués sur place): Expression détaillant les personnages Victimes (Cri, discours direct

épreuve de commentaire composé sur la présente. 4pts R.A1 : Les différentes parties d’une épreuve de commentaire composé sont : -Le chapeau : de « Le roman se situe » à « elle vient de dérailler ». 0,5pt x2 -Le texte à commenter : de « La pauvre Lison » à « inondant ses joues ». 0,5pt x2 -Les références du texte à commenter : Émile Zola, La Bête humaine, 1890 0,5pt x2 -La consigne : de « Vous ferez de » à « pathétique de sa fin ». 0,5pt x2 2- Relevez, dans le texte, des mots pouvant appartenir

Roubaud, Cabuche, Flore, Misard, et surtout, la Lison. En effet, cette dernière a avec Jacques des rapports ambigus : tantôt elle est une femme, qui le calme « à l’égal d’une maîtresse apaisante » (p.87) ; mais c’est le plus souvent sous la forme animalisée qu’elle figure dans le roman. C’est une jument de race que Zola désigne du nom noble et épique de « cavale ». Elle est fine, élégante ; Jacques la soigne avec amour. Le rôle important que joue la Lison dans la vie de Jacques explique que ses pulsions

et d'un roman sur le monde ferroviaire, ce qui n'était pas dans le dessein initial de l'auteur. L'histoire évoque le monde du chemin de fer et se déroule tout au long de la ligne Paris-Saint-Lazare - Le Havre. Dans l’extrait soumis à notre étude la Lison part pour Paris alors que les conditions météorologiques sont mauvaises ; la description du paysage est tellement exagérée que l’on peut penser que ce paysage est irréel. On peut alors se demander comment ce passage réaliste bascule dans le fantastique

Par ailleurs, dans cette scène, Zola nous présente une vision métaphorique de l'accident de train à travers la personnification de La Lison. En effet, les personnifications telles que «renversée sur les reins» (l.1), «le ventre ouvert» (l.1), «une haleine» (l.2) donnent à la locomotive des traits d'êtres vivants, mais l'auteur lui donne aussi un prénom «La Lison» ce qui renforce le fait que la locomotive soit un objet vivant. L'utilisation de noms communs comme «des souffles» (l.2), «une haleine»