La Légitimité Du Conseil Constitutionnel

Droit Constitutionnel La démocratie s’épuise t-elle dans le suffrage universel ? Démocratie, est un des concepts les plus polysémiques et indéfinis de notre époque juridique. Si cette notion est reconnue, notamment dans les pays occidentaux comme le régime politique le plus juste, le plus égalitaire, et bénéficie d’une aura unique autour de sa légitimité (plusieurs dictatures ont utilisé ce nom, comme la République populaire démocratique de Corée par exemple), sa signification fait débat : notre

charte) de la part du roi Jean sans terre. Cette Charte constitue la première pierre du régime parlementaire: les vassaux obtiennent de pouvoir consentir à la levée des contributions. Ce consentement a été donné dans le cadre d’une assemblée : le Grand Conseil. La guerre civile du 17ème siècle a conduit au rejet de l’absolutisme royal. Le roi Charles 1er, enclin au despotisme, a du combattre le parlement où régnait l’opposition puritaine. Ce combat se termine mal pour Charles 1er puisqu’il fut décapité

l'Allemagne. De nouvelles institutions s'imposent pour beaucoup d'hommes politiques, et en particulier de Gaulle, l'homme du 18 juin, dont la popularité est immense. A la question des institutions, se pose le problème de la représentativité et de la légitimité du pouvoir, car aucun de ses hommes n'est élu. Après la guerre, la droite classique et le radicalisme qui ont gouverné avant la guerre sont discrédités. Les trois tendances politiques de la Résistance sont : le Parti communiste, qui a tiré un grand

DROIT CONSTITUTIONNEL Partie I : Théorie générale du droit constitutionnel. CHAPITRE I : L’ETAT Section I : L’approche politique de l’Etat § 1. L’Etat et le pouvoir A. L’Etat cadre du pouvoir. Dans toute société un temps soit peu organisé, on rencontre des phénomènes de pouvoir. On distingue les gouvernants et les gouvernés. Il y a des distinctions entre l’Etat et le pouvoir à la fois dans le temps et dans l’espace

STELLA POULAINTD DROIT CONSTITUTIONNEL 3La présidence de la République est-elle une institution centrale de la République ?Dans sa volonté, et celle du général De Gaulle, d’instaurer un exécutif fort, Michel Debré prononça à son discours devant le Conseil d’Etat de 1958 que « le président est « la clé de voûte » du régime, le présentant comme une institution centrale de la République.La véracité de cet adage varie au gré des révisions constitutionnelles et de la pratique que l’on associe à ce texte

nécessité de l'intervention juridique. Période d'instabilité constitutionnelle se succèdent les coups d'État, les révolutions. Les systèmes constitutionnels durent pas longtemps et sont renversés par la violence. Dans un 2ème temps, de 1875 à 1958: stabilité constitutionnelle (3 constitutions) instabilité gouvernementale: instabilité politique, mais progrès parce que pas de violence politique pure, la règle de jeu constitutionnelle plus efficace, circonscrit dans la règle posée par le Parlement

maintenir l’Algérie au sein de la France. Au bout de 15 jours De Gaulle est appelé par le président de la République, M. Coty, à former un gouvernement après que M. Pflimlin accepte de démissionner. Le 1er juin Charles De Gaulle est investi président du Conseil à la tête d’un gouvernement de large union, puisqu’en dehors des communistes, toutes les forces politiques sont réunies au sein du gouvernement. De Gaulle s’est arrêté pendant 12 ans et est rappelé au pouvoir à 68 ans. Il accepte de revenir au pouvoir

Ma Me J V S D « jan 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 Catégories Brèves du blog Droit Administratif Droit Administratif L2S2 Droit Commercial Droit Constitutionnel Droit Constitutionnel : institutions politiques de la F Droit des Obligations Droit des Obligations (fin) Droit Pénal Droit Pénal (fin) Droits des Personnes Finances Publiques Finances Publiques L2S2 Grands Problèmes Sociaux Contemporains

instituions et notamment de la légitimité dont doivent disposer ses successeurs à la présidence de la République. « Pour que le Président de la République puisse porter et exercer effectivement une charge pareille, il lui faut la confiance explicite de la nation. Permettez-moi de dire qu’en reprenant la tête de l’État, en 1958, je pensais que pour moi-même et à cet égard, les événements de l’Histoire avaient déjà fait le nécessaire. » Autrement dit, la légitimité historique dont il dispose n’imposait

Le Général nomme alors M. Michel Debré garde des sceaux et le charge de rédiger cette constitution. Le projet constitutionnel de 1958 voit alors le jour, celle-ci a d'ailleurs pour caractéristique d'avoir était élaboré en très peu de tem ps, on peut clairement affirmé que par celle-ci on a une volonté de corriger les défauts de la IV e République et conserver les idées constitutionnelles de la III e République, la tradition républicaine est donc de mise dans cette constitution. Toutefois le projet