La Littérature Et Le Réel

historique, politique, social ; l'influence du milieu sur l'individu ; la ville, la province, les misères sociales et l' ascension sociale Le réalisme est un mouvement littéraire du XIXème siècle visant à la représentation la plus fidèle possible du monde réel. Les thèmes principaux sont les moeurs d'une époque, d'un milieu, les liens avec le contexte historique, politique, social ; l'influence du milieu sur l'individu ; la ville, la province, les misères sociales et l' ascension sociale. Mais le fait

trouver une réponse précise à ces questions. La littérature fantastique a sans doute les mêmes problèmes. L'objet de cet essai est d'étudier la littérature fantastique d'après les Contes cruels de Villiers de l'Isle-Adam, que Remy de Gourmont a nommé « l'exorciste du réel et le portier de l'idéal »1. Avec cette intention, nous avons divisé cet essai en deux chapitres : Dans le premier chapitre, nous essayerons de préciser le fantastique dans la littérature française, à l'aide des recherches de ces

description objective des faits et des personnages.Tout comme en littérature, le réalisme a été le mouvement dominant en art pendant la seconde moitié du XIXème. Le réalisme ( Peinture ) : Le concept de réalisme en peinture a probablement intéressé Champfleury qui exigeait du romancier "la sincérité dans l'art". Il s'agit de rendre réel les scènes de la vie courante. Le mouvement est apparu d'abord en peinture vers 1830 et en littérature entre 1840 et 1890. Le concept de réalisme en peinture a probablement

exercer un métier peut-être parfois considéré comme un art. L’art a donc des spécificités qui le distinguent de ces précédentes approches. Dans le réalisme, l’art se veut être la reproduction du réel et vise à représenter le monde et les hommes tels qu'ils sont. Qu’il s’agisse de la littérature ou de la peinture, l’artiste dépeint soit par des mots, soit avec ses pinceaux ce qu’il voit. Les longues descriptions si connues d’Honoré de Balzac, comme dans Eugénie Grandet, qu’il s’agisse de portraits

phénomène qui dépasse considérablement le domaine de la littérature ; il est un des constituants essentiels de notre appréhension de la réalité ». Vous démontrerez dans quelle mesure le roman est effectivement un moyen privilégié d’observer et de comprendre notre réel et vous présenterez, éventuellement, des objections. Titres des grandes parties : classez-les. I- Lire un roman, c’est expérimenter autre chose et enrichir sa connaissance du réel II- « Raconter, c’est toujours expliquer », Paul

La peur dans la littérature de jeunesse est un sujet qui m’a attiré. Que ce soit pour l’expliquer aux jeunes enfants, ou pour faire naître les premiers sentiments d’angoisse, la peur est un sujet souvent abordé en littérature de jeunesse. Je me suis alors posé plusieurs questions sur la peur : * Qu’est-ce que faire peur ? Qu’est-ce que se faire peur ? * Quel plaisir peut-on prendre à se faire peur ? Pourquoi aime-t-on avoir peur ? Pourquoi les enfants aiment avoir peur ? * En quoi la

n'écrivent pas seulement pour distraire le lecteur ou partager leur opinion. Quelle que soit l'époque ou le courant littéraire auxquels ils appartiennent, de nombreux auteurs cherchent à faire réfléchir ou réagir le lecteur en dénonçant des faits. La littérature est alors utilisée comme une arme par certains écrivains qui voient en leurs œuvres de réels outils pour faire avancer les choses. Cependant, tous ne partagent pas cet avis, étant plus pessimistes sur l'efficacité de cette « arme ». C'est, par exemple

récente (depuis les années 1970, suite au succès américain du Seigneur des Anneaux par J.R.R. Tolkien), et n’a pris son indépendance éditoriale qu’encore plus récemment — alors qu’elle existe, au sens large bien entendu, depuis l’origine de la littérature. Si la science-fiction trouve (selon la plupart des spécialistes) son origine dans la révolution industrielle du XIXe siècle et le Frankenstein de Mary Shelley, la fantasy puise pour sa part directement à la source de la tradition populaire. Immédiatement

La bibliographie * Gérard GENETTE, Introduction à l’architexte, Paris, Ed. Seuil, 1979 * Gérard GENETTE, Palimpsestes (la littérature au second degré), Paris, Ed. Seuil, 1982 * Marcel PAGNOL, Notes sur le rire, Paris, Ed. Nagel, 1947 * David VICTOROFF, Le rire et le risible, Introduction à la psycho-sociologie du rire, Paris, P.U.F., 1953 * Aristote, Poétique, trad. De Michel Magnien, Paris, éd. Livre de poche, 1995 * Charles JEAN, Le rire en herbe, Paris, Calmann-Lévy, 1963

LECTURE, INTERTEXTUALITÉ DES ŒUVRES « Valéry incite à penser en termes de bibliothèque collective et non de livre seul. Pour un vrai lecteur, soucieux de réfléchir à la littérature, ce n’est pas tel livre qui compte, mais l’ensemble de tous les autres, et prêter une attention exclusive à un seul risque de faire perdre de vue cet ensemble et ce qui, en tout livre, participe à une organisation plus vaste qui permet de le comprendre en profondeur. Mais Valéry nous permet aussi d’aller plus loin en