La Lison

souveraine», «propre», «douce», «obéissante», «brave», et «élégance fine». On peut comprendre que la Lison est une machine vivante pour Jacques, qui possède tout les qualités d’une femme vivante, elle est comparé et associé à une femme. Jacques la trouve spéciale parmi toutes les autres machines, et c’est pour cette raison qu’il aime travailler avec celle-ci. De plus, aucun être humain n'est parfait, la Lison non plus, elle a un défaut: « Elle fai(t) de grosses économies de charbon», et «Jacques n'avait

Rougon-Macquart. La Bête humaine fait partie de cette suite de romans qui racontent l'histoire de la famille Rougon-Macquart à travers les générations. Dans cette étude de texte, le passage dont nous allons parler est celui de la mort de la machine, la Lison, vue par son mécanicien, Jacques Lantier. Nous allons nous pencher sur : l'aspect tragique de cette mort la métamorphose de la machine en être humain la transfiguration du réel Dès le début de l'extrait, Zola nous indique que la scène

pencha. Au loin, après une dernière courbe, la tranchée lui apparut, en ligne droite, ainsi qu'une longue fosse, comblée de neige. Il faisait plein jour, la blancheur était sans bornes et éclatante, sous la tombée continue des flocons. Cependant, la Lison filait à une vitesse moyenne, n'ayant plus rencontré d'obstacle. On avait, par précaution, laissé allumés les feux d'avant et d'arrière ; et le fanal blanc, à la base de la cheminée, luisait dans le jour, comme un œil vivant de cyclope. Elle roulait

La Bête humaine ( 1890 ) , Emile Zola Commentaire Littéraire : extrait du chapitre X ( la « mort » de la Lison ) Passage « E lle, la Lison, il la reconnaissait bien, et elle lui rappelait tout, les deux pierres en travers de la voie, l'abominable secousse, ce broiement qu'il avait senti à la fois en elle et en lui, dont lui ressuscitait, tandis qu'elle, sûrement, allait en mourir. Elle n'était point coupable de s'être montrée rétive ; car, depuis sa maladie contractée dans la neige, il n'y avait

auteur naturaliste. (Il a écrit Toine et Bel Ami). Ce texte est de type descriptif car l’auteur décrit la Lison après son accident. Il appartient au registre tragique puisque la Lison meurt, Lantier souffre et cela est dû au destin. Ce passage nous parle de l’accident ferroviaire dans lequel sont impliqués Jacques et la Lison. Il est intéressant car il montre les liens forts qui unissent la Lison à Jacques. Cela nous amène à nous demander si ce texte est encore un texte naturaliste ? Tout d’abord, nous

Situation : roman du rail et du crime. Jacques et sa machine, la Lison, ne font qu’un. C’est seulement au commande de la Lison qu’il retrouve la paix de son mal héréditaire. Depuis qu’il est devenu l’amant de Séverine, pour la première fois, il peut aimer une femme sans avoir envie de la tuer. Leur relation semble au beau fixe. C’est alors que la Lison, elle, semble atteinte, elle est prise dans une redoutable tempête de neige. I ) La lutte de la machine A ) Les forces en présence a)

l’histoire d’un mécanicien, Jacques Lantier. Le second « personnage » central de ce roman est La Lison, sa locomotive, qu’il traite comme un être humain. Dans cet extrait, un accident a été provoqué par Flore, qui, jalouse de la relation amoureuse de Jacques et Séverine, veut entraîner leur mort. Plan détaillé : I. Une mort personnifiée a) La locomotive féminisée. b) La mort humanisée de La Lison. c) La métaphore animale. II. Une scène tragique et épique. a) Tragique et pathétique. b) Hyperboles

cet extrait ZOLA évoque le monde du chemin de fer, et plus particulièrement de la Lison, une locomotive. Zola nous présente d’une façon réaliste la généralisation de la machine à vapeur au 19e siècle, qui entrainera un bouleversement dans l’essor industriel de la plupart des pays. Pour montrer que la personnification de la Lison est flagrante, nous verrons tout d’abord les caractéristiques humaines attribuée à la Lison, puis en second plan, la déchéance jusqu’à la mort de la locomotive démontré.

pu créer Lison (La Locomotive) mais qui entame en même temps une relation avec Severine Roudard (sa maitresse).Lecture du texte Problématique : comment la machine est-elle mise en valeur ?1er mouvement : La Description de la machine2ème mouvement : Le sentiment éprouver envers sa machineLes personnages de l’extrait : · Jacques Lantier : Mécanicien et amant de Séverine amoureux de la Lison, sa locomotive et aussi chauffeur de train · Lison : La locomotive1er

d’exemple à l’humanité. Lisons : Obama est une marionnette de l’imposture. Depuis plus de dix ans son élection est projetée par l’administration américaine. Dans quel but ? Afin de passer à une nouvelle phase de l’extension sioniste : l’appropriation de Jérusalem sur des critères purement racistes. -         L’Etat d’Israël est établi en terre sainte et offre la concrétisation d’une promesse biblique. Les Palestiniens qui refusent l’occupation sont des terroristes. Lisons : L’entité sioniste pratique