La Littérature Nous éloigne Du Réel

Introduction : On a coutume de considérer la littérature en général comme étant un art qui emprunte ses sujets et ses thèmes de prédilection à la réalité. Le théâtre par exemple est par définition, en tant qu’art de la mimésis, c’est-à-dire en grande partie de l’imitation et donc de la représentation, le vecteur des passions et des souffrances humaines. Cependant, force est de constater que, la plupart du temps, ses effets permettent un grossissement de la réalité qui semble transfigurer celle-ci

qu’elles sont a portée universelle. Dès lors on voit que l’autre n’est pas perçu par les deux auteurs. Pour eux, ceux qui ne sont pas conformes aux valeurs du 17e siècle étaient vus comme non civilisés parce qu’ils ne sont pas français et que la littérature française était également a portée universelle. Ainsi Rousseau critique aussi systématiquement l’ethnocentrisme de la philosophie classique dans son Discours sur l’origine de l’inégalité qui est une dissertation consacrée a la connaissance des

voyage, parviennent à Paris ; ce roman épistolaire4 met en scène le regard du Naïf, ou de l’Ingénu, qui sera beaucoup exploité en ces temps de censure, et qui donne à la satire une efficacité nouvelle. Un demi-siècle plus tard, Bougainville, voyageur réel à qui la France doit la découverte de Tahiti, narre son expédition autour du monde dans un ouvrage qui remportera un grand succès ; Diderot voit dans le navigateur un vrai « philosophe des Lumières » et nous verrons effectivement en quoi son récit

l’enseignant seront développés : a) la confirmation au niveau du comportement réel de l’élève (comme sa « performance » objective en classe, ou son développement intellectuel), et b) la confirmation perceptive, c’est-à-dire uniquement dans « l’esprit » de l’enseignant (attestée par ses appréciations et évaluations de l’élève). Nous nous pencherons ensuite sur la question de l’importance de l’effet Pygmalion en contexte réel de classe, en développant l’idée de certains chercheurs (e.g., Brophy, 1983

entre l'oeuvre racinienne et son contexte social. Pour Goldmann, la conceptualisation de la pensée précède l'étude empirique des faits. On peut voir dans cette démarche la marque de l'hégélianisme : l'élaboration du concept permet de "découper le réel". Il ne s'agit pas de refuser toute valeur à l'érudition, mais l'accumulation d'une connaissance empirique ne permet pas, en soi, la conceptualisation de la pensée. Or, celle-ci doit dégager des faits empiriques les lois qui permettent d'en comprendre

comtesse Page 19 à 20 : La comtesse de Julie Delpi II : Le mythe du Vampire dans la littérature : étude de cas sur Carmilla (Sheridan Le Fanu) Page 21 à 23 : Le mythe du vampire Page 24 à 25 : Littérature vampirique Page 26 à 29 : Carmilla Sheridan Le Fanu Page 30 : Dom Calmet Page 31 à 32 : Biographie de Sheridan le Fanu Page 33 : Conclusion ** Introduction ** Il est impossible de s'intéresser au phénomène, réel ou imaginaire, du vampirisme sans se référer au personnage qui défraya la chronique

plein de bon sens.» L’attitude de Calvino était celle même de son personnage, son alter ego, qui a «un regard éloigné» : il était un observateur oblique et faussement détaché du réel, se tenant non pas à l’écart mais à une certaine distance d’où les points de vue peuvent et doivent être multipliés. Désormais débarrassé de ses anciennes conceptions, il ne voyait plus la littérature comme porteuse d'un message politique. Cadre Historique L'histoire se déroule au XVIIIème siècle dans un lieu

d’ailleurs comme un genre libre, n’ayant pas de codes, et n’ayant pas subi une quelconque formalisation. Il s’est bâti de lui-même, de façon autonome, obéissant simplement à la spontanéité. C’est donc un parvenu des Lettres, s’étant fait une place en Littérature. André Gide : « De tous les gens littéraires, discourait Edouard, le roman reste le plus libre, le plus lawless. » Les principaux aspects du roman : - Fragilisé par les censeurs et les critiques, il se démarque par sa liberté, vu de haut par

V, 1879. C – Éric-Emmanuel Schmitt, L’École du diable, extrait de la scène 2 de l’acte II, 1996. m 1. Montrez que chaque auteur, par des procédés qui lui sont propres, met en place un espace imaginaire qui échappe en partie aux lois du monde réel. (3 points) m 2. Comment le progrès technique est-il perçu dans ces trois textes ? Justifiez votre réponse. (3 points) Après avoir répondu à ces questions, vous devrez traiter au choix un des trois sujets nos 26, 27 ou 28. Document A Malgré

Dans cet entremêlement se joue la construction d’un texte et d’une écriture, qui va bien au-delà du projet scientifique, et qui rapatrie l’ intime dans l’histoire professionnelle… 2/ Un tel « mélange des genres » est si peu commun dans la  littérature de gestion,  qu’il mérite d’être souligné : il donne à ce livre une tonalité particulière, autorise les  transgressions théoriques, les approches multiples et empiriques, et pose la question de la coupure « identité professionnelle/ identité personnelle »