La Loi De La Jungle

appréhender la vision de la société qu’il accompagne : dans une société qui est traversée par d’insolubles conflits (le conflit religieux étant le plus ravageur), il importe, comme dit Hobbes, « d’ériger un pouvoir commun » susceptible d’imposer sa loi à tous les facteurs de division qui, à tout moment, peuvent faire ressurgir la guerre civile, autrement dit « l’état de nature ». Dès le 16e siècle, le grand légiste Jean Bodin définit, le premier, la souveraineté comme cette « puissance absolue et

un Etat « modeste », la démocratie c’est un Etat correcteur. Si l’on recherche le rôle de l’Etat et des gouvernants, dans le libéralisme, l’Etat assure la sécurité et la liberté. Il assure un minimum de sécurité, ce qui risque d’entraîner la loi de la jungle dont l’atteinte aux individus est plus faible. Dans la démocratie, l’Etat assure l’égalité et s’il l’assure trop, il peut y avoir une atteinte à la liberté par un Etat oppresseur. Il y a donc forcément un danger dans les deux cas. Dans le libéralisme

Or, Jean répond par des barrissements (l. 31, 33) ; l'auteur instaure ici un écart entre les répliques, utilise un effet de grossissement qui relève du grotesque. En outre, des jeux de mots suscitent un effet comique: les expressions " la loi de la jungle ", " Je veux respirer", "perdre la tête" se comprennent moralement et concrètement, à la lumière du changement qui transforme Jean. • Une inquiétude diffuse. Contre-nature, outrancier, le grotesque suscite le rire mais révèle un malaise,

petit l’État et ses recettes. A l’inverse, les sociétés qui ont laissé faire le marché et qui ont peu recouru à l’impôt ont connu des troubles sociaux importants et une insécurité importante. Sans impôt, c’est la loi de la jungle ! Ce n’est ni souhaitable socialement, ni même économiquement. Pour les progressistes en général, loin des extrêmes citées ci-avant, la fiscalité doit être le reflet de choix démocratiques réfléchis, de choix de société. Elle

dans la théorie démocratique un État correcteur. En deuxième lieu, on peut insister sur le rôle différent de l’état et des gouvernants. Dans la théorie libérale, l’état assure la sécurité et la liberté, le danger c’est une évolution vers la loi de la jungle et la domination par une prétendue élite politique et économique. Dans la théorie démocratique, l’état assure l’égalité en prévoyant une atteinte à la liberté. En troisième lieu, on assiste à un danger avec la théorie libérale il peut y avoir

( Un facteur de spéculation et d’économie casino. - les changes flottants soulignent les différences forts/faibles … au profit des forts, obligeant les faibles à réintégrer le « cercle vertueux » par la désinflation et l’austérité : loi de la jungle. - Ils excitent les mvts de capitaux et la spéculation : rôle du dollar menacé de baisse ds le déclenchement du krach d’oct 87. - Ils favorisent aussi des innovations financières parfois dangereuses : ils vt pousser à la déréglementation

Verlaine La cour se fleurit de souci Comme le front De tous ceux-ci Qui vont en rond En flageolant sur leur fémur Débilité Le long du mur Fou de clarté Tournez, Samsons sans Dalila, Sans Philistin, Tournez bien la Meule du destin. Vaincu risible de la loi, Mouds tour à tour Ton coeur, ta foi Et ton amour ! Ils vont ! et leurs pauvres souliers Font un bruit sec, Humiliés, La pipe au bec. Pas un mot ou bien le cachot, Pas de soupir. Il fait si chaud Qu’on croit mourir. J’en suis de ce cirque effaré, Soumis

Qu’ils soient en Europe, aux États Unis ou en Asie, les étudiants font tous face aux mêmes problèmes et ont tous ce but commun, celui de réussir et de se frayer un chemin dans cette jungle universelle qu’est le monde du travail. En octobre dernier, 2 200 000 jeunes ont fait leur rentrée dans les nombreuses universités françaises, au cours de l’année, un quart d’entre eux vont abandonner faute de moyens. Le premier problème des

maladies et des famines. L’arbitrage sans entente se fera par défaut au rythme des pénuries, au cas par cas des éléments manquants. Le moyen de survivre s’appuiera sur la loi du plus fort ou de la jungle en laissant place certainement à l’anarchie. Est-ce que ce n’est pas cela le développement durable que d’appliquer la loi de la nature ou du plus fort. Dans ce cas qui sera finalement le plus fort, l’homme ou la nature : la nature obligatoirement. Et entre les hommes, quels seront les plus forts :

convient d’ordonner leurs conduites. Le Droit est dès lors relatif : il peut être différent en fonction de la société et de ses choix. Le Droit a une fonction civilisatrice, il a été sécrété par l’Histoire pour éviter la généralisation de la « loi Jungle », du plus fort, du plus rusé, etc… On retrouve parfois cette symbolique dans les termes juridiques employés. Ex. M.X a succombé (il a perdu son procès car il n’a pas été le plus fort). Le Droit est l’ensemble des règles concernant la totalité