La Loi Permet Ordonne Interdit Portalis

son chancelier. Pourtant malgré cette fusion la dualité entre la «Common Law» et l’«Equity» subsistent en Angleterre et aux USA. Les règles de «Common Law» coexistent 13 1 avec des remèdes relevant de l’«Equity». Les magistrats peuvent ordonner des exécutions en natures, il peuvent forcer l’une des parties à faire ou ne pas faire quelque chose. Pour que ces décisions soient effectives, ils menacent la partie pour «outrage à la cour». Les termes Trust/Equity sont à la fois une des base

désigne la compensation pécuniaire. Il est des cas où la compensation ne suffit pas. Dans ces cas, la vengeance est autorisée mais limitée par le principe d'équivalence. On ne doit pas infliger à son agresseur un mal supérieur à celui qu'on a subi (loi du Talion). La justice publique a marquée un tournant décisif. On situe ce passage en France à la période féodale. Il intervient à un moment où le crime affecte la victime mais aussi le groupe social qui se sent affecté dans ses fondements politiques

principe de la personnalité des lois. Selon ce principe la loi est faite par les hommes d’une race déterminée et s’applique à eux ou qu’ils se trouvent. La loi personnelle est la loi d’origine. Après 4siècles d’application, le principe ne résiste pas à l’usure du temps pour des raisons simples : Au fil du temps, les peuples fusionnent entre eux et on oublie le droit de chaque peuple. Ainsi il fait place au principe de la territorialité de la loi. => Émergence du droit territorial coutumier oral qui

découverte du nouveau monde (1492) et s’achève avec la révolution française de 1789 (chute de la monarchie absolue). Trois périodes s’achevant par des chutes. Ces tranches chronologiques supposent une certaine cohérence, homogénéité. Cette convention permet de savoir qu’on parle des mêmes choses, le danger est de réduire le contenu de la période à son appellation. Ex : les temps modernes dans lesquels tout n’est pas moderne. En réalité moderne se reporte a la modernité politique. En disant cela on néglige

oblige l’auteur à le réparer. Obligations extra contractuelles. -Les obligations légales : Celles qui sont imposées exclusivement par la loi. Ex : Obligation générale d’information qui pèse sur tout vendeur de bien. Art L 111-1 du Code de la Consommation. Le régime des obligations ne sera pas toujours le même selon la source. Enjeu toutefois estompé depuis loi du 17 juin 2008 sur la prescription (ojd 5 ans pour tout le monde). Subsiste un enjeu pour la preuve, pour obligations délictuelles ou

famille traditionnelle était fondée sur le mariage, famille appelée anciennement « légitime », enfants « légitimes. » Hors mariage on parlait de famille « naturelle », dont les enfants étaient « naturels. » D’autres figures ont été consacrées par la loi : concubinage, PACS en 1999 ; de plus la famille n’est plus nécessairement hétérosexuelle, une famille homosexuelle semblant aujourd’hui pouvoir naître. Si l’on part d’une définition biologique, la famille serait un groupe de personnes unies par

pouvoir judiciaire. Exemple : Affaire du Stade Jean Bouin (contrat passé avec la mairie de Paris). L’administration ne relève pas en principe du juge judiciaire. C’est le principe de privilège de juridiction de l’administration défendue par Portalis. Portalis est l’un des auteurs du Code Civil. Tout le problème c’est de se dire pourquoi en France contrairement à l’Angleterre nous avons pu invoquer une telle situation ? Raison purement idéologique. Pour justifier cette dérogation, il faut se référer

publique et non sur les droits professionnels. Ex  en mars 1822, le CE juge que le fonctionnaire, en l’occurrence un colonel, n’a pas le droit de contester devant le JA les mesures prises contre lui par l’Administration. La situation se précise avec une loi de 1834 qui créer le principe de la séparation du grade et de l’emploi dans la fonction publique. Le ministre de la Fonction publique en 1834 est un militaire : le Maréchal Soult. Cette règle signifie que l’Administration est propriétaire de l’emploi

lesquelles les relations sociales sont soumises à des systèmes strictement juridiques, il y a les deux scénarios et c’est pour cette raison qu’il faut faire cette distinction entre la règle juridique et la règle religieuse, quel est le critère  qui nous permet de les différencier ? On les différencie grâce à l’autorité qui est appelée à éditer et à sanctionner la règle, si on prend d’abord l’exemple de la règle juridique on va dire que si cette règle juridique n’est pas respectée, la sanction se fera par

commises en ton nom ! À propos du report des effets du divorce Par Jérôme CASEY Avocat au barreau de Paris, Mulon & Casey Associés Maître de conférences à l'université Montesquieu Bordeaux IV La loi du 26 mai 2004 réformant le divorce a cherché à rendre plus objective la séparation des époux. Cependant, la loi nouvelle est restée fort discrète à propos des conséquences de cette objectivisation en cas de report des effets du divorce à la date de la séparation de fait. La jurisprudence semble en faire