La Lune Offensée

train de faire la révérence. Elle émet un bruit de dégoût. – Vous ne savez faire que ça ? – Je plaisantais. Pourquoi êtes-vous toujours si sérieuse ? Vous devriez apprendre la plaisanterie ! – Je sais le faire ! rétorque-t-elle en paraissant offensée. – Ah bon ? Quand ? – Lorsqu’elle n’est pas faite par un crétin de gamin qui pense qu’il est un cadeau de Dieu pour les femmes ! – Je ne suis pas un gamin ! 166/848 Un cadeau de Dieu ? Mon bilan parle de lui-même. – Oh oui, mordez-moi

erregt seine Eifersucht. Zynisch bekennt er dieses Gefühl und die Gier, dieses Glück zu zerstören: »(...) je me figurai un plaisir extrême à pouvoir troubler leur intelligence, et rompre cet attachement, dont la délicatesse de mon cœur se tenait offensée.« (I, 2) Sein Bedarf an plaisir kann nur noch gedeckt werden, indem er glückliche Menschen ins Unglück stürzt. Es scheint, als könne nur noch auf diese Weise der verlorene Abstand des hohen Herrn vom Volk, die einstige Macht, restituiert werden gegen

se rapprocha tout doucement : si bien que, lorsqu’on entra dans le bois de Boulogne, il se trouva tout naturellement marcher côte à côte avec son maître. En effet, nous ne devons pas dissimuler que l’oscillation des grands arbres et le reflet de la lune dans les taillis sombres lui causaient une vive inquiétude. D’Artagnan s’aperçut qu’il se passait chez son laquais quelque chose d’extraordinaire. « Eh bien, monsieur Planchet, lui demanda-t-il, qu’avonsnous donc ? – Ne trouvez-vous pas, monsieur,

se rapprocha tout doucement : si bien que, lorsqu’on entra dans le bois de Boulogne, il se trouva tout naturellement marcher côte à côte avec son maître. En effet, nous ne devons pas dissimuler que l’oscillation des grands arbres et le reflet de la lune dans les taillis sombres lui causaient une vive inquiétude. D’Artagnan s’aperçut qu’il se passait chez son laquais quelque chose d’extraordinaire. « Eh bien, monsieur Planchet, lui demanda-t-il, qu’avonsnous donc ? – Ne trouvez-vous pas, monsieur,

se rapprocha tout doucement: si bien que, lorsqu'on entra dans le bois de Boulogne, il se trouva tout naturellement marcher côte à côte avec son maître. En effet, nous ne devons pas dissimuler que l'oscillation des grands arbres et le reflet de la lune dans les taillis sombres lui causaient une vive inquiétude. D'Artagnan s'aperçut qu'il se passait chez son laquais quelque chose d'extraordinaire. «Eh bien, monsieur Planchet, lui demanda-t-il, qu'avons-nous donc? — Ne trouvez-vous pas, monsieur

se rapprocha tout doucement : si bien que, lorsqu’on entra dans le bois de Boulogne, il se trouva tout naturellement marcher côte à côte avec son maître. En effet, nous ne devons pas dissimuler que l’oscillation des grands arbres et le reflet de la lune dans les taillis sombres lui causaient une vive inquiétude. D’Artagnan s’aperçut qu’il se passait chez son laquais quelque chose d’extraordinaire. « Eh bien, monsieur Planchet, lui demanda-t-il, qu’avonsnous donc ? – Ne trouvez-vous pas, monsieur,

se rapprocha tout doucement : si bien que, lorsqu’on entra dans le bois de Boulogne, il se trouva tout naturellement marcher côte à côte avec son maître. En effet, nous ne devons pas dissimuler que l’oscillation des grands arbres et le reflet de la lune dans les taillis sombres lui causaient une vive inquiétude. D’Artagnan s’aperçut qu’il se passait chez son laquais quelque chose d’extraordinaire. « Eh bien, monsieur Planchet, lui demanda-t-il, qu’avonsnous donc ? – Ne trouvez-vous pas, monsieur,

rapprocha tout doucement : si bien que, lorsqu’on entra dans le bois de Boulogne, il se trouva tout naturellement marcher côte à côte avec son maître. En effet, nous ne devons pas dissimuler que l’oscillation des grands arbres et le reflet de la lune dans les taillis sombres lui causaient une vive inquiétude. D’Artagnan s’aperçut qu’il se passait chez son laquais quelque chose d’extraordinaire. « Eh bien, monsieur Planchet, lui demanda-t-il, qu’avonsnous donc ? – Ne trouvez-vous pas, monsieur

se rapprocha tout doucement : si bien que, lorsqu’on entra dans le bois de Boulogne, il se trouva tout naturellement marcher côte à côte avec son maître. En effet, nous ne devons pas dissimuler que l’oscillation des grands arbres et le reflet de la lune dans les taillis sombres lui causaient une vive inquiétude. D’Artagnan s’aperçut qu’il se passait chez son laquais quelque chose d’extraordinaire. — Eh bien ! monsieur Planchet, lui demanda-t-il, qu’avons-nous donc ? — Ne trouvez-vous pas, monsieur

se rapprocha tout doucement : si bien que, lorsqu’on entra dans le bois de Boulogne, il se trouva tout naturellement marcher côte à côte avec son maître. En effet, nous ne devons pas dissimuler que l’oscillation des grands arbres et le reflet de la lune dans les taillis sombres lui causaient une vive inquiétude. D’Artagnan s’aperçut qu’il se passait chez son laquais quelque chose d’extraordinaire. « Eh bien, monsieur Planchet, lui demanda-t-il, qu’avonsnous donc ? – Ne trouvez-vous pas, monsieur,