La Loi Du Plus Fort Rousseau

 Connais-­‐toi  toi-­‐même  »,  Socrate     «  Ma  propre  pensée  au  conscience  »,  Descartes     «  La  conscience  fait  de  nous  des  lâches  »  Shakespeare     «  Plus  est  en  toi  »,  Montaigne,  Les  Essais     «  Conscience  de  soi,  maîtrise  de  soi  »,  De  Biran     «  Conscience  !  conscience  !  instinct  divin,  immortelle

l'indépendance, comme, par exemple, le vagabond non assujetti à un ordre social (Arthur Rimbaud, Jack Kerouac, etc). Carmen, dit, dans l'Opéra de Georges Bizet : « Ce que je veux, c'est être libre et faire ce qui me plait », « avoir pour pays l'univers et pour loi sa volonté ». 1. Libre arbitre: propriété de la volonté (actus proprius), faculté de choix qui associe raison et volonté. C'est l'union de la spontanéité et de l'intelligence. Spontanéité : c'est le fait de trouver à l'intérieur de soi le principe

certains s’intéressent alors au moyen d’obtenir plus de liberté, comme Rousseau au sein du contrat social, et proposent une organisation différente de la société permettant la liberté du plus grand nombre. C’est dans une perspective similaire que Rabelais a rédigé, bien avant Rousseau, un texte proposant le principe du « fais ce que voudra » comme seule règle régissant une communauté imaginaire. Mais n’obéir qu’à soi-même mène-t-il réellement à la plus haute forme de liberté ? Le principe du « fais

Dissertation : « La loi est elle toujours l’expression de la volonté générale ? » L’article 6 de la Déclaration Universelle des droits de l’Homme, directement issu de la pensée Rousseauiste, énonce que « la loi est l’expression de la volonté générale ». Malgré la portée du texte, notamment de par son caractère universel, il est intéressant de s’interroger sur la réelle application de cet article dans les faits, des ses débuts à la Ve République. En effet, la loi est-elle toujours

possible de prendre ici la définition de l’Etat, il n'est donc acceptable de donner de la liberté à une seule considération. A l’époque ou les institutions étatiques se multiplient et interviennent dans des domaines de plus en plus nombreux, l’Etat est pour certains “ Le plus froid des monstres froids ” (Nietzsche). Si l'Etat est suspecté calculs et de contrôles est t-il l'ennemi de la liberté ? Pourtant ne peut-on pas penser comme Hobbes qu'en l'absence d'Etat, “ l'homme est un loup pour l'homme

lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir tous les degrés de clarté, depuis le sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme un redoublement à l’intérieur de nous-mêmes de ce que nous faisons ou pensons. Il devient ainsi clair que la distinction que nous faisons communément entre une conscience du monde, comme attention

régime autoritaire et maintenant comme régime hybride (aujourd’hui, présidentialisme autoritaire en Russie). Evaluation approximative : en 1985, 40% de la population vivait sous régime démocratique, et en 2010, 60%. Il y a un quart de siècle, plus de la moitié de l’Humanité vivait sous des régimes autoritaires. Cf. Jacques Rigaud : << Et si j’affirme, j’interroge encore. >> J’affirme qu’il vaut mieux vivre dans un régime démocratique, j’interroge encore lorsque j’entends un

buts, l’intérêt d’obéir aux lois et enfin pourquoi ne pas obéir aux lois. Les causes de l’obéissance aux lois sont d’origines diverses. Elles peuvent être morale, si on trouve une loi juste, elles peuvent provenir de la raison ou être d’origine historique et culturelle. La première raison d’obéissance à une loi est son acceptation naturelle comme juste et équitable. Si les lois de la société sont conformes aux lois naturelles, qui sont dans le cœur de chaque Homme, ou tout du moins si celles-ci

elle est le pilier central de notre évolution. Ces deux notions n’ont pas de définitions universelles cependant nous nous appuierons sur la valeur moral du bien et du mal c'est-à-dire sur des valeurs tel que la religion, les mœurs, la société, la loi… Peut-on distinguer le bien du mal ? Existe-il une frontière, une limite ? Est-elle fragile, instable ou distincte ? La limite entre le bien et le mal est une limite instable, donc Existe-il une limite distincte entre le bien et le mal ? Peut-on

Philosophie du droit PARTIE 1 : LE DROIT POSITIF , NATURE ET FONCTIONS Le droit positif : de l'expression latine ponere legem qui signifie « édicter une loi », poser, ds le sens fixer. Le droit positif c'est le droit posé, le droit en vigueur à une époque donnée. Le droit positif est constitué de ttes les formes de normes juridiques (décrets, règlements, sentences...) cela suppose qu'il existe une institution habilitée à créer le droit, à rendre ce droit obligatoire, à produire ce droit,