La Lison

Expression écrite : Pourquoi nous ne lisons plus comme avant ? Question 1: Quels sont les changements précis engendrés par l'utilisation des nouvelles technologies? Expliquez. La solution "je regarde sur internet" pour faire des recherches, n'aide pas l'homme à retenir les informations qu'il a dû chercher. En effet, c’était le cas auparavant vu que nous devions faire des recherches et lire un voir plusieurs livres pour confronter les informations et voir ainsi quelles idées vont dans le même

Commentaire texte 4 séquence 4 La mort de la Lison Introduction : Dans ce passage, extrait du chapitre X de La Bête humaine, roman naturaliste d'Emile Zola, écrit en 1890, le narrateur évoque "l'agonie" et la "mort" de la Lison, une locomotive à l'égard de laquelle le héros, Jacques Lantier éprouve les sentiments d'un homme envers une femme. Dans les lignes précédentes, le narrateur vient d'évoquer la terrible vengeance de Flore, une femme amoureuse de Lantier qui la rejette, de peur de

La Bête Humaine, Zola (extrait chapitre X) La mort de la Lison « Enfin, Jacques ouvrit les paupières. Ses regards troubles se portèrent sur elles, tour à tour, sans qu’il parût les reconnaître. Elles ne lui importaient pas. Mais ses yeux ayant rencontré, à quelques mètres, la machine qui expirait, s’effarèrent d’abord, puis se fixèrent, vacillants d’une émotion croissante. Elle, la Lison, il la reconnaissait bien, et elle lui rappelait tout, les deux pierres en travers de la voie, l’abominable

Rougon-Macquart ». Comment le narrateur parvient-il a transfigurer la Lison pour en faire un personnage a part entière du récit ? Nous allons dans un premier temps étudier par quel procédé Zola a fait de ce passage , un texte a valeur documentaire. Après avoir étudier la valeur documentaire de se passage nous montreront la façon dont il transfigure la Lison en un personnage. Enfin nous analyseront la relation de Jacques et de la Lison. Nous allons dans un premier temps étudier par quel procédé Zola

A par que ce texte est naturaliste Emile Zola donne aussi une vision métaphorique de l’accident. Il est à noter que la machine est humanisée. Tout d’abord, elle possède un nom « Lison », auquel on donne de l'importance en lui ajoutant un déterminant « la », sous-entendant par-là qu'il ne s'agit pas de n'importe quelle machine. Elle est personnifiée telle une femme. Zola la donne un corps réel et physique, doué de sentiment et de vie. Ensuite humanisant la machine par son nom, Zola poursuit avec

littérature. Nous pouvons le voir dans son livre « La défense de la littérature » au chapitre XI qui a pour but de prouver la place de la littérature dans la société : « Nous ne lisons pas pour oublier la vie, au contraire, pour l’éclairer. Les livres nous aident à voir, à agir, à vivre. ». C’est-à-dire, est-ce-que nous lisons pour échapper, l’espace d’un instant, à nos vies ou au contraire pour mieux les vivre. Nous montrerons que la lecture permet de s’évader des problèmes quotidiens de la réalité

routine, du chagrin, et de s’évader, de fuir ou de penser à autre chose. Les livres font rêver, présentent des vies idylliques sans aucune mesure avec la réalité. Claude ROY exprime ses convictions dans Défense de la littérature, chapitre IX « Nous ne lisons pas pour oublier la vie, au contraire, pour l’éclairer. Les livres nous aident à voir, à agir, à vivre ». Vous direz si vous partagez cette conception de la lecture en vous aidant des œuvres étudiées en classe ainsi que vos lectures personnelles

vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous. » (KAFKA) La lecture est une activité pratiquée par beaucoup de personnes de nos jours. Pour certains, elle représente un acte anodin, banal. Tandis que pour d'autres elle est une véritable source de plaisir et de divertissement. Le livre permet de communiquer son savoir et de garder des traces du passé. D'après Kafka, célèbre auteur du XX ème siècle s’inspirant de descriptions

Dans un premier temps, nous allons voir comment l’auteur fait de la Lison un personnage important du roman, et ensuite, nous nous interesserons à l’accident qui traduit la fin de la locomotive. Pour commencer, nous pouvons relevé, dans ce texte, des figures de style qui caractérisent la locomotive : « ressuscitait » (ligne 3), qui représente le personnage, et « mourir » (ligne 3), qui représente la Lison, sont deux expressions qui s’opposent, et représente des êtres vivants.

Commentaire : Emile Zola : La Bête humaine : Chapitre 10.  Après un accident de chemin de fer, voici la description de la locomotive, baptisée la Lison. Émile Zola : La Bête humaine, 1890.   La lison, renversée sur les reins, le ventre ouvert, perdait sa vapeur; par les robinets arrachés, les tuyaux crevés, en des souffles qui grondaient, pareils à des râles furiaux de géante. Une baleine blanche en sortait, inépuisable, roulant d'épais tourbillons au ras du sol; pendant que, du foyer, les braises