La Machine Infernale Jean Cocteau

point de rentrer chez lui. Ex : Titanic. Ironie tragique. Ironie : dire le contraire de ce que l’on pense en le faisant comprendre. Pour le faire comprendre : le ton, le sourire, l’exagération, l’incohérence. Ex : Voltaire (buste sculpté par Jean Houdon et se trouve à la comédie française) : représenté avec un sourire ironique ; Montesquieu, Sur l’esclavage des nègres « ils ont le nez si épaté qu’il est difficile de les plaindre » Dès qu’il y a ironie, il y a double sens. Œdipe lance une

support de l’expression d’une vision du monde originale. Dramaturges modernes d’entre-deux-guerres et réécriture des mythes antiques. Relecture de mythes enrichis de nouvelles significations. Anachronismes dans Antigone de Jean Anouilh et dans La Machine infernale de Jean Cocteau pas seulement à vocation comique mais retour aux sources qui permet une redéfinition du tragique. Passage d’un tragique transcendant à un tragique immanent. Respect de l’objet littéraire revisité associé à l’expression de

refus II. Une poésie personnelle Joachim du Bellay, Sonnet 6 I. Une image mythologique II. Lyrisme Joachim du Bellay, Sonnet 31 I. Le voyage, la nostalgie II. Les lieux Joachim du Bellay, Sonnet 150 I. Les courtisant II. La satire de la cour Jean de La Fontaine, « La mort et le bucheron » I. L’arrivée surprenante de la mort II. La misère préférable à la mort ? La Bruyère, « Giton » et « Phédon » I. Similitude des textes ? II. Les éléments du portrait III. Une argumentation implicite

d’Éphèse. En se présentant comme un réécrivain c’est-à-dire un écrivain-lecteur et interprète de textes anciens, Cocteau ouvrait la voie à l’idée moderne que l’écriture est toujours une réécriture, voire une métamorphose, faite de mots et d’images, de sons et de gestualité, qui permet aux mythes de constituer « le modèle exemplaire de toute situation créatrice » (Éliade 45). Cocteau ne prétendait pas refaire Sophocle ou Euripide ni dans ce cas-ci Pétrone, il ne prétendait pas les dénaturer en les

nos jours A. Marivaux ou le jeu de l’amour Lecture Analytique n°6 : Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, acte I, scène 7 (1730) (à revoir) Lecture Analytique n°7 : Marivaux, La double inconstance, acte II, scène 11 (1723) B. La machine infernale de Jean Cocteau Lecture Analytique n°8 : Acte I, La voix Lecture Analytique n°9 : Acte II : Les rêves de gloire d’un jeune homme Lecture Analytique n°10 : Acte III, La nuit de noces Lecture Analytique n°11 : Le dénouement I. Le personnage de

l’époque faites pour dénoncer les faux médecins ,les charlatans dont il faut se méfier et qui peuvent impressionné avec un simple langage latin ou de médecine. Jean Cocteau La machine infernale 1934 Tragédie moderne. Le contexte historique : la France connaît trois différentes républiques et traverse deux guerres mondiales. La machine infernale est basé sur la puissance des Dieux et l’impacte qu’ils peuvent avoir sur une vie en particulier sur celle d’Œdipe .Cette pièce dit tout sur l ’homme , non

tragique. Anouilh a lui même organisé ses œuvres en série thématiques, faisant alterner d'abord « Pièces Roses » et « Pièces Noires ». 3) La Guerre de Troie n'aura pas lieu ( 1938 ) ; Jean Giraudoux Electre ( 1937 ) ; Jean Giraudoux La Machine infernale ( 1934 ) ; Jean Cocteau Les Mouches ( 1943 ) ; Jean-Paul Sartre La création d' Antigone : Sur cette propagande on voit des photos d' hommes au dessus il y est écrit « Des libérateurs, la propagande ressemble à une lettre

la vie : dans Britannicus, toutes les actions se passent dans un même lieu, l’antichambre de Néron et se déroulent sur une seule journée, ce qui est peu semblable dans la réalité. Des phénomènesirrationnels sont présents comme dans La machine infernale de Jean Cocteau où il y a une ellipse de dix-sept ans et des animations étranges comme l’apparition du fantôme de Laïus. SAUT DE LIGNENéanmoins, cette image deformée nous permet d’atteindre certaines vérités sur la vie. En premier lieu, nous pouvons

connaît les actions des personnages, leurs émotions, quelques éléments de la mise en scène. Avec ces dernières, on comprend de suite ce que les personnages font puisque nous lisons en permanence leurs actions. Prenons comme exemple La machine infernale de Jean Cocteau, dans l'acte I . "Long silence. Deux soldats, de dos, contemplent sans fin la place du mur où le fantôme a disparu". Cette didascalie nous indique ce qu'il se passe en l'espace de seulement quelques lignes et elle nous indique même ce

propres à la tragédie. -Percevoir les grands traits du classicisme, une esthétique de l'époque 17ème. -Aborder les repères dans l'histoire de ce siècle en littérature. Textes supports : Britannicus de Jean Racine, Antigone de Anouilh, Electre de Giraudoux et La Machine Infernale de Cocteau. Notions étudiées : la double énonciation, le monologue, l'aparté, l'art oratoire , la tragédie et le classicisme Séance 1: Avant propos de la pièce I) Le théâtre : un art ancien... a) Antiquité